[article] 
inKinésithérapie, la revue > 270 (juin 2024) . - p. 15-19

Titre :	Cadre standardisé d’évaluation des interventions non médicamenteuses : intérêts pour la masso-kinésithérapie
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Grégory Ninot ; Ghislaine Achalid ; Pierrick Poisbeau ; Bruno Falissard
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 15-19
Note générale :	https://doi : 10.1016/j.kine.2024.03.010
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Cadre scientifique  Éthique  Évaluation  Intervention complexe  Intervention non médicamenteuse  Méthodologie  Modèle d’évaluation  Paradigme
Résumé :	La locution interventions non médicamenteuses (INM) désigne des protocoles de prévention et de soin fondés sur des données probantes à dominante corporelle, nutritionnelle ou psychosociale et encadrés par un professionnel qualifié. Contrairement au médicament et au dispositif médical, aucun modèle consensuel d’évaluation de ces interventions complexes n’existait avant 2023. Ce manque de consensus limitait la transférabilité de la recherche à la pratique et générait méfiance et amalgame. Une étude française a permis de co-construire un cadre scientifique répondant à la spécificité des INM et aux standards internationaux de la recherche dans le domaine de la santé. Cette élaboration a impliqué toutes les parties prenantes françaises, académiques et non-académiques, et consulté les sociétés savantes et les autorités de santé françaises concernées. Il a été élaboré à partir d’échanges itératifs, ouverts et tracés sous la direction d’un comité pluridisciplinaire de 22 experts et la coordination de la société savante Non-Pharmacological Intervention Society. Quatre étapes impliquant plus de 1000 personnes se sont succédées sur deux années. Le paradigme d’évaluation nommé NPI Model comporte 14 invariants éthiques et 63 invariants méthodologiques répartis en cinq types d’étude, mécanistique, observationnelle, prototypique, interventionnelle et d’implémentation. Il a reçu le soutien de 30 sociétés savantes et trois autorités de santé françaises. L’article détaille ses implications, notamment pour la masso-kinésithérapie.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=117982

[article] Cadre standardisé d’évaluation des interventions non médicamenteuses : intérêts pour la masso-kinésithérapie [texte imprimé] / Grégory Ninot ; Ghislaine Achalid ; Pierrick Poisbeau ; Bruno Falissard . - 2024 . - p. 15-19.
https://doi : 10.1016/j.kine.2024.03.010
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 270 (juin 2024) . - p. 15-19

Mots-clés :	Cadre scientifique  Éthique  Évaluation  Intervention complexe  Intervention non médicamenteuse  Méthodologie  Modèle d’évaluation  Paradigme
Résumé :	La locution interventions non médicamenteuses (INM) désigne des protocoles de prévention et de soin fondés sur des données probantes à dominante corporelle, nutritionnelle ou psychosociale et encadrés par un professionnel qualifié. Contrairement au médicament et au dispositif médical, aucun modèle consensuel d’évaluation de ces interventions complexes n’existait avant 2023. Ce manque de consensus limitait la transférabilité de la recherche à la pratique et générait méfiance et amalgame. Une étude française a permis de co-construire un cadre scientifique répondant à la spécificité des INM et aux standards internationaux de la recherche dans le domaine de la santé. Cette élaboration a impliqué toutes les parties prenantes françaises, académiques et non-académiques, et consulté les sociétés savantes et les autorités de santé françaises concernées. Il a été élaboré à partir d’échanges itératifs, ouverts et tracés sous la direction d’un comité pluridisciplinaire de 22 experts et la coordination de la société savante Non-Pharmacological Intervention Society. Quatre étapes impliquant plus de 1000 personnes se sont succédées sur deux années. Le paradigme d’évaluation nommé NPI Model comporte 14 invariants éthiques et 63 invariants méthodologiques répartis en cinq types d’étude, mécanistique, observationnelle, prototypique, interventionnelle et d’implémentation. Il a reçu le soutien de 30 sociétés savantes et trois autorités de santé françaises. L’article détaille ses implications, notamment pour la masso-kinésithérapie.
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