Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur GENIN J |
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Les accidents des sports d'hiver pris en charge par les médecins de station : A propos de 26 272 blessés (saison 1996-1997) / GENIN J in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/2 (septembre 1998)
[article]
Titre : Les accidents des sports d'hiver pris en charge par les médecins de station : A propos de 26 272 blessés (saison 1996-1997) Type de document : texte imprimé Auteurs : GENIN J ; CONSTANS D ; J.-D. Laporte ; BINET M.-H. Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 85 - 90 Résumé : Le Réseau de Surveillance du Risque à ski de l'association " Médecins de Montagne " a recensé depuis sa création en 1992 plus de 135 000 blessés. L'incidence du risque à ski en France est estimée à 2,45 pour 1 000 journées-skieurs. Cette incidence est stable depuis 5 ans. Ski alpin et snowboard sont responsables de plus de 90 % des accidents pris en charge par les médecins de station. Le snowboard présente un " sur-risque " relatif par rapport au ski alpin, mais ce " sur-risque " concerne essentiellement le débutant. A niveau de pratique égal, il n'y a pas de différence. Tous sports confondus, les lésions les plus fréquentes sont les entorses: 4 blessés sur 10. Viennent en seconde position les fractures qui touchent 2 blessés sur 10. La lésion spécifique du skieur adulte est l'entorse du genou (1 lésion sur 3) avec une prédominance féminine pour les entorses graves: rupture du LCA. Cependant tous les skieurs, quel que soit leur niveau, peuvent présenter des lésions du LCA. La lésion spécifique du snowboarder est la fracture de l'avant-bras et celle du poignet: 1 lésion sur 5 chez l'adulte, 1 lésion sur 2 chez l'enfant. Le nombre de collisions est stable depuis 5 ans. La discrète augmentation du nombre de snowboardeurs impliqués dans ce type d'accidents est en rapport avec l'augmentation du nombre d'adeptes de ce nouveau mode de glisse.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14526
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/2 (septembre 1998) . - p. 85 - 90[article] Les accidents des sports d'hiver pris en charge par les médecins de station : A propos de 26 272 blessés (saison 1996-1997) [texte imprimé] / GENIN J ; CONSTANS D ; J.-D. Laporte ; BINET M.-H. . - 1998 . - p. 85 - 90.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/2 (septembre 1998) . - p. 85 - 90
Résumé : Le Réseau de Surveillance du Risque à ski de l'association " Médecins de Montagne " a recensé depuis sa création en 1992 plus de 135 000 blessés. L'incidence du risque à ski en France est estimée à 2,45 pour 1 000 journées-skieurs. Cette incidence est stable depuis 5 ans. Ski alpin et snowboard sont responsables de plus de 90 % des accidents pris en charge par les médecins de station. Le snowboard présente un " sur-risque " relatif par rapport au ski alpin, mais ce " sur-risque " concerne essentiellement le débutant. A niveau de pratique égal, il n'y a pas de différence. Tous sports confondus, les lésions les plus fréquentes sont les entorses: 4 blessés sur 10. Viennent en seconde position les fractures qui touchent 2 blessés sur 10. La lésion spécifique du skieur adulte est l'entorse du genou (1 lésion sur 3) avec une prédominance féminine pour les entorses graves: rupture du LCA. Cependant tous les skieurs, quel que soit leur niveau, peuvent présenter des lésions du LCA. La lésion spécifique du snowboarder est la fracture de l'avant-bras et celle du poignet: 1 lésion sur 5 chez l'adulte, 1 lésion sur 2 chez l'enfant. Le nombre de collisions est stable depuis 5 ans. La discrète augmentation du nombre de snowboardeurs impliqués dans ce type d'accidents est en rapport avec l'augmentation du nombre d'adeptes de ce nouveau mode de glisse.
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Exclu du prêtArthrose, ménisques et laxité antérieure du genou : Incidence des lésions traumatiques chez les joueurs de football professionnels / GENIN J in Journal de traumatologie du sport, vol. 21/1 (2004)
[article]
Titre : Arthrose, ménisques et laxité antérieure du genou : Incidence des lésions traumatiques chez les joueurs de football professionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : GENIN J ; DEL COMPARE P. ; PAUS V. ; TORRENGO F. ; BARTHELEMY J. P. Année de publication : 2004 Article en page(s) : P. 5-13 Résumé : Dès 1976, Allman assimile la rupture du ligament croisé antérieur (LCA) au « début de la fin » pour le genou. A partir des années 80, plusieurs auteurs se sont intéressés à l'histoire naturelle de ces entorses graves du genou. Leurs études montrent qu'il existe une détérioration progressive de la fonction du genou avec le développement d'une instabilité rotatoire, de lésions méniscales, d'une dégénérescence du cartilage et d'une arthrose post-traumatique, qui touchera finalement un patient sur trois à 10 ans. Au milieu des années 80 les premières séries de patients ayant bénéficié d'une stabilisation chirurgicale permettent de définir les facteurs arthrogènes dans l'histoire du LCA rompu. Au total, l'arthrose à 10 ans sur plastie efficace est de 7 à 10 % en cas de capital méniscal intact. Les ménisques sont indissociables de la laxité, leur préservation est un élément fondamental dans l'évolution à moyen et long terme. Le ménisque médial participe à la stabilité antérieure du genou. Pratiquer une méniscectomie isolée, c'est s'assurer du développement d'une arthrose précoce. La plastie du LCA protège les ménisques et réduit l'incidence de l'arthrose secondaire. Les modifications biologiques du liquide intra-articulaire, l'intérêt prédictif de certains examens d'imagerie, le développement de la reconstruction anatomique à double faisceau sont des pistes pour l'avenir. Nous terminerons par un exposé de notre courte expérience dans la prise en charge arthroscopique de ces lésions.
L'objectif de ce travail est d'évaluer l'incidence des lésions traumatiques dans une équipe de football professionnelle de 1 division du championnat argentin. Ayant appartenu à l'équipe médicale du club « Gimnasia y Esgrima » de La Plata pendant 11 années consécutives (1991-2002), nous avons réalisé une étude prospective sur 7 ans (1995 à 2001 inclus) afin de déterminer la fréquence et la gravité des lésions apparues pendant les entraînements et les compétitions dans un groupe constitué au total de 86 joueurs. Nous avons pratiqué 12 040 consultations à l'occasion de 2 021 entraînements et 542 matches officiels, au cours desquels furent diagnostiquées 3 119 pathologies: 18,7% de type « clinique » et 81,3 % de type traumatologique, ces dernières regroupées en lésions musculo-tendineuses, articulaires ou autres. Chacune d'elles a été localisée en fonction de la structure anatomique lésée, de son mécanisme lésionnel et en se fondant sur la classification de J. Dvorak et A. Junge, publiée dans le supplément de l'Am J Sports Med de l'année 2000, mais modifiée par notre équipe en 4 grades de gravité croissante. Les lésions de grade I (bénignes) sont prédominantes avec 2 345 lésions (92,4 %), suivies de celles de grade II (moyennes) au nombre de 92 (3,6 %), de grade III (graves) 52 (2,3 %) et enfin de grade IV (sévères) 40 (1,5 %). L'incidence des lésions a été de 9,1 % par joueur pour 1000 heures d'exposition au risque, comprenant entraînements, matches amicaux et officiels. Il a été constaté une nette prédominance des lésions du membre inférieur (84,8 %) par rapport au reste du corps: rachis (7,1 %), membre supérieur (5,7 %), thorax (1,2 %) et tête (0,9 %). La région du membre inférieur la plus touchée est la cuisse (43,9 %) suivie dans l'ordre par la jambe (13,8 %), le genou (9,6 %) et la cheville (8,1 %). Le genou est l'articulation la plus souvent atteinte de lésions de grade IV, représentées par les entorses graves. Les pathologies les plus fréquentes furent les lésions musculaires, localisées le plus souvent au droit fémoral. En revanche, nous avons constaté une égalité entre les lésions antérieures et postérieures de la cuisse. Le mécanisme de ces lésions musculo-tendineuses fut indirect dans 80 % des cas et direct dans 20 %. L'incidence des fractures a été faible avec 16 cas (0,6 %): 7 du membre supérieur et 5 du membre inférieur dont 3 sont des fractures de stress. Il y eut un très faible pourcentage de lésions ayant nécessité un traitement chirurgical: 23 cas, soit 0,9 %, mettant en évidence le choix d'une conduite thérapeutique conservatrice par rapport aux indications chirurgicales. Nous avons mis au point un programme uniforme d'évaluation clinique et d'examens complémentaires selon la structure anatomique lésée, avec l'objectif d'établir des protocoles visant à la récupération définitive du sportif avec reprise au niveau antérieur. Il en ressort des conclusions quant aux méthodes pour définir des règles de prévention, établir des diagnostics initiaux de certitude afin de prévoir les délais de récupération et de reprise du sport sans risque de récidive et d'augmenter ainsi la crédibilité de l'équipe médicale. Nous avons réalisé une étude prospective de 7 ans dans une équipe de football professionnelle jouant en 1 division du championnat argentin.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14295
in Journal de traumatologie du sport > vol. 21/1 (2004) . - P. 5-13[article] Arthrose, ménisques et laxité antérieure du genou : Incidence des lésions traumatiques chez les joueurs de football professionnels [texte imprimé] / GENIN J ; DEL COMPARE P. ; PAUS V. ; TORRENGO F. ; BARTHELEMY J. P. . - 2004 . - P. 5-13.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 21/1 (2004) . - P. 5-13
Résumé : Dès 1976, Allman assimile la rupture du ligament croisé antérieur (LCA) au « début de la fin » pour le genou. A partir des années 80, plusieurs auteurs se sont intéressés à l'histoire naturelle de ces entorses graves du genou. Leurs études montrent qu'il existe une détérioration progressive de la fonction du genou avec le développement d'une instabilité rotatoire, de lésions méniscales, d'une dégénérescence du cartilage et d'une arthrose post-traumatique, qui touchera finalement un patient sur trois à 10 ans. Au milieu des années 80 les premières séries de patients ayant bénéficié d'une stabilisation chirurgicale permettent de définir les facteurs arthrogènes dans l'histoire du LCA rompu. Au total, l'arthrose à 10 ans sur plastie efficace est de 7 à 10 % en cas de capital méniscal intact. Les ménisques sont indissociables de la laxité, leur préservation est un élément fondamental dans l'évolution à moyen et long terme. Le ménisque médial participe à la stabilité antérieure du genou. Pratiquer une méniscectomie isolée, c'est s'assurer du développement d'une arthrose précoce. La plastie du LCA protège les ménisques et réduit l'incidence de l'arthrose secondaire. Les modifications biologiques du liquide intra-articulaire, l'intérêt prédictif de certains examens d'imagerie, le développement de la reconstruction anatomique à double faisceau sont des pistes pour l'avenir. Nous terminerons par un exposé de notre courte expérience dans la prise en charge arthroscopique de ces lésions.
L'objectif de ce travail est d'évaluer l'incidence des lésions traumatiques dans une équipe de football professionnelle de 1 division du championnat argentin. Ayant appartenu à l'équipe médicale du club « Gimnasia y Esgrima » de La Plata pendant 11 années consécutives (1991-2002), nous avons réalisé une étude prospective sur 7 ans (1995 à 2001 inclus) afin de déterminer la fréquence et la gravité des lésions apparues pendant les entraînements et les compétitions dans un groupe constitué au total de 86 joueurs. Nous avons pratiqué 12 040 consultations à l'occasion de 2 021 entraînements et 542 matches officiels, au cours desquels furent diagnostiquées 3 119 pathologies: 18,7% de type « clinique » et 81,3 % de type traumatologique, ces dernières regroupées en lésions musculo-tendineuses, articulaires ou autres. Chacune d'elles a été localisée en fonction de la structure anatomique lésée, de son mécanisme lésionnel et en se fondant sur la classification de J. Dvorak et A. Junge, publiée dans le supplément de l'Am J Sports Med de l'année 2000, mais modifiée par notre équipe en 4 grades de gravité croissante. Les lésions de grade I (bénignes) sont prédominantes avec 2 345 lésions (92,4 %), suivies de celles de grade II (moyennes) au nombre de 92 (3,6 %), de grade III (graves) 52 (2,3 %) et enfin de grade IV (sévères) 40 (1,5 %). L'incidence des lésions a été de 9,1 % par joueur pour 1000 heures d'exposition au risque, comprenant entraînements, matches amicaux et officiels. Il a été constaté une nette prédominance des lésions du membre inférieur (84,8 %) par rapport au reste du corps: rachis (7,1 %), membre supérieur (5,7 %), thorax (1,2 %) et tête (0,9 %). La région du membre inférieur la plus touchée est la cuisse (43,9 %) suivie dans l'ordre par la jambe (13,8 %), le genou (9,6 %) et la cheville (8,1 %). Le genou est l'articulation la plus souvent atteinte de lésions de grade IV, représentées par les entorses graves. Les pathologies les plus fréquentes furent les lésions musculaires, localisées le plus souvent au droit fémoral. En revanche, nous avons constaté une égalité entre les lésions antérieures et postérieures de la cuisse. Le mécanisme de ces lésions musculo-tendineuses fut indirect dans 80 % des cas et direct dans 20 %. L'incidence des fractures a été faible avec 16 cas (0,6 %): 7 du membre supérieur et 5 du membre inférieur dont 3 sont des fractures de stress. Il y eut un très faible pourcentage de lésions ayant nécessité un traitement chirurgical: 23 cas, soit 0,9 %, mettant en évidence le choix d'une conduite thérapeutique conservatrice par rapport aux indications chirurgicales. Nous avons mis au point un programme uniforme d'évaluation clinique et d'examens complémentaires selon la structure anatomique lésée, avec l'objectif d'établir des protocoles visant à la récupération définitive du sportif avec reprise au niveau antérieur. Il en ressort des conclusions quant aux méthodes pour définir des règles de prévention, établir des diagnostics initiaux de certitude afin de prévoir les délais de récupération et de reprise du sport sans risque de récidive et d'augmenter ainsi la crédibilité de l'équipe médicale. Nous avons réalisé une étude prospective de 7 ans dans une équipe de football professionnelle jouant en 1 division du championnat argentin.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtUne lésion à ne pas méconnaître en traumatologie des sports d'hiver : la fracture du trochin / GENIN J in Journal de traumatologie du sport, vol. 15/2 (septembre 1998)
[article]
Titre : Une lésion à ne pas méconnaître en traumatologie des sports d'hiver : la fracture du trochin Type de document : texte imprimé Auteurs : GENIN J Année de publication : 1998 Article en page(s) : p. 117 - 121 Résumé : A partir d'un cas tiré de sa pratique, l'auteur a voulu faire un rappel sur la fracture du trochin, pathologie réputée rare voire exceptionnelle en traumatologie des sports d'hiver, mais dont le diagnostic doit être évoqué face à une " contusion " de l'épaule qui ne fait pas sa preuve. L'existence d'une ecchymose d'installation précoce au tiers moyen de la face antéro-interne du bras est un signe d'orientation important. La fracture du trochin représente 0,04 % des lésions traumatiques prises en charge par les médecins de stations de sports d'hiver. L'examen clinique initial est difficile et en l'absence de certitude diagnostique initiale, il faut revoir le patient 8-10 jours après le traumatisme. Le traitement est presque toujours chirurgical.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14760
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/2 (septembre 1998) . - p. 117 - 121[article] Une lésion à ne pas méconnaître en traumatologie des sports d'hiver : la fracture du trochin [texte imprimé] / GENIN J . - 1998 . - p. 117 - 121.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 15/2 (septembre 1998) . - p. 117 - 121
Résumé : A partir d'un cas tiré de sa pratique, l'auteur a voulu faire un rappel sur la fracture du trochin, pathologie réputée rare voire exceptionnelle en traumatologie des sports d'hiver, mais dont le diagnostic doit être évoqué face à une " contusion " de l'épaule qui ne fait pas sa preuve. L'existence d'une ecchymose d'installation précoce au tiers moyen de la face antéro-interne du bras est un signe d'orientation important. La fracture du trochin représente 0,04 % des lésions traumatiques prises en charge par les médecins de stations de sports d'hiver. L'examen clinique initial est difficile et en l'absence de certitude diagnostique initiale, il faut revoir le patient 8-10 jours après le traumatisme. Le traitement est presque toujours chirurgical.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPrise en charge de la luxation gléno-humérale par les médecins de stations de sports d'hiver : à propos de 529 cas (saison 1999/2000) / GENIN J in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/3 (2001)
[article]
Titre : Prise en charge de la luxation gléno-humérale par les médecins de stations de sports d'hiver : à propos de 529 cas (saison 1999/2000) Type de document : texte imprimé Auteurs : GENIN J Année de publication : 2001 Article en page(s) : P. 113-122 Résumé : L'articulation gléno-humérale est l'articulation la plus mobile de l'organisme mais aussi la plus vulnérable. La première représentation de luxation d'épaule remonte à 3 000 ans avant JC. En traumatologie des sports d'hiver, la luxation gléno-humérale est la plus fréquente des luxations. Elle représente 3,20 % du total des blessés pris en charge par les médecins de station (saison 98 99), et plus des deux tiers des luxations survenant lors des sports d'hiver toutes articulations confondues. En moyenne, un médecin de station prend en charge 12 luxations d'épaule par saison avec des extrêmes allant de 1 à 80. Le médecin de station établit le diagnostic, élimine une lésion associée ou une complication, et traite le patient au cabinet dans plus de 90 % des cas. La technique de réduction doit être simple, réalisable par un opérateur seul, atraumatique, indolore et rapide. Nous utilisons le plus souvent la technique de Milch. Le recours à l'analgésie, la sédation ou l'analgésie-sédation est nécessaire dans 18 % des cas. L'immobilisation est assurée par un gilet orthopédique de type Berrehail pour une durée moyenne de 18 jours. Durant la saison d'hiver 99 2000, 44 médecins de 31 stations différentes ont participé à une enquête sur la prise en charge de la luxation d'épaule. Nous vous livrons aujourd'hui les résultats de cette enquête.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14650
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 113-122[article] Prise en charge de la luxation gléno-humérale par les médecins de stations de sports d'hiver : à propos de 529 cas (saison 1999/2000) [texte imprimé] / GENIN J . - 2001 . - P. 113-122.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 18/3 (2001) . - P. 113-122
Résumé : L'articulation gléno-humérale est l'articulation la plus mobile de l'organisme mais aussi la plus vulnérable. La première représentation de luxation d'épaule remonte à 3 000 ans avant JC. En traumatologie des sports d'hiver, la luxation gléno-humérale est la plus fréquente des luxations. Elle représente 3,20 % du total des blessés pris en charge par les médecins de station (saison 98 99), et plus des deux tiers des luxations survenant lors des sports d'hiver toutes articulations confondues. En moyenne, un médecin de station prend en charge 12 luxations d'épaule par saison avec des extrêmes allant de 1 à 80. Le médecin de station établit le diagnostic, élimine une lésion associée ou une complication, et traite le patient au cabinet dans plus de 90 % des cas. La technique de réduction doit être simple, réalisable par un opérateur seul, atraumatique, indolore et rapide. Nous utilisons le plus souvent la technique de Milch. Le recours à l'analgésie, la sédation ou l'analgésie-sédation est nécessaire dans 18 % des cas. L'immobilisation est assurée par un gilet orthopédique de type Berrehail pour une durée moyenne de 18 jours. Durant la saison d'hiver 99 2000, 44 médecins de 31 stations différentes ont participé à une enquête sur la prise en charge de la luxation d'épaule. Nous vous livrons aujourd'hui les résultats de cette enquête.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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