Titre :	Impacts à court terme des compressions ischémiques manuelles sur les trigger points des triceps suraux au sein d'une population étudiante
Type de document :	TFE / Mémoire
Auteurs :	Axel Perez, Auteur ; Arthur Savary, Auteur ; Thibault Ferrière, Promoteur du mémoire
Editeur :	Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut
Année de publication :	2024
Importance :	52p.
Note générale :	Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Trigger points  Compressions ischémiques manuelles  Triceps sural  Force maximale  Seuil de douleur maximale à la pression  Saut vertical
Index. décimale :	MK Mémoire Kinésithérapie
Résumé :	Contexte et objectif – Les trigger points (TP) sont à l’origine de changements sensoriels, moteurs et autonomes. Ils peuvent donc impacter de manière négative la performance sportive. Dans les sports tels que le volleyball et le basketball, les sauts verticaux font partie des facteurs de cette performance. Il est donc important de traiter ces TP afin de limiter leurs effets néfastes et d’optimiser les compétences des sportifs. Cette étude a donc pour objectif d’évaluer les impacts à court terme des compressions ischémiques manuelles (CIM) sur un TP de chaque triceps sural sur la force maximale (Fmax), la hauteur maximale de saut (Hmax) et le seuil de douleur maximale à la pression (PPTmax). Méthodes – Au total, 30 étudiants de la HELHA de Montignies-sur-Sambre qui présentaient au moins 1 TP sur chaque triceps sural ont été répartis dans deux groupes, expérimental (EXP) et contrôle (CTRL), de 15 sujets chacun (10 hommes et 5 femmes). Les sujets devaient se rendre à 2 reprises au laboratoire FFH de la HELHA. Chaque session de tests était espacée de 2 jours minimum. Durant chaque session, ils réalisaient un test de Fmax, un test de saut vertical et un test de quantification du PPTmax. Avant la seconde session de tests, le groupe EXP recevait, sur leurs TP, les CIM à une valeur équivalente à leur seuil de douleur. Le groupe CTRL ne recevait aucun traitement. Résultats – Les PPTmax G et D des sujets du groupe EXP ont augmenté en comparaison à ceux du groupe CTRL mais cela de manière non significative. Une tendance à l’augmentation des Fmax G et D est observée pour le groupe EXP avec des p-valeurs se rapprochant du seuil de signification. Cependant, en comparaison avec le groupe CTRL, l’amélioration de ces Fmax G et D n’est pas significative. De plus, le traitement des TP par CIM n’a aucune influence sur la Hmax des sujets du groupe EXP. Conclusion – Une seule séance de CIM, réalisée uniquement sur un seul TP par triceps sural, ne semble pas avoir d’effets bénéfiques remarquables sur les paramètres étudiés. Il serait intéressant d’évaluer par le biais d’autres études, les effets d’une seule séance de CIM sur plusieurs TP de ce même groupe musculaire.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=118165

Impacts à court terme des compressions ischémiques manuelles sur les trigger points des triceps suraux au sein d'une population étudiante [TFE / Mémoire] / Axel Perez, Auteur ; Arthur Savary, Auteur ; Thibault Ferrière, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2024 . - 52p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Trigger points  Compressions ischémiques manuelles  Triceps sural  Force maximale  Seuil de douleur maximale à la pression  Saut vertical
Index. décimale :	MK Mémoire Kinésithérapie
Résumé :	Contexte et objectif – Les trigger points (TP) sont à l’origine de changements sensoriels, moteurs et autonomes. Ils peuvent donc impacter de manière négative la performance sportive. Dans les sports tels que le volleyball et le basketball, les sauts verticaux font partie des facteurs de cette performance. Il est donc important de traiter ces TP afin de limiter leurs effets néfastes et d’optimiser les compétences des sportifs. Cette étude a donc pour objectif d’évaluer les impacts à court terme des compressions ischémiques manuelles (CIM) sur un TP de chaque triceps sural sur la force maximale (Fmax), la hauteur maximale de saut (Hmax) et le seuil de douleur maximale à la pression (PPTmax). Méthodes – Au total, 30 étudiants de la HELHA de Montignies-sur-Sambre qui présentaient au moins 1 TP sur chaque triceps sural ont été répartis dans deux groupes, expérimental (EXP) et contrôle (CTRL), de 15 sujets chacun (10 hommes et 5 femmes). Les sujets devaient se rendre à 2 reprises au laboratoire FFH de la HELHA. Chaque session de tests était espacée de 2 jours minimum. Durant chaque session, ils réalisaient un test de Fmax, un test de saut vertical et un test de quantification du PPTmax. Avant la seconde session de tests, le groupe EXP recevait, sur leurs TP, les CIM à une valeur équivalente à leur seuil de douleur. Le groupe CTRL ne recevait aucun traitement. Résultats – Les PPTmax G et D des sujets du groupe EXP ont augmenté en comparaison à ceux du groupe CTRL mais cela de manière non significative. Une tendance à l’augmentation des Fmax G et D est observée pour le groupe EXP avec des p-valeurs se rapprochant du seuil de signification. Cependant, en comparaison avec le groupe CTRL, l’amélioration de ces Fmax G et D n’est pas significative. De plus, le traitement des TP par CIM n’a aucune influence sur la Hmax des sujets du groupe EXP. Conclusion – Une seule séance de CIM, réalisée uniquement sur un seul TP par triceps sural, ne semble pas avoir d’effets bénéfiques remarquables sur les paramètres étudiés. Il serait intéressant d’évaluer par le biais d’autres études, les effets d’une seule séance de CIM sur plusieurs TP de ce même groupe musculaire.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=118165