Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Mention de date : Août 2012
Paru le : 21/08/2012 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierStratégie diagnostique, anatomie pathologique et classification des tumeurs osseuses primitives / G. de Pinieux in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2012)
[article]
Titre : Stratégie diagnostique, anatomie pathologique et classification des tumeurs osseuses primitives Type de document : texte imprimé Auteurs : G. de Pinieux, Auteur ; C. Bouvier, Auteur ; A. Brouchet, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-680 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs osseuses Diagnostic de tumeur osseuse Biopsie de tumeur osseuse Classification des tumeurs osseuses Résumé : La phase initiale de prise en charge d'une tumeur primitive osseuse qui vient d'être découverte est essentielle et permet que soit définie la meilleure stratégie diagnostique et thérapeutique. Cette prise en charge doit être pluridisciplinaire. Elle aboutit au choix du mode de prélèvement diagnostique et de sa voie d'abord les plus adaptés. Le prélèvement une fois réalisé doit être transmis à « l'état frais » dans les plus brefs délais au pathologiste, qui répartit le matériel obtenu (fixation, congélation, autre) en fonction de sa quantité, de sa qualité, de ou des diagnostics suspectés. Une cinquantaine d'entités tumorales osseuses primitives sont répertoriées, réparties en 12 classes principales. Certaines d'entre elles, comme les chondrosarcomes notamment, ont une classification histopronostique spécifique. Note de contenu : Stratégie diagnostique et modalités de prise en charge du prélèvement biopsique
Stratégie diagnostique
Modalités de prise en charge du prélèvement
Classification des tumeurs osseuses
Tumeurs ostéoformatrices
Tumeurs cartilagineuses
Lésions fibreuses et fibro-osseuses
Tumeurs fibrohistiocytaires
Tumeurs de la famille Ewing
Tumeurs hématopoïétiques
Tumeurs à cellules géantes
Tumeurs notochordales
Tumeurs vasculaires osseuses primitives
Tumeurs musculaires lisses
Tumeurs adipeuses et nerveuses
Tumeurs épithéliales
Proliférations histiocytaires
Autres tumeurs et pseudotumeurs osseuses
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44038
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 14-680 [Tome 5][article] Stratégie diagnostique, anatomie pathologique et classification des tumeurs osseuses primitives [texte imprimé] / G. de Pinieux, Auteur ; C. Bouvier, Auteur ; A. Brouchet, Auteur . - 2012 . - 14-680 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 14-680 [Tome 5]
Mots-clés : Tumeurs osseuses Diagnostic de tumeur osseuse Biopsie de tumeur osseuse Classification des tumeurs osseuses Résumé : La phase initiale de prise en charge d'une tumeur primitive osseuse qui vient d'être découverte est essentielle et permet que soit définie la meilleure stratégie diagnostique et thérapeutique. Cette prise en charge doit être pluridisciplinaire. Elle aboutit au choix du mode de prélèvement diagnostique et de sa voie d'abord les plus adaptés. Le prélèvement une fois réalisé doit être transmis à « l'état frais » dans les plus brefs délais au pathologiste, qui répartit le matériel obtenu (fixation, congélation, autre) en fonction de sa quantité, de sa qualité, de ou des diagnostics suspectés. Une cinquantaine d'entités tumorales osseuses primitives sont répertoriées, réparties en 12 classes principales. Certaines d'entre elles, comme les chondrosarcomes notamment, ont une classification histopronostique spécifique. Note de contenu : Stratégie diagnostique et modalités de prise en charge du prélèvement biopsique
Stratégie diagnostique
Modalités de prise en charge du prélèvement
Classification des tumeurs osseuses
Tumeurs ostéoformatrices
Tumeurs cartilagineuses
Lésions fibreuses et fibro-osseuses
Tumeurs fibrohistiocytaires
Tumeurs de la famille Ewing
Tumeurs hématopoïétiques
Tumeurs à cellules géantes
Tumeurs notochordales
Tumeurs vasculaires osseuses primitives
Tumeurs musculaires lisses
Tumeurs adipeuses et nerveuses
Tumeurs épithéliales
Proliférations histiocytaires
Autres tumeurs et pseudotumeurs osseuses
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44038 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Sarcome d'Ewing / Eric Mascard in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2012)
[article]
Titre : Sarcome d'Ewing Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Mascard, Auteur ; N. Gaspar, Auteur ; J.-M. Guinebretière, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-719 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sarcome d'Ewing Tumeur osseuse primitive Chimiothérapie Radiothérapie Translocation Résumé : Le sarcome d'Ewing est une tumeur osseuse primitive maligne, qui atteint préférentiellement l'enfant et l'adolescent. Elle est caractérisée par des amas denses de petites cellules rondes. Le sarcome d'Ewing fait partie de la famille des tumeurs neuroectodermiques, qui présentent une translocation caractéristique impliquant le plus souvent le gène EWS du chromosome 22, et le gène FLI-1 porté par le chromosome 11. Elle peut atteindre tous les os du squelette, et, plus rarement se développer exclusivement dans les parties molles. Radiographiquement, c'est une lésion lytique, d'aspect agressif, avec un développement souvent important dans les parties molles, bien visible en imagerie par résonance magnétique. En l'absence de traitement, l'évolution fatale est habituellement rapide avec apparition de métastases à distance, pulmonaires ou osseuses. Le traitement actuel repose sur l'association d'une polychimiothérapie et d'un traitement local chirurgical, parfois complété d'une radiothérapie ou plus rarement d'une radiothérapie seule. Les deux principaux facteurs pronostiques sont l'existence de métastases initiales et la réponse à la chimiothérapie. La probabilité de survie sans récidive, à cinq ans, est avec les traitements actuels de 70 % dans les formes localisées et de 30 % dans les formes métastatiques. Les protocoles les plus récents tentent grâce à des chimiothérapies à hautes doses avec greffe de cellules souches périphériques autologues d'améliorer ces résultats dans les formes de mauvais pronostic. Les avancées récentes de la recherche peuvent faire espérer de nouveaux traitements dans l'avenir. Note de contenu : Introduction
Définition et terminologie
Épidémiologie, fréquence, âge, sexe
Étiologie
Localisation
Sur le squelette
Sur l'os
Localisations extraosseuses
Étude clinique
Forme habituelle
Formes particulières
Étude radiologique
Forme habituelle typique
Autres formes radiologiques
Bilan d'extension
Extension locale
Extension générale
Anatomie pathologique
Biopsie
Biologie moléculaire et recherche du transcrit de fusion
Différentes formes anatomopathologiques et leur signification habituelle
Aspect macroscopique
Étude de la pièce de résection
Diagnostic différentiel
Clinique
Radiologique
Diagnostic différentiel anatomopathologique
Orientation thérapeutique
Méthodes de traitement
Traitement des métastases
Évolution, pronostic et résultats des traitements
Évolution
Pronostic
Résultats des traitements actuels
Complications à distance du traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44044
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 14-719 [Tome 5][article] Sarcome d'Ewing [texte imprimé] / Eric Mascard, Auteur ; N. Gaspar, Auteur ; J.-M. Guinebretière, Auteur . - 2012 . - 14-719 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 14-719 [Tome 5]
Mots-clés : Sarcome d'Ewing Tumeur osseuse primitive Chimiothérapie Radiothérapie Translocation Résumé : Le sarcome d'Ewing est une tumeur osseuse primitive maligne, qui atteint préférentiellement l'enfant et l'adolescent. Elle est caractérisée par des amas denses de petites cellules rondes. Le sarcome d'Ewing fait partie de la famille des tumeurs neuroectodermiques, qui présentent une translocation caractéristique impliquant le plus souvent le gène EWS du chromosome 22, et le gène FLI-1 porté par le chromosome 11. Elle peut atteindre tous les os du squelette, et, plus rarement se développer exclusivement dans les parties molles. Radiographiquement, c'est une lésion lytique, d'aspect agressif, avec un développement souvent important dans les parties molles, bien visible en imagerie par résonance magnétique. En l'absence de traitement, l'évolution fatale est habituellement rapide avec apparition de métastases à distance, pulmonaires ou osseuses. Le traitement actuel repose sur l'association d'une polychimiothérapie et d'un traitement local chirurgical, parfois complété d'une radiothérapie ou plus rarement d'une radiothérapie seule. Les deux principaux facteurs pronostiques sont l'existence de métastases initiales et la réponse à la chimiothérapie. La probabilité de survie sans récidive, à cinq ans, est avec les traitements actuels de 70 % dans les formes localisées et de 30 % dans les formes métastatiques. Les protocoles les plus récents tentent grâce à des chimiothérapies à hautes doses avec greffe de cellules souches périphériques autologues d'améliorer ces résultats dans les formes de mauvais pronostic. Les avancées récentes de la recherche peuvent faire espérer de nouveaux traitements dans l'avenir. Note de contenu : Introduction
Définition et terminologie
Épidémiologie, fréquence, âge, sexe
Étiologie
Localisation
Sur le squelette
Sur l'os
Localisations extraosseuses
Étude clinique
Forme habituelle
Formes particulières
Étude radiologique
Forme habituelle typique
Autres formes radiologiques
Bilan d'extension
Extension locale
Extension générale
Anatomie pathologique
Biopsie
Biologie moléculaire et recherche du transcrit de fusion
Différentes formes anatomopathologiques et leur signification habituelle
Aspect macroscopique
Étude de la pièce de résection
Diagnostic différentiel
Clinique
Radiologique
Diagnostic différentiel anatomopathologique
Orientation thérapeutique
Méthodes de traitement
Traitement des métastases
Évolution, pronostic et résultats des traitements
Évolution
Pronostic
Résultats des traitements actuels
Complications à distance du traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44044 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Métastases osseuses : prise en charge multidisciplinaire, approche diagnostique et thérapeutique / J.-P. Durand in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2012)
[article]
Titre : Métastases osseuses : prise en charge multidisciplinaire, approche diagnostique et thérapeutique Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-P. Durand, Auteur ; M. Karoubi, Auteur ; P. Anract, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-791 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer Métastase osseuse Ostéolyse Fracture pathologique Douleur Ostéosynthèse Cimentoplastie Bisphosphonate Résumé : La survenue de métastases osseuses au cours de la progression d'une maladie cancéreuse est un événement fréquent. Elles peuvent être précoces ou tardives selon l'histoire naturelle de la tumeur primitive. En cas de métastase osseuse révélatrice, sa localisation oriente fortement la recherche de la tumeur primitive. La connaissance des mécanismes anatomiques participant à la dissémination osseuse est essentielle pour définir une recherche simple et efficace de la tumeur primitive. En cas d'échec, l'analyse anatomopathologique souvent complétée par l'analyse immunohistochimique du tissu métastatique osseux peut permettre un diagnostic précis dans certains cas. La stratégie thérapeutique repose sur des approches chirurgicales et/ou médicales selon le risque fonctionnel des métastases osseuses et le pronostic lié au cancer. Note de contenu : Introduction
Histoire naturelle des métastases osseuses : anatomie pathologique et biologie
Anatomie pathologique
Biologie des métastases osseuses
Orientation diagnostique devant des métastases osseuses révélatrices
Circonstances de découverte
Démarche diagnostique
Traitement des métastases osseuses
Objectifs
Stratégie
Traitement chirurgical des métastases osseuses
Traitements médicaux des métastases osseuses
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44056
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 14-791 [Tome 6][article] Métastases osseuses : prise en charge multidisciplinaire, approche diagnostique et thérapeutique [texte imprimé] / J.-P. Durand, Auteur ; M. Karoubi, Auteur ; P. Anract, Auteur . - 2012 . - 14-791 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 14-791 [Tome 6]
Mots-clés : Cancer Métastase osseuse Ostéolyse Fracture pathologique Douleur Ostéosynthèse Cimentoplastie Bisphosphonate Résumé : La survenue de métastases osseuses au cours de la progression d'une maladie cancéreuse est un événement fréquent. Elles peuvent être précoces ou tardives selon l'histoire naturelle de la tumeur primitive. En cas de métastase osseuse révélatrice, sa localisation oriente fortement la recherche de la tumeur primitive. La connaissance des mécanismes anatomiques participant à la dissémination osseuse est essentielle pour définir une recherche simple et efficace de la tumeur primitive. En cas d'échec, l'analyse anatomopathologique souvent complétée par l'analyse immunohistochimique du tissu métastatique osseux peut permettre un diagnostic précis dans certains cas. La stratégie thérapeutique repose sur des approches chirurgicales et/ou médicales selon le risque fonctionnel des métastases osseuses et le pronostic lié au cancer. Note de contenu : Introduction
Histoire naturelle des métastases osseuses : anatomie pathologique et biologie
Anatomie pathologique
Biologie des métastases osseuses
Orientation diagnostique devant des métastases osseuses révélatrices
Circonstances de découverte
Démarche diagnostique
Traitement des métastases osseuses
Objectifs
Stratégie
Traitement chirurgical des métastases osseuses
Traitements médicaux des métastases osseuses
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44056 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tumeurs vasculaires primitives osseuses / A. Brouchet in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2012)
[article]
Titre : Tumeurs vasculaires primitives osseuses Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Brouchet, Auteur ; N. Amoretti, Auteur ; N. Penel, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-799 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Os Tumeur Hémangiome Angiosarcome Hémangioendothéliome Maladie de Gorham Résumé : Les tumeurs vasculaires osseuses correspondent à un groupe de tumeurs hétérogènes avec des tumeurs bénignes (hémangiome, hémangiome épithélioïde), des tumeurs de malignité intermédiaire (hémangioendothéliome épithélioïde) et des tumeurs malignes (angiosarcome). Dans ce chapitre nous décrivons les tumeurs vasculaires selon le schéma proposé par Verbeke et Bovee, qui classent les tumeurs vasculaires en tenant compte de l'aspect histologique des tumeurs, de l'imagerie, de l'évolution clinique et des données de la génétique. L'aspect radiologique n'est pas spécifique. Un tiers des lésions vasculaires malignes osseuses sont multiples sur des os contigus ou sont disséminées. L'hémangiome est la tumeur vasculaire la plus fréquente, observée avec prédilection au niveau des corps vertébraux et du squelette craniofacial. L'hémangiome épithélioïde est une tumeur d'agressivité locale qui peut donner des métastases. L'hémangioendothéliome épithélioïde est une tumeur vasculaire de bas grade de malignité souvent de localisation multiple. Son pronostic est bon si le traitement chirurgical est complet. Enfin, l'angiosarcome est une tumeur rare, souvent de localisation unique sur l'os. Il est souvent épithélioïde et ne doit pas être pris à tort pour la métastase d'un carcinome. Les tumeurs vasculaires expriment les marqueurs endothéliaux : CD31, CD34, FLI-1 et le facteur de von Willebrand, permettant en règle de réaliser le diagnostic. Les progrès de la biologie moléculaire devraient permettre dans l'avenir de mieux classer ces tumeurs et de proposer des thérapeutiques ciblées. Note de contenu : Introduction
Généralités
Imagerie
Immunohistochimie
Tumeurs vasculaires bénignes de l'os
Hémangiome
Angiomatoses et maladie de Gorham
Tumeur vasculaire bénigne ou à malignité intermédiaire
Hémangiome épithélioïde
Tumeur vasculaire maligne
Hémangioendothéliome épithélioïde
Angiosarcome
Entités controversées
Hémangioendothéliome
Hémangiopéricytome ou tumeur fibreuse solitaire
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44058
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 14-799 [Tome 6][article] Tumeurs vasculaires primitives osseuses [texte imprimé] / A. Brouchet, Auteur ; N. Amoretti, Auteur ; N. Penel, Auteur . - 2012 . - 14-799 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 14-799 [Tome 6]
Mots-clés : Os Tumeur Hémangiome Angiosarcome Hémangioendothéliome Maladie de Gorham Résumé : Les tumeurs vasculaires osseuses correspondent à un groupe de tumeurs hétérogènes avec des tumeurs bénignes (hémangiome, hémangiome épithélioïde), des tumeurs de malignité intermédiaire (hémangioendothéliome épithélioïde) et des tumeurs malignes (angiosarcome). Dans ce chapitre nous décrivons les tumeurs vasculaires selon le schéma proposé par Verbeke et Bovee, qui classent les tumeurs vasculaires en tenant compte de l'aspect histologique des tumeurs, de l'imagerie, de l'évolution clinique et des données de la génétique. L'aspect radiologique n'est pas spécifique. Un tiers des lésions vasculaires malignes osseuses sont multiples sur des os contigus ou sont disséminées. L'hémangiome est la tumeur vasculaire la plus fréquente, observée avec prédilection au niveau des corps vertébraux et du squelette craniofacial. L'hémangiome épithélioïde est une tumeur d'agressivité locale qui peut donner des métastases. L'hémangioendothéliome épithélioïde est une tumeur vasculaire de bas grade de malignité souvent de localisation multiple. Son pronostic est bon si le traitement chirurgical est complet. Enfin, l'angiosarcome est une tumeur rare, souvent de localisation unique sur l'os. Il est souvent épithélioïde et ne doit pas être pris à tort pour la métastase d'un carcinome. Les tumeurs vasculaires expriment les marqueurs endothéliaux : CD31, CD34, FLI-1 et le facteur de von Willebrand, permettant en règle de réaliser le diagnostic. Les progrès de la biologie moléculaire devraient permettre dans l'avenir de mieux classer ces tumeurs et de proposer des thérapeutiques ciblées. Note de contenu : Introduction
Généralités
Imagerie
Immunohistochimie
Tumeurs vasculaires bénignes de l'os
Hémangiome
Angiomatoses et maladie de Gorham
Tumeur vasculaire bénigne ou à malignité intermédiaire
Hémangiome épithélioïde
Tumeur vasculaire maligne
Hémangioendothéliome épithélioïde
Angiosarcome
Entités controversées
Hémangioendothéliome
Hémangiopéricytome ou tumeur fibreuse solitaire
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44058 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Traumatismes du rachis cervical supérieur / F. de Peretti in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2012)
[article]
Titre : Traumatismes du rachis cervical supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : F. de Peretti ; M. Challali Année de publication : 2012 Article en page(s) : 15-825-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture Luxation Axis Atlas Odontoïde Résumé : Les fractures, luxations, entorses du rachis cervical supérieur ont la particularité, soit d'entraîner le décès immédiat du patient, soit d'être rencontrées chez des patients en général indemnes de troubles neurologiques. Ces lésions se rencontrent essentiellement chez les sujets âgés et la plus fréquente est la fracture de l'odontoïde. Ces lésions engagent le pronostic vital à cause du risque neurologique, des complications de décubitus chez les sujets âgés et des complications du traitement, qu'il soit orthopédique ou chirurgical. Il n'y a pas de consensus concernant la prise en charge de ces patients. Les fractures des arcs antérieur et postérieur de C1, des masses latérales de C1, les fractures isolées de l'arc postérieur de C1 et C2, les fractures verticales du corps de C2 sont en général traitées orthopédiquement. Les entorses du ligament transverse de C1, les rarissimes luxations occipitocervicales sur blessé vivant sont en général opérées. Les autres lésions, en particulier les fractures de l'odontoïde et des isthmes de C2, peuvent bénéficier d'un traitement chirurgical ou orthopédique. L'indication chirurgicale est en général retenue si la lésion paraît instable et que le sujet peut supporter l'intervention, si l'on veut instaurer un nursing précoce chez un polytraumatisé, etc. Chez les sujets âgés qui sont les plus fréquents, le dilemme est : doit-on opérer le patient pour éviter un traitement orthopédique contraignant ? Doit-on traiter orthopédiquement pour éviter le risque opératoire ? Le bon sens, l'expérience et les conditions locales vont orienter soit vers le traitement chirurgical, soit vers le traitement orthopédique. Pour ces raisons, il est nécessaire d'adresser ces patients dans un centre spécialisé. Note de contenu : Définition
Différentes lésions du rachis cervical supérieur
Lésions ligamentaires : entorse et luxation du rachis cervical supérieur
Fractures du rachis cervical supérieur
Lésions et traumatismes associés du rachis cervical supérieur
Prise en charge du blessé
Blessés conscients
Blessés confus
Imagerie par résonance magnétique
Données générales sur le traitement orthopédique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44091
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 15-825-A-10 [Tome 6][article] Traumatismes du rachis cervical supérieur [texte imprimé] / F. de Peretti ; M. Challali . - 2012 . - 15-825-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 15-825-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Fracture Luxation Axis Atlas Odontoïde Résumé : Les fractures, luxations, entorses du rachis cervical supérieur ont la particularité, soit d'entraîner le décès immédiat du patient, soit d'être rencontrées chez des patients en général indemnes de troubles neurologiques. Ces lésions se rencontrent essentiellement chez les sujets âgés et la plus fréquente est la fracture de l'odontoïde. Ces lésions engagent le pronostic vital à cause du risque neurologique, des complications de décubitus chez les sujets âgés et des complications du traitement, qu'il soit orthopédique ou chirurgical. Il n'y a pas de consensus concernant la prise en charge de ces patients. Les fractures des arcs antérieur et postérieur de C1, des masses latérales de C1, les fractures isolées de l'arc postérieur de C1 et C2, les fractures verticales du corps de C2 sont en général traitées orthopédiquement. Les entorses du ligament transverse de C1, les rarissimes luxations occipitocervicales sur blessé vivant sont en général opérées. Les autres lésions, en particulier les fractures de l'odontoïde et des isthmes de C2, peuvent bénéficier d'un traitement chirurgical ou orthopédique. L'indication chirurgicale est en général retenue si la lésion paraît instable et que le sujet peut supporter l'intervention, si l'on veut instaurer un nursing précoce chez un polytraumatisé, etc. Chez les sujets âgés qui sont les plus fréquents, le dilemme est : doit-on opérer le patient pour éviter un traitement orthopédique contraignant ? Doit-on traiter orthopédiquement pour éviter le risque opératoire ? Le bon sens, l'expérience et les conditions locales vont orienter soit vers le traitement chirurgical, soit vers le traitement orthopédique. Pour ces raisons, il est nécessaire d'adresser ces patients dans un centre spécialisé. Note de contenu : Définition
Différentes lésions du rachis cervical supérieur
Lésions ligamentaires : entorse et luxation du rachis cervical supérieur
Fractures du rachis cervical supérieur
Lésions et traumatismes associés du rachis cervical supérieur
Prise en charge du blessé
Blessés conscients
Blessés confus
Imagerie par résonance magnétique
Données générales sur le traitement orthopédique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44091 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Traumatismes récents du rachis cervical inférieur chez l'adulte / F. de Peretti in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2012)
[article]
Titre : Traumatismes récents du rachis cervical inférieur chez l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : F. de Peretti ; M. Challali Année de publication : 2012 Article en page(s) : 15-826-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatisme du rachis cervical inférieur Moelle Fracture du rachis cervical inférieur Luxation du rachis cervical inférieur Hernie du rachis cervical inférieur Résumé : Les lésions du rachis cervical inférieur (RCI) sont dues à des vecteurs traumatiques multiples : compression, flexion, extension et rotation. On peut individualiser et classer les lésions corporéales, de l'arc postérieur, des disques et des ligaments en plusieurs entités qui doivent être parfaitement connues par les médecins susceptibles de prendre en charge ces patients. Le but de l'étude des lésions est d'apprécier : le déplacement, la compression neurologique, l'instabilité osseuse immédiate mais qui peut s'amender après consolidation, l'instabilité discoligamentaire qui peut être définitive. Les lésions médullaires sont fréquentes et peuvent être définitives. L'exploration standard fait appel à trois clichés : face, profil et bouche ouverte. L'iconographie standard doit être renouvelée à distance pour dépister les entorses graves. La tomodensitométrie est un examen de « dépistage » chez les polytraumatisés, de nécessité en cas de doute ou pour affiner un diagnostic posé. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est surtout indiquée en cas de lésion médullaire. La prise en charge doit être la plus précoce en cas de lésion médullaire afin au moins de réduire et d'immobiliser une lésion traumatique compressive. Les modalités chirurgicales sont nombreuses et leur mise en œuvre dépend de l'expérience et de la formation du chirurgien. Il n'y a pas de traitement univoque et l'on ne peut pas dire qu'une voie antérieure ou postérieure est toujours préférable dans telle ou telle indication. L'étude de la littérature ne permet pas de dire que les lésions médullaires secondaires à des fractures ou des luxations réduites sont des indications de chirurgie en extrême urgence si la compression a été levée par manœuvre orthopédique. Il est néanmoins recommandé d'opérer ces patients dès qu'on le peut dans les meilleures conditions après avoir stabilisé les fonctions vitales. Les lésions médullaires sur rachis rétréci sans lésion traumatique osseuse ou discoligamentaire sont de plus en plus fréquentes vu le vieillissement de la population. Elles sont généralement traitées par la méthode fonctionnelle mais peuvent entraîner des indications secondaires de décompression. En cas de lésion médullaire, la corticothérapie à fortes doses n'a pas fait la preuve de son efficacité et expose le patient aux risques connus de ce traitement. Les patients sans trouble neurologique ont en général un bon résultat après traitement adapté. Les blessés médullaires incomplets avec persistance de bastions moteur et sensitif ont toutes les chances de remarcher après traitement adapté. L'imputabilité d'une hernie discale diagnostiquée à distance d'un traumatisme cervical ne peut être retenue que s'il y a une continuité clinique entre le traumatisme et le diagnostic. Le syndrome subjectif des traumatisés du rachis cervical peuple les cabinets d'expertise et est reconnu par les barèmes des assurances. Son existence réelle et surtout la cause de la symptomatologie sont diversement appréciées par une partie de la littérature. Note de contenu : Introduction
Mécanisme, anatomie et classification des lésions du rachis cervical inférieur
Vecteurs
Lésions par vecteur traumatique dominant en compression ou lésion du type A d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique dominant en flexion ou type B d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique dominant en extension ou lésion du type C d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique rotatoire dominant ou lésions du type D d'Argenson
Hernies discales isolées symptomatiques post-traumatiques aiguës ou lésions du type E du symposium 2001
Autres lésions
Classification alphanumérique de l'AO
Classifications : conclusion
Lésions sur rachis ankylosé
Prise en charge des patients et conduite à tenir lors de la réception des blessés
Sur les lieux de l'accident
Traitement
Données générales sur le traitement orthopédique
Généralités sur le traitement chirurgical
Indications thérapeutiques
Résultats et séquelles
Traumatismes sans lésion traumatique sur l'iconographie et sans trouble neurologique
Déformations post-traumatiques
Séquelles des lésions sans trouble neurologique et sans cal vicieux
Lésions avec troubles neurologiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44092
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 15-826-A-10 [Tome 7][article] Traumatismes récents du rachis cervical inférieur chez l'adulte [texte imprimé] / F. de Peretti ; M. Challali . - 2012 . - 15-826-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2012) . - 15-826-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Traumatisme du rachis cervical inférieur Moelle Fracture du rachis cervical inférieur Luxation du rachis cervical inférieur Hernie du rachis cervical inférieur Résumé : Les lésions du rachis cervical inférieur (RCI) sont dues à des vecteurs traumatiques multiples : compression, flexion, extension et rotation. On peut individualiser et classer les lésions corporéales, de l'arc postérieur, des disques et des ligaments en plusieurs entités qui doivent être parfaitement connues par les médecins susceptibles de prendre en charge ces patients. Le but de l'étude des lésions est d'apprécier : le déplacement, la compression neurologique, l'instabilité osseuse immédiate mais qui peut s'amender après consolidation, l'instabilité discoligamentaire qui peut être définitive. Les lésions médullaires sont fréquentes et peuvent être définitives. L'exploration standard fait appel à trois clichés : face, profil et bouche ouverte. L'iconographie standard doit être renouvelée à distance pour dépister les entorses graves. La tomodensitométrie est un examen de « dépistage » chez les polytraumatisés, de nécessité en cas de doute ou pour affiner un diagnostic posé. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est surtout indiquée en cas de lésion médullaire. La prise en charge doit être la plus précoce en cas de lésion médullaire afin au moins de réduire et d'immobiliser une lésion traumatique compressive. Les modalités chirurgicales sont nombreuses et leur mise en œuvre dépend de l'expérience et de la formation du chirurgien. Il n'y a pas de traitement univoque et l'on ne peut pas dire qu'une voie antérieure ou postérieure est toujours préférable dans telle ou telle indication. L'étude de la littérature ne permet pas de dire que les lésions médullaires secondaires à des fractures ou des luxations réduites sont des indications de chirurgie en extrême urgence si la compression a été levée par manœuvre orthopédique. Il est néanmoins recommandé d'opérer ces patients dès qu'on le peut dans les meilleures conditions après avoir stabilisé les fonctions vitales. Les lésions médullaires sur rachis rétréci sans lésion traumatique osseuse ou discoligamentaire sont de plus en plus fréquentes vu le vieillissement de la population. Elles sont généralement traitées par la méthode fonctionnelle mais peuvent entraîner des indications secondaires de décompression. En cas de lésion médullaire, la corticothérapie à fortes doses n'a pas fait la preuve de son efficacité et expose le patient aux risques connus de ce traitement. Les patients sans trouble neurologique ont en général un bon résultat après traitement adapté. Les blessés médullaires incomplets avec persistance de bastions moteur et sensitif ont toutes les chances de remarcher après traitement adapté. L'imputabilité d'une hernie discale diagnostiquée à distance d'un traumatisme cervical ne peut être retenue que s'il y a une continuité clinique entre le traumatisme et le diagnostic. Le syndrome subjectif des traumatisés du rachis cervical peuple les cabinets d'expertise et est reconnu par les barèmes des assurances. Son existence réelle et surtout la cause de la symptomatologie sont diversement appréciées par une partie de la littérature. Note de contenu : Introduction
Mécanisme, anatomie et classification des lésions du rachis cervical inférieur
Vecteurs
Lésions par vecteur traumatique dominant en compression ou lésion du type A d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique dominant en flexion ou type B d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique dominant en extension ou lésion du type C d'Argenson
Lésions par vecteur traumatique rotatoire dominant ou lésions du type D d'Argenson
Hernies discales isolées symptomatiques post-traumatiques aiguës ou lésions du type E du symposium 2001
Autres lésions
Classification alphanumérique de l'AO
Classifications : conclusion
Lésions sur rachis ankylosé
Prise en charge des patients et conduite à tenir lors de la réception des blessés
Sur les lieux de l'accident
Traitement
Données générales sur le traitement orthopédique
Généralités sur le traitement chirurgical
Indications thérapeutiques
Résultats et séquelles
Traumatismes sans lésion traumatique sur l'iconographie et sans trouble neurologique
Déformations post-traumatiques
Séquelles des lésions sans trouble neurologique et sans cal vicieux
Lésions avec troubles neurologiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44092 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire