[article] 
inLe Sociographe > 85 (Mars 2024) . - p. 137-154

Titre :	Ni breaking bad ni prison break. À qui profite le trafic de stupéfiants en détention ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Charline Olivier
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 137-154
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Criminologie  Drogue  Trafic de stupéfiants  Prisons  Drogues -- Trafic -- France  Socialisation
Résumé :	N’importe quel intervenant professionnel ou associatif qui accède aux coursives d’un centre pénitentiaire en France est témoin de la circulation permanente de produits stupéfiants entre détenu.e.s. Des organisations criminelles complexes sont à l’œuvre : il s’agit d’introduire la matière, la stocker, la débiter, la vendre et la distribuer. Les lieux privatifs de liberté pourraient apparaitre particulièrement dédiés à combattre ce phénomène criminel, alors même que par leur organisation et leur fonctionnement, ils permettent le développement de ce type d’activités illicites. La responsabilité du trafic de stupéfiants en détention ne peut être attribuée aux seul.e.s détenu.e.s, car pour qu’un système perdure, il doit réguler des contraintes internes, mais aussi externes, afin de maintenir une stabilité de fonctionnement. Quatre théories explicatives de ce phénomène criminel seront mobilisées.
Note de contenu :	La drogue : un objet social ancestral devenu un phénomène criminel contemporain La pénalisation de l’usage de drogue : la stratégie française (inefficace ?) pour endiguer le trafic Le modèle juridique et économique : dissuasion, choix rationnel… le libre arbitre en action Les explications biologiques et psychologiques Des théories sociologiques Les théories intégratives
En ligne :	https://cairn-cdocs.helha.be/revue-sociographe-2024-1-page-137.htm?contenu=artic [...]
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=116105

[article] Ni breaking bad ni prison break. À qui profite le trafic de stupéfiants en détention ? [texte imprimé] / Charline Olivier . - 2024 . - p. 137-154.
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe > 85 (Mars 2024) . - p. 137-154

Mots-clés :	Criminologie  Drogue  Trafic de stupéfiants  Prisons  Drogues -- Trafic -- France  Socialisation
Résumé :	N’importe quel intervenant professionnel ou associatif qui accède aux coursives d’un centre pénitentiaire en France est témoin de la circulation permanente de produits stupéfiants entre détenu.e.s. Des organisations criminelles complexes sont à l’œuvre : il s’agit d’introduire la matière, la stocker, la débiter, la vendre et la distribuer. Les lieux privatifs de liberté pourraient apparaitre particulièrement dédiés à combattre ce phénomène criminel, alors même que par leur organisation et leur fonctionnement, ils permettent le développement de ce type d’activités illicites. La responsabilité du trafic de stupéfiants en détention ne peut être attribuée aux seul.e.s détenu.e.s, car pour qu’un système perdure, il doit réguler des contraintes internes, mais aussi externes, afin de maintenir une stabilité de fonctionnement. Quatre théories explicatives de ce phénomène criminel seront mobilisées.
Note de contenu :	La drogue : un objet social ancestral devenu un phénomène criminel contemporain La pénalisation de l’usage de drogue : la stratégie française (inefficace ?) pour endiguer le trafic Le modèle juridique et économique : dissuasion, choix rationnel… le libre arbitre en action Les explications biologiques et psychologiques Des théories sociologiques Les théories intégratives
En ligne :	https://cairn-cdocs.helha.be/revue-sociographe-2024-1-page-137.htm?contenu=artic [...]
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=116105