[article] 
inKinésithérapie, la revue > 276 (Décembre 2024) . - p. 22-24

Titre :	Place de l’entraînement aérobie dans la paralysie cérébrale infantile : une étude qualitative en établissement d’accueil de moyen ou de long séjour
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Mélissa Travet ; Arnaud Choplin
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 22-24
Note générale :	https://doi : 10.1016/j.kine.2024.07.004
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Paralysie cérébrale  activité physique adaptée
Résumé :	L’activité physique est plus que nécessaire aux enfants paralysés cérébraux (PC). Et pour cause, leur handicap vient diminuer leur condition physique. La littérature indique que l’entraînement cardiorespiratoire augmente leurs capacités aérobiques et motrices, améliore leur condition physique et leur niveau d’activité physique. Or, il est compliqué pour ces enfants, désavantagés par leur fatigabilité et le manque d’infrastructures adaptées, de suivre les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui incitent à réaliser une activité physique de type cardiovasculaire et respiratoire au moins trois fois par semaine [2, 10].En parallèle, les masseurs-kinésithérapeutes (MK) sont amenés à solliciter l’appareil cardiorespiratoire de ces enfants, objectif recommandé par la Haute Autorité de Santé (HAS) depuis décembre 2021 [11]. Il est donc important que les MK disposent des outils qui leur permettent d’évaluer et de stimuler le système aérobie de ces enfants. Mais la littérature mentionne un seul test de terrain valide et reproductible pour les enfants PC ambulants : le 10-Meter Shuttle Run Test (10-SRT). Aucun test ne permet une évaluation fiable des capacités aérobies des enfants PC non ambulants. Par ailleurs, seules les recommandations établies à partir des recommandations de l’OMS et de l’American College of Sports Medicine (ACSM) donnent des indications sur les critères physiologiques qui ciblent l’évolution de l’endurance aérobique pendant les entraînements. Mais celles-ci ne sont pas totalement pertinentes pour des enfants non ambulants.Cette étude avait pour but d’analyser l’implication des MK dans l’évaluation et la gestion du travail d’endurance cardiorespiratoire dans le cadre du traitement d’enfants PC en infrastructure de moyen ou long séjour.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=120142

[article] Place de l’entraînement aérobie dans la paralysie cérébrale infantile : une étude qualitative en établissement d’accueil de moyen ou de long séjour [texte imprimé] / Mélissa Travet ; Arnaud Choplin . - 2024 . - p. 22-24.
https://doi : 10.1016/j.kine.2024.07.004
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 276 (Décembre 2024) . - p. 22-24

Mots-clés :	Paralysie cérébrale  activité physique adaptée
Résumé :	L’activité physique est plus que nécessaire aux enfants paralysés cérébraux (PC). Et pour cause, leur handicap vient diminuer leur condition physique. La littérature indique que l’entraînement cardiorespiratoire augmente leurs capacités aérobiques et motrices, améliore leur condition physique et leur niveau d’activité physique. Or, il est compliqué pour ces enfants, désavantagés par leur fatigabilité et le manque d’infrastructures adaptées, de suivre les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui incitent à réaliser une activité physique de type cardiovasculaire et respiratoire au moins trois fois par semaine [2, 10].En parallèle, les masseurs-kinésithérapeutes (MK) sont amenés à solliciter l’appareil cardiorespiratoire de ces enfants, objectif recommandé par la Haute Autorité de Santé (HAS) depuis décembre 2021 [11]. Il est donc important que les MK disposent des outils qui leur permettent d’évaluer et de stimuler le système aérobie de ces enfants. Mais la littérature mentionne un seul test de terrain valide et reproductible pour les enfants PC ambulants : le 10-Meter Shuttle Run Test (10-SRT). Aucun test ne permet une évaluation fiable des capacités aérobies des enfants PC non ambulants. Par ailleurs, seules les recommandations établies à partir des recommandations de l’OMS et de l’American College of Sports Medicine (ACSM) donnent des indications sur les critères physiologiques qui ciblent l’évolution de l’endurance aérobique pendant les entraînements. Mais celles-ci ne sont pas totalement pertinentes pour des enfants non ambulants.Cette étude avait pour but d’analyser l’implication des MK dans l’évaluation et la gestion du travail d’endurance cardiorespiratoire dans le cadre du traitement d’enfants PC en infrastructure de moyen ou long séjour.
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