[article] 
inRFL : Revue Francophone des Laboratoires > 566 (novembre 2024) . - p. 34-46

Titre :	Rôle du laboratoire dans le diagnostic d’une onychomycose : méthodes et interprétation
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Dominique Chabasse
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 34-46
Note générale :	Issu du dossier "Biologie pluridisciplinaire : La Revue Francophone des Laboratoires pour la culture des biologistes" Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00359-9
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	dermatophyte  levure  moisissure  onychomycose  pseudodermatophyte
Résumé :	Les onychomycoses ne représentent pas plus de 50 % de l’ensemble des pathologies unguéales. Les dermatophytes anthropophiles ( Trichophyton rubrum et T. interdigitale) sont les principaux agents rencontrés au niveau des pieds. Les levures du genre Candida ( Candida albicans, Candida parapsilosis, etc.) et parfois Trichosporon prédominent aux ongles des mains où l’atteinte unguéale peut s’associer à un périonyxis. D’autres espèces de champignons filamenteux, ayant une affinité particulière pour la kératine, et donnant des lésions proches des dermatophytes (appelées “pseudodermatophytes”) appartiennent au genre Neoscytalidium issues des régions tropicales et subtropicales, et Arachnomyces nodosetosus anciennement Onychocola canadensis, espèce kératinophile issue de pays tempérés ou froids impliqué surtout dans les onyxis des pieds de sujets âgés. Parmi les moisissures environnementales pouvant parfois parasiter l’ongle se trouvent principalement des espèces appartenant aux genres Scopulariopsis, Aspergillus et Fusarium, leur pouvoir pathogène n’est pas évident. Le rôle du laboratoire est justement, en plus de l’identification de l’espèce isolée, de démontrer que le champignon issu des prélèvements d’un ongle pathologique est bien le pathogène en cause.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=120105

[article] Rôle du laboratoire dans le diagnostic d’une onychomycose : méthodes et interprétation [texte imprimé] / Dominique Chabasse . - 2024 . - p. 34-46.
Issu du dossier "Biologie pluridisciplinaire : La Revue Francophone des Laboratoires pour la culture des biologistes"
Doi : 10.1016/S1773-035X(24)00359-9
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 566 (novembre 2024) . - p. 34-46

Mots-clés :	dermatophyte  levure  moisissure  onychomycose  pseudodermatophyte
Résumé :	Les onychomycoses ne représentent pas plus de 50 % de l’ensemble des pathologies unguéales. Les dermatophytes anthropophiles ( Trichophyton rubrum et T. interdigitale) sont les principaux agents rencontrés au niveau des pieds. Les levures du genre Candida ( Candida albicans, Candida parapsilosis, etc.) et parfois Trichosporon prédominent aux ongles des mains où l’atteinte unguéale peut s’associer à un périonyxis. D’autres espèces de champignons filamenteux, ayant une affinité particulière pour la kératine, et donnant des lésions proches des dermatophytes (appelées “pseudodermatophytes”) appartiennent au genre Neoscytalidium issues des régions tropicales et subtropicales, et Arachnomyces nodosetosus anciennement Onychocola canadensis, espèce kératinophile issue de pays tempérés ou froids impliqué surtout dans les onyxis des pieds de sujets âgés. Parmi les moisissures environnementales pouvant parfois parasiter l’ongle se trouvent principalement des espèces appartenant aux genres Scopulariopsis, Aspergillus et Fusarium, leur pouvoir pathogène n’est pas évident. Le rôle du laboratoire est justement, en plus de l’identification de l’espèce isolée, de démontrer que le champignon issu des prélèvements d’un ongle pathologique est bien le pathogène en cause.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=120105