Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
[article]
Titre : |
Divorcer au Maroc n’est pas toujours une affaire de couple |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Louise Virole |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 27-49 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Discrimination sexuelle Divorce Domination Femmes Femmes -- Conditions sociales Femmes -- Conditions sociales -- Maroc Femmes -- Droits Relations hommes-femmes |
Résumé : |
"Au Maroc certaines personnes qui se séparent affirment vouloir quitter le conjoint notamment du fait que leur vie conjugale et personnelle est empiétée par les interventions d’une des belles-familles. Ces divorces ont une “composante communautaire”, au sens de la théorie de Tönnies. Le “je” individualisé des conjoints doit composer avec les rappels à l’ordre venant des lignées familiales. Avec le mariage les femmes changent, ou devraient changer, de lignée, en se soumettant à ce que demande la famille du mari : par exemple en arrêtant leurs études ou leur activité professionnelle. Dans certains couples, un des conjoints supporte mal cette trop faible autonomie de leur vie conjugale. Résultant de la domination masculine, ce rapport inégal entre les lignées du mari et de l’épouse peut se transformer en plainte d’ordre psychologique. Des femmes se plaignent que le mari est trop faible psychologiquement puisqu’il ne résiste pas aux injonctions de sa lignée concernant leur style de vie conjugale. C’est ainsi que certains des divorces marocains naissent d’une tension entre des individus qui revendiquent le pouvoir de décider de leur vie, conjugale et personnelle, et un environnement familial qui le leur refuse." |
Note de contenu : |
Bibliographie |
En ligne : |
https://journals.openedition.org/rsa/5268 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=117114 |
in Recherches sociologiques et anthropologiques [Périodique électronique] > 1, vol. 53 (2022) . - p. 27-49
[article] Divorcer au Maroc n’est pas toujours une affaire de couple [document électronique] / Louise Virole . - 2022 . - p. 27-49. Langues : Français ( fre) in Recherches sociologiques et anthropologiques [Périodique électronique] > 1, vol. 53 (2022) . - p. 27-49
Mots-clés : |
Discrimination sexuelle Divorce Domination Femmes Femmes -- Conditions sociales Femmes -- Conditions sociales -- Maroc Femmes -- Droits Relations hommes-femmes |
Résumé : |
"Au Maroc certaines personnes qui se séparent affirment vouloir quitter le conjoint notamment du fait que leur vie conjugale et personnelle est empiétée par les interventions d’une des belles-familles. Ces divorces ont une “composante communautaire”, au sens de la théorie de Tönnies. Le “je” individualisé des conjoints doit composer avec les rappels à l’ordre venant des lignées familiales. Avec le mariage les femmes changent, ou devraient changer, de lignée, en se soumettant à ce que demande la famille du mari : par exemple en arrêtant leurs études ou leur activité professionnelle. Dans certains couples, un des conjoints supporte mal cette trop faible autonomie de leur vie conjugale. Résultant de la domination masculine, ce rapport inégal entre les lignées du mari et de l’épouse peut se transformer en plainte d’ordre psychologique. Des femmes se plaignent que le mari est trop faible psychologiquement puisqu’il ne résiste pas aux injonctions de sa lignée concernant leur style de vie conjugale. C’est ainsi que certains des divorces marocains naissent d’une tension entre des individus qui revendiquent le pouvoir de décider de leur vie, conjugale et personnelle, et un environnement familial qui le leur refuse." |
Note de contenu : |
Bibliographie |
En ligne : |
https://journals.openedition.org/rsa/5268 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=117114 |
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Exemplaires