Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Science & sports . Volume 26 numéro 2Paru le : 01/04/2011 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierMaximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Maximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties Titre original : Lipoxmax ou oxydation maximale des lipides lors de l’exercice : des mesures physiologiques aux applications cliniques. Réalités et incertitudes Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.27-71 Langues : Français (fre) Mots-clés : obésité diabète calorimétrie oxydation des lipides lipoxmax fatmax exercice entraînement Résumé : On peut déterminer une intensité d’exercice pour laquelle l’oxydation des lipides est maximale, dénommée Lipoxmax, Fatoxmax ou Fatmax. La mesure du Lipoxmax par calorimétrie d’effort est reproductible, mais ce paramètre est modifié par plusieurs des situations physiologiques (entraînement physique, exercice ou repas réalisé dans les heures précédentes). Sa mesure prédit le débit d’oxydation lipidique à plateau d’un exercice modéré à puissance constante de 45 à 60 minutes réalisé à l’intensité correspondante. Il pourrait être un marqueur de « bonne forme métabolique » et reflète la respiration mitochondriale. Le Lipoxmax est influencé par les catécholamines, l’hormone de croissance et l’IGF-I. Ses variations sont liées aux modifications du niveau de la citrate synthase musculaire et à la capacité des mitochondries à oxyder les acides gras. Une méta-analyse montre qu’un entraînement à ce niveau est efficace pour réduire la masse grasse, épargner la masse maigre, augmenter la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice, réduire la glycémie et l’HbA1c dans le diabète de type 2, et diminuer le cholestérol circulant. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21392
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.27-71[article] Maximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties = Lipoxmax ou oxydation maximale des lipides lors de l’exercice : des mesures physiologiques aux applications cliniques. Réalités et incertitudes [texte imprimé] . - 2011 . - pp.27-71.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.27-71
Mots-clés : obésité diabète calorimétrie oxydation des lipides lipoxmax fatmax exercice entraînement Résumé : On peut déterminer une intensité d’exercice pour laquelle l’oxydation des lipides est maximale, dénommée Lipoxmax, Fatoxmax ou Fatmax. La mesure du Lipoxmax par calorimétrie d’effort est reproductible, mais ce paramètre est modifié par plusieurs des situations physiologiques (entraînement physique, exercice ou repas réalisé dans les heures précédentes). Sa mesure prédit le débit d’oxydation lipidique à plateau d’un exercice modéré à puissance constante de 45 à 60 minutes réalisé à l’intensité correspondante. Il pourrait être un marqueur de « bonne forme métabolique » et reflète la respiration mitochondriale. Le Lipoxmax est influencé par les catécholamines, l’hormone de croissance et l’IGF-I. Ses variations sont liées aux modifications du niveau de la citrate synthase musculaire et à la capacité des mitochondries à oxyder les acides gras. Une méta-analyse montre qu’un entraînement à ce niveau est efficace pour réduire la masse grasse, épargner la masse maigre, augmenter la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice, réduire la glycémie et l’HbA1c dans le diabète de type 2, et diminuer le cholestérol circulant. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21392 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPreschool outdoor play environment may combine promotion of children's physical activity and sun protection. Further evidence from Southern Sweden and North Carolina ☆ in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Preschool outdoor play environment may combine promotion of children's physical activity and sun protection. Further evidence from Southern Sweden and North Carolina ☆ Titre original : Les aires de jeux extérieures en école maternelle peuvent associer promotion de l’activité physique et protection solaire. Nouveaux arguments de Suède du Sud et de Caroline du Nord ☆ Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.72-82 Langues : Français (fre) Mots-clés : tout-petits exposition solaire environnement extérieur activité physique Résumé : Objectifs
Étudier l’impact de l’environnement extérieur d’écoles maternelles sur l’activité physique et l’exposition au rayonnement solaire ultraviolet (UV) à deux latitudes et dans deux pays.
Méthodes
Les éléments extérieurs de 11 écoles maternelles (deux à Raleigh NC, États-Unis, Lat. 36̊N et neuf à Malmö, Suède, Lat. 55̊N) ont été combinés par le score OPEC : espace, végétation, relief du terrain et degré d’intégration entre l’espace, la végétation et les structures de jeu. L’activité physique a été mesurée par podomètres et l’exposition solaire par dosimètres à film de polysulfone pendant cinq jours au printemps 2009. Les données individuelles ont été recueillies par questionnaires et anthropométrie.
Résultats
À Malmö, le nombre moyen de coups/minute était de 21,2 chez les enfants évoluant dans un environnement à score élevé et de 17,6 dans les environnements à score bas. Les expositions solaires étaient respectivement de 26 et 43 % lors des séjours en extérieur. À Raleigh, les coups/minutes ne différaient pas selon l’environnement : 12,3 et l’exposition solaire non plus : 27 %.
Conclusions
L’activité physique est moindre à Raleigh, mais à Malmö, les enfants qui évoluent dans un environnement extérieur à score peu élevé courent un plus haut risque d’érythème solaire qu’à Raleigh. Les arbres et arbustes intégrés dans les aires de jeu des enfants augmentent l’activité physique et les comportements de protection solaire. Le rôle des saisons et du climat doit être précisé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21393
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.72-82[article] Preschool outdoor play environment may combine promotion of children's physical activity and sun protection. Further evidence from Southern Sweden and North Carolina ☆ = Les aires de jeux extérieures en école maternelle peuvent associer promotion de l’activité physique et protection solaire. Nouveaux arguments de Suède du Sud et de Caroline du Nord ☆ [texte imprimé] . - 2011 . - pp.72-82.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.72-82
Mots-clés : tout-petits exposition solaire environnement extérieur activité physique Résumé : Objectifs
Étudier l’impact de l’environnement extérieur d’écoles maternelles sur l’activité physique et l’exposition au rayonnement solaire ultraviolet (UV) à deux latitudes et dans deux pays.
Méthodes
Les éléments extérieurs de 11 écoles maternelles (deux à Raleigh NC, États-Unis, Lat. 36̊N et neuf à Malmö, Suède, Lat. 55̊N) ont été combinés par le score OPEC : espace, végétation, relief du terrain et degré d’intégration entre l’espace, la végétation et les structures de jeu. L’activité physique a été mesurée par podomètres et l’exposition solaire par dosimètres à film de polysulfone pendant cinq jours au printemps 2009. Les données individuelles ont été recueillies par questionnaires et anthropométrie.
Résultats
À Malmö, le nombre moyen de coups/minute était de 21,2 chez les enfants évoluant dans un environnement à score élevé et de 17,6 dans les environnements à score bas. Les expositions solaires étaient respectivement de 26 et 43 % lors des séjours en extérieur. À Raleigh, les coups/minutes ne différaient pas selon l’environnement : 12,3 et l’exposition solaire non plus : 27 %.
Conclusions
L’activité physique est moindre à Raleigh, mais à Malmö, les enfants qui évoluent dans un environnement extérieur à score peu élevé courent un plus haut risque d’érythème solaire qu’à Raleigh. Les arbres et arbustes intégrés dans les aires de jeu des enfants augmentent l’activité physique et les comportements de protection solaire. Le rôle des saisons et du climat doit être précisé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21393 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPromouvoir l’activité physique chez l’enfant d’âge préscolaire dans le secteur du sport et du loisir : le programme d’activités motrices. Le tour du monde de KaribouMD in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Promouvoir l’activité physique chez l’enfant d’âge préscolaire dans le secteur du sport et du loisir : le programme d’activités motrices. Le tour du monde de KaribouMD Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.83-87 Langues : Français (fre) Mots-clés : habiletés motrices tout-petits activité physique programme formation Résumé : Objectif
Présentation d’un programme d’activité physique chez les enfants d’âge préscolaire.
Actualités
Le tour du monde de KaribouMD est un programme d’activités motrices pour les un à quatre ans accompagnés de leurs parents. Par des parcours de motricité, des jeux collectifs, des défis, des activités de danse et des thématiques amusantes, le programme vise trois objectifs : développer des habiletés motrices, favoriser l’estime de soi et s’amuser. Le programme comporte six niveaux qui permettent la progression et l’adaptation des activités aux capacités motrices des enfants. De plus, au cours des dix semaines que comporte chaque niveau, les enfants reçoivent des souvenirs et des récompenses dans le but de favoriser leur adhésion. Implanté dans près de 45 villes au Québec par le biais principalement des services des sports, la finalité du programme est de développer dès l’enfance le goût de bouger dans une perspective à long terme reliée aux saines habitudes de vie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21394
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.83-87[article] Promouvoir l’activité physique chez l’enfant d’âge préscolaire dans le secteur du sport et du loisir : le programme d’activités motrices. Le tour du monde de KaribouMD [texte imprimé] . - 2011 . - pp.83-87.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.83-87
Mots-clés : habiletés motrices tout-petits activité physique programme formation Résumé : Objectif
Présentation d’un programme d’activité physique chez les enfants d’âge préscolaire.
Actualités
Le tour du monde de KaribouMD est un programme d’activités motrices pour les un à quatre ans accompagnés de leurs parents. Par des parcours de motricité, des jeux collectifs, des défis, des activités de danse et des thématiques amusantes, le programme vise trois objectifs : développer des habiletés motrices, favoriser l’estime de soi et s’amuser. Le programme comporte six niveaux qui permettent la progression et l’adaptation des activités aux capacités motrices des enfants. De plus, au cours des dix semaines que comporte chaque niveau, les enfants reçoivent des souvenirs et des récompenses dans le but de favoriser leur adhésion. Implanté dans près de 45 villes au Québec par le biais principalement des services des sports, la finalité du programme est de développer dès l’enfance le goût de bouger dans une perspective à long terme reliée aux saines habitudes de vie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21394 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtIntérêt de la quantification de la masse musculaire pour interpréter la calorimétrie d’effort in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Intérêt de la quantification de la masse musculaire pour interpréter la calorimétrie d’effort Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.88-91 Langues : Français (fre) Mots-clés : exercice endurance amaigrissement LIPOXmax muscle Résumé : Objectifs
Nous avons voulu voir si le fait de rapporter l’oxydation des lipides à la masse musculaire permet d’affiner l’interprétation de résultats de calorimétrie d’effort.
Méthodes
Chez 40 patients obèses et/ou diabétiques (26 femmes et 14 hommes ; âge 46,2 ± 2,5 ; IMC : 32,7 ± 1,04), nous avons étudié, avant et après réentraînement ciblé au niveau d’oxydation lipidique maximal (LIPOXmax), la balance des substrats énergétiques et l’impédance corporelle en multifréquences, pour calculer selon Janssen la masse musculaire.
Résultats
Avant réentraînement, le débit maximal d’oxydation lipidique (DMOL) est davantage corrélé à la masse musculaire (r = 0,583, p < 0,001) qu’à la masse maigre (r = 0,419, p < 0,01), montrant que c’est bien la masse musculaire qui est le principal déterminant anthropométrique du DMOL. L’amélioration du DMOL après entraînement n’est pas corrélée avec les changements de masse musculaire, mais le DMOL exprimé en milligramme par minute par kilogramme (mg/min/kg) de masse maigre augmente de façon très significative : 4,09 ± 0,61 à 7,01 ± 0,45 mg/min/kg, soit +71 % (p < 0,001) dans l’ensemble de l’échantillon. L’augmentation du DMOL exprimée en débit brut ou corrigée par la masse maigre ou le poids ressort avec moins de netteté et n’est significative que dans le groupe des femmes (p < 0,03). Le réentraînement provoque également une perte de poids de –2,14 ± 0,89 kg (p < 0,02), de tour de taille de –1,61 ± 0,82 cm (p < 0,05) et déplace vers la droite le LIPOXmax de 8,85 ± 4,08 watts (p < 0,03). On retrouve une corrélation entre le DMOL de départ et la perte de poids (r = –0,320, p < 0,05) et de tour de taille (r = –0,320, p < 0,05), et entre le DMOL par kilogramme de masse musculaire et la réduction de rapport taille/hanche (r = –0,390, p < 0,05). Au-dessus d’un DMOL de 5 mg/min/kg muscle, l’exercice fait perdre 3 cm de tour de taille (p < 0,05) et réduit le rapport taille/hanche de –0,15 (p < 0,05), au-dessous de cette valeur l’exercice ne fait pas perdre de poids…
Conclusion
Ces résultats indiquent que : (1) la masse musculaire calculée par bio-impédancemétrie est plus étroitement liée au DOL que la masse maigre globale ; (2) qu’un réentraînement au LIPOXmax augmente l’aptitude maximale du tissu musculaire à oxyder des lipides ; (3) que le DMOL exprimé par unité de masse musculaire est un prédicteur de l’efficacité de l’exercice sur les stocks lipidiques, avec un seuil à 5 mg/min/kg muscle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21395
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.88-91[article] Intérêt de la quantification de la masse musculaire pour interpréter la calorimétrie d’effort [texte imprimé] . - 2011 . - pp.88-91.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.88-91
Mots-clés : exercice endurance amaigrissement LIPOXmax muscle Résumé : Objectifs
Nous avons voulu voir si le fait de rapporter l’oxydation des lipides à la masse musculaire permet d’affiner l’interprétation de résultats de calorimétrie d’effort.
Méthodes
Chez 40 patients obèses et/ou diabétiques (26 femmes et 14 hommes ; âge 46,2 ± 2,5 ; IMC : 32,7 ± 1,04), nous avons étudié, avant et après réentraînement ciblé au niveau d’oxydation lipidique maximal (LIPOXmax), la balance des substrats énergétiques et l’impédance corporelle en multifréquences, pour calculer selon Janssen la masse musculaire.
Résultats
Avant réentraînement, le débit maximal d’oxydation lipidique (DMOL) est davantage corrélé à la masse musculaire (r = 0,583, p < 0,001) qu’à la masse maigre (r = 0,419, p < 0,01), montrant que c’est bien la masse musculaire qui est le principal déterminant anthropométrique du DMOL. L’amélioration du DMOL après entraînement n’est pas corrélée avec les changements de masse musculaire, mais le DMOL exprimé en milligramme par minute par kilogramme (mg/min/kg) de masse maigre augmente de façon très significative : 4,09 ± 0,61 à 7,01 ± 0,45 mg/min/kg, soit +71 % (p < 0,001) dans l’ensemble de l’échantillon. L’augmentation du DMOL exprimée en débit brut ou corrigée par la masse maigre ou le poids ressort avec moins de netteté et n’est significative que dans le groupe des femmes (p < 0,03). Le réentraînement provoque également une perte de poids de –2,14 ± 0,89 kg (p < 0,02), de tour de taille de –1,61 ± 0,82 cm (p < 0,05) et déplace vers la droite le LIPOXmax de 8,85 ± 4,08 watts (p < 0,03). On retrouve une corrélation entre le DMOL de départ et la perte de poids (r = –0,320, p < 0,05) et de tour de taille (r = –0,320, p < 0,05), et entre le DMOL par kilogramme de masse musculaire et la réduction de rapport taille/hanche (r = –0,390, p < 0,05). Au-dessus d’un DMOL de 5 mg/min/kg muscle, l’exercice fait perdre 3 cm de tour de taille (p < 0,05) et réduit le rapport taille/hanche de –0,15 (p < 0,05), au-dessous de cette valeur l’exercice ne fait pas perdre de poids…
Conclusion
Ces résultats indiquent que : (1) la masse musculaire calculée par bio-impédancemétrie est plus étroitement liée au DOL que la masse maigre globale ; (2) qu’un réentraînement au LIPOXmax augmente l’aptitude maximale du tissu musculaire à oxyder des lipides ; (3) que le DMOL exprimé par unité de masse musculaire est un prédicteur de l’efficacité de l’exercice sur les stocks lipidiques, avec un seuil à 5 mg/min/kg muscle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21395 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtComparaison de deux modalités différentes d’activité physique (SWEET et Lipoxmax) chez des diabétiques de type 2 in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Comparaison de deux modalités différentes d’activité physique (SWEET et Lipoxmax) chez des diabétiques de type 2 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.92-96 Langues : Français (fre) Mots-clés : exercice résistance endurance diabète LIPOXmax HbA1c Résumé : Contexte et objectifs
Les exercices de forte et de faible intensité ont tous deux montré un intérêt dans la prise en charge du diabète de type 2 (DT2). Leurs effets sont a priori différents et complémentaires. Nous avons voulu comparer un protocole d’entraînement en endurance ciblé au niveau d’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) et un protocole classique combinant résistance et endurance (Square-Wave Endurance Exercise Test [SWEET]).
Patients et méthodes
Soixante-trois DT2 (âge 52,6 ± 1,5 ans ; IMC 32,7 ± 0,7) ont été divisés en trois groupes appariés pour l’âge, l’IMC et l’HbA1c, et ont été comparés sur une période de trois mois, sans intervention nutritionnelle : 39 ont été entraînés au LIPOXmax déterminé par calorimétrie d’effort, 12 ont été entraînés par SWEET, et 12 patients non entraînés ont servi de témoins.
Résultats
Après trois mois, les deux méthodes d’entraînement ont augmenté l’aptitude aérobie (VO2max) (SWEET +42 ± 16,4 %, p = 0,027 vs LIPOXmax +14 ± 4,09 % p = 0,011). L’effet du SWEET sur VO2max était plus marqué que celui de l’entraînement au LIPOXmax (p = 0,0016). Le SWEET réduit la pression artérielle systolique de repos (–12,08 ± 5,17 mmHg, p = 0,040) et le cholestérol total (–0,29 ± 0,13 mmol/L ; p = 0,049), effets non obervés avec l’entraînement au LIPOXmax. Les deux formes d’entraînement réduisent le poids et l’IMC. L’entraînement au LIPOXmax améliore la capacité à oxyder les lipides (débit maximum d’oxydation des lipides 53 ± 13,53 mg/min, p = 0,0005) et décale son maximum vers une puissance plus élevée (+20,9 ± 4,29 watts, p = 0,00002), diminue la masse grasse (–1 ± 0,37 %, p = 0,012), augmente la masse maigre (+1 ± 0,37 % p = 0,012), diminue le tour de taille (–3,76 ± 0,99 cm p = 0,0007) et de hanche (–2,18 ± 0,78 cm p = 0,009) tandis que le SWEET n’affecte pas significativement ces paramètres. Au cours de cette courte période, les effets de l’entraînement sur l’HbA1c ont été significatifs dans le groupe LIPOXmax (–0,15 ± 0,07 % p = 0,044) mais pas dans le groupe SWEET.
Conclusion
Cette étude montre que l’entraînement SWEET améliore l’aptitude aérobie, la pression artérielle et le profil lipidique, alors que l’entraînement en endurance à faible intensité au LIPOXmax améliore la capacité d’oxyder les lipides à l’exercice, augmente la masse maigre, diminue la masse grasse et diminue l’HbA1c. Les avantages de ces deux types d’entraînement sont donc assez différents et tous deux sont sans doute intéressants à combiner dans la prise en charge du DT2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21396
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.92-96[article] Comparaison de deux modalités différentes d’activité physique (SWEET et Lipoxmax) chez des diabétiques de type 2 [texte imprimé] . - 2011 . - pp.92-96.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.92-96
Mots-clés : exercice résistance endurance diabète LIPOXmax HbA1c Résumé : Contexte et objectifs
Les exercices de forte et de faible intensité ont tous deux montré un intérêt dans la prise en charge du diabète de type 2 (DT2). Leurs effets sont a priori différents et complémentaires. Nous avons voulu comparer un protocole d’entraînement en endurance ciblé au niveau d’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) et un protocole classique combinant résistance et endurance (Square-Wave Endurance Exercise Test [SWEET]).
Patients et méthodes
Soixante-trois DT2 (âge 52,6 ± 1,5 ans ; IMC 32,7 ± 0,7) ont été divisés en trois groupes appariés pour l’âge, l’IMC et l’HbA1c, et ont été comparés sur une période de trois mois, sans intervention nutritionnelle : 39 ont été entraînés au LIPOXmax déterminé par calorimétrie d’effort, 12 ont été entraînés par SWEET, et 12 patients non entraînés ont servi de témoins.
Résultats
Après trois mois, les deux méthodes d’entraînement ont augmenté l’aptitude aérobie (VO2max) (SWEET +42 ± 16,4 %, p = 0,027 vs LIPOXmax +14 ± 4,09 % p = 0,011). L’effet du SWEET sur VO2max était plus marqué que celui de l’entraînement au LIPOXmax (p = 0,0016). Le SWEET réduit la pression artérielle systolique de repos (–12,08 ± 5,17 mmHg, p = 0,040) et le cholestérol total (–0,29 ± 0,13 mmol/L ; p = 0,049), effets non obervés avec l’entraînement au LIPOXmax. Les deux formes d’entraînement réduisent le poids et l’IMC. L’entraînement au LIPOXmax améliore la capacité à oxyder les lipides (débit maximum d’oxydation des lipides 53 ± 13,53 mg/min, p = 0,0005) et décale son maximum vers une puissance plus élevée (+20,9 ± 4,29 watts, p = 0,00002), diminue la masse grasse (–1 ± 0,37 %, p = 0,012), augmente la masse maigre (+1 ± 0,37 % p = 0,012), diminue le tour de taille (–3,76 ± 0,99 cm p = 0,0007) et de hanche (–2,18 ± 0,78 cm p = 0,009) tandis que le SWEET n’affecte pas significativement ces paramètres. Au cours de cette courte période, les effets de l’entraînement sur l’HbA1c ont été significatifs dans le groupe LIPOXmax (–0,15 ± 0,07 % p = 0,044) mais pas dans le groupe SWEET.
Conclusion
Cette étude montre que l’entraînement SWEET améliore l’aptitude aérobie, la pression artérielle et le profil lipidique, alors que l’entraînement en endurance à faible intensité au LIPOXmax améliore la capacité d’oxyder les lipides à l’exercice, augmente la masse maigre, diminue la masse grasse et diminue l’HbA1c. Les avantages de ces deux types d’entraînement sont donc assez différents et tous deux sont sans doute intéressants à combiner dans la prise en charge du DT2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21396 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtFrequency of dropouts in decathlon: An epidemiological retrospective study in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Frequency of dropouts in decathlon: An epidemiological retrospective study Titre original : Fréquence des abandons en décathlon : une étude épidémiologique rétrospective Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.97-100 Langues : Français (fre) Mots-clés : athlétisme épreuves combinées lésions musculosquelettiques épidémiologie Résumé : Objectifs
Déterminer, à partir des données existantes, la fréquence des abandons et les « épreuves clés » durant un décathlon.
Méthodes
Les résultats de 92 décathlons ont été collectés de 1991 à 2010.Vingt-deux pourcent des décathloniens n’ont pas fini le décathlon (10,8 % durant le premier jour et 11,4 % durant le second). Le pourcentage de points non marqués pour une épreuve (no point mark) était important pour le saut à la perche (6,1 %), la longueur (2,4 %) et le 110-m haies (2,3 %) durant le décathlon.
Conclusion
Ne pas finir un décathlon est fréquent. Certaines épreuves sont déterminantes pour terminer avec succès la compétition, comme les épreuves techniques et explosives (sauts et haies). Des études prospectives sont nécessaires pour déterminer la cause des abandons en épreuves combinées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21397
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.97-100[article] Frequency of dropouts in decathlon: An epidemiological retrospective study = Fréquence des abandons en décathlon : une étude épidémiologique rétrospective [texte imprimé] . - 2011 . - pp.97-100.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.97-100
Mots-clés : athlétisme épreuves combinées lésions musculosquelettiques épidémiologie Résumé : Objectifs
Déterminer, à partir des données existantes, la fréquence des abandons et les « épreuves clés » durant un décathlon.
Méthodes
Les résultats de 92 décathlons ont été collectés de 1991 à 2010.Vingt-deux pourcent des décathloniens n’ont pas fini le décathlon (10,8 % durant le premier jour et 11,4 % durant le second). Le pourcentage de points non marqués pour une épreuve (no point mark) était important pour le saut à la perche (6,1 %), la longueur (2,4 %) et le 110-m haies (2,3 %) durant le décathlon.
Conclusion
Ne pas finir un décathlon est fréquent. Certaines épreuves sont déterminantes pour terminer avec succès la compétition, comme les épreuves techniques et explosives (sauts et haies). Des études prospectives sont nécessaires pour déterminer la cause des abandons en épreuves combinées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21397 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtL’entorse de la cheville in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : L’entorse de la cheville Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.103-110 Langues : Français (fre) Mots-clés : entorse de la cheville traitement rééducation Résumé : Résumé
Face à un traumatisme de la cheville, les données de l’interrogatoire et de l’examen clinique sont fondamentales. Elles vont permettre de pouvoir se faire une idée de la gravité d’une éventuelle entorse mais surtout de pouvoir s’orienter vers la détection d’une lésion associée dont le diagnostic précoce permet dans la plupart des cas d’éviter les complications. Actuellement, les données de la littérature sont en faveur d’un traitement fonctionnel de l’entorse isolée du ligament collatéral latéral. Le traitement fonctionnel repose, d’une part, sur le port d’une attelle pour une durée variant selon la gravité de l’entorse et, d’autre part, sur un programme de rééducation. Après le classique protocole RICE des premiers jours, le programme de rééducation a pour but de lutter contre les déficiences : il s’attache donc à restaurer les qualités de force des muscles périarticulaires de la cheville, de récupérer les amplitudes articulaires et les qualités d’équilibre grâce au travail proprioceptif.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21398
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.103-110[article] L’entorse de la cheville [texte imprimé] . - 2011 . - pp.103-110.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.103-110
Mots-clés : entorse de la cheville traitement rééducation Résumé : Résumé
Face à un traumatisme de la cheville, les données de l’interrogatoire et de l’examen clinique sont fondamentales. Elles vont permettre de pouvoir se faire une idée de la gravité d’une éventuelle entorse mais surtout de pouvoir s’orienter vers la détection d’une lésion associée dont le diagnostic précoce permet dans la plupart des cas d’éviter les complications. Actuellement, les données de la littérature sont en faveur d’un traitement fonctionnel de l’entorse isolée du ligament collatéral latéral. Le traitement fonctionnel repose, d’une part, sur le port d’une attelle pour une durée variant selon la gravité de l’entorse et, d’autre part, sur un programme de rééducation. Après le classique protocole RICE des premiers jours, le programme de rééducation a pour but de lutter contre les déficiences : il s’attache donc à restaurer les qualités de force des muscles périarticulaires de la cheville, de récupérer les amplitudes articulaires et les qualités d’équilibre grâce au travail proprioceptif.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21398 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtTroubles digestifs du sportif in Science & sports, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Troubles digestifs du sportif Type de document : texte imprimé Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp.111-115 Langues : Français (fre) Mots-clés : sport colite ischémique motricité digestive Résumé : Les troubles digestifs du sportif sont des événements très fréquemment rencontrés dans les activités d’endurance et engendrent une auto médication non négligeable. Les mécanismes physiopathologiques sont complexes car intriqués les uns aux autres en faisant intervenir trois principaux facteurs (ischémique, moteur et mécanique) mais aussi de nombreux paramètres personnels et/ou environnementaux. L’ischémie est considérée comme le facteur le plus grave. Les cas publiés à ce jour sont cependant limités avec un pronostic rapidement favorable lorsqu’ils sont pris en charge rapidement. La prévention de ces troubles digestifs doit être personnalisée. Elle repose essentiellement sur un entraînement adapté à l’effort attendu et des mesures nutritionnelles. Le recours à la pharmacopée est possible mais limité et se base principalement sur les pansements digestifs et protecteurs gastriques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21399
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.111-115[article] Troubles digestifs du sportif [texte imprimé] . - 2011 . - pp.111-115.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.111-115
Mots-clés : sport colite ischémique motricité digestive Résumé : Les troubles digestifs du sportif sont des événements très fréquemment rencontrés dans les activités d’endurance et engendrent une auto médication non négligeable. Les mécanismes physiopathologiques sont complexes car intriqués les uns aux autres en faisant intervenir trois principaux facteurs (ischémique, moteur et mécanique) mais aussi de nombreux paramètres personnels et/ou environnementaux. L’ischémie est considérée comme le facteur le plus grave. Les cas publiés à ce jour sont cependant limités avec un pronostic rapidement favorable lorsqu’ils sont pris en charge rapidement. La prévention de ces troubles digestifs doit être personnalisée. Elle repose essentiellement sur un entraînement adapté à l’effort attendu et des mesures nutritionnelles. Le recours à la pharmacopée est possible mais limité et se base principalement sur les pansements digestifs et protecteurs gastriques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21399 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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