[article] 
inJournal de traumatologie du sport > Vol.41 N°1 (mars 2024) . - p. 18-27

Titre :	Les « nouvelles indications » du PRP
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	M. Kouassi ; J.F. Kaux
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 18-27
Note générale :	https://doi : 10.1016/j.jts.2023.08.006
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Arthrose facettaire  Arthropathie sacro-iliaque  Capsulite rétractile  Cheville  Intra-discal  Lésions méniscales  Lésions ostéochondrales  Lombalgies  Péridural  Plasma riche en plaquettes  Radiculalgies  Rhizarthrose  Syndrome du canal carpien
Résumé :	Ces dernières années, la médecine a connu une évolution remarquable dans le domaine des thérapies régénératives destinées aux pathologies de l’appareil locomoteur. Parmi ces approches innovantes, le plasma riche en plaquettes (PRP) est apparu comme un candidat éminent et prometteur, notamment dans le cadre des tendinopathies et de la gonarthrose. En effet, sa capacité à exploiter les mécanismes naturels de guérison de l’organisme a suscité une grande attention. Cette revue systématique a pour objectif de fournir une synthèse globale de l’intérêt et de l’efficacité de l’application du PRP dans le cadre du traitement de pathologies jusqu’à présent moins explorées dans la littérature, notamment la capsulite rétractile de l’épaule, le syndrome du canal carpien, l’arthrose trapézo-métacarpienne, certaines lésions du rachis (la discopathie dégénérative, la hernie discale, l’arthrose facettaire et l’arthropathie sacro-iliaque) fréquemment responsables de douleurs lombaires chroniques, les lésions méniscales, les lésions ostéochondrales ainsi que l’arthrose de la cheville. Nous pensons que les pathologies précitées bénéficieraient grandement d’une nouvelle modalité thérapeutique efficace, les méthodes conservatrices habituelles (antalgies, anti-inflammatoires non-stéroïdiens, kinésithérapie) ainsi que les injections de corticostéroïdes n’offrant, la plupart du temps, qu’un soulagement partiel et transitoire. Bien que le PRP nous apparaisse comme une alternative thérapeutique sûre et efficace des pathologies abordées ci-dessus, cela reste à valider par davantage d’études de bonne qualité. Une standardisation de sa préparation et de son utilisation nous semble également importante afin de minimiser les potentiels facteurs d’hétérogénéité et ainsi tirer le meilleur parti de la recherche clinique sur le PRP.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=116659

[article] Les « nouvelles indications » du PRP [texte imprimé] / M. Kouassi ; J.F. Kaux . - 2024 . - p. 18-27.
https://doi : 10.1016/j.jts.2023.08.006
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.41 N°1 (mars 2024) . - p. 18-27

Mots-clés :	Arthrose facettaire  Arthropathie sacro-iliaque  Capsulite rétractile  Cheville  Intra-discal  Lésions méniscales  Lésions ostéochondrales  Lombalgies  Péridural  Plasma riche en plaquettes  Radiculalgies  Rhizarthrose  Syndrome du canal carpien
Résumé :	Ces dernières années, la médecine a connu une évolution remarquable dans le domaine des thérapies régénératives destinées aux pathologies de l’appareil locomoteur. Parmi ces approches innovantes, le plasma riche en plaquettes (PRP) est apparu comme un candidat éminent et prometteur, notamment dans le cadre des tendinopathies et de la gonarthrose. En effet, sa capacité à exploiter les mécanismes naturels de guérison de l’organisme a suscité une grande attention. Cette revue systématique a pour objectif de fournir une synthèse globale de l’intérêt et de l’efficacité de l’application du PRP dans le cadre du traitement de pathologies jusqu’à présent moins explorées dans la littérature, notamment la capsulite rétractile de l’épaule, le syndrome du canal carpien, l’arthrose trapézo-métacarpienne, certaines lésions du rachis (la discopathie dégénérative, la hernie discale, l’arthrose facettaire et l’arthropathie sacro-iliaque) fréquemment responsables de douleurs lombaires chroniques, les lésions méniscales, les lésions ostéochondrales ainsi que l’arthrose de la cheville. Nous pensons que les pathologies précitées bénéficieraient grandement d’une nouvelle modalité thérapeutique efficace, les méthodes conservatrices habituelles (antalgies, anti-inflammatoires non-stéroïdiens, kinésithérapie) ainsi que les injections de corticostéroïdes n’offrant, la plupart du temps, qu’un soulagement partiel et transitoire. Bien que le PRP nous apparaisse comme une alternative thérapeutique sûre et efficace des pathologies abordées ci-dessus, cela reste à valider par davantage d’études de bonne qualité. Une standardisation de sa préparation et de son utilisation nous semble également importante afin de minimiser les potentiels facteurs d’hétérogénéité et ainsi tirer le meilleur parti de la recherche clinique sur le PRP.
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