Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Novembre 2007
Paru le : 08/11/2007 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierRuptures extracotyloïdiennes de l'anneau pelvien chez l'adulte / F. de Peretti in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2007)
[article]
Titre : Ruptures extracotyloïdiennes de l'anneau pelvien chez l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : F. de Peretti ; C. Pelegri ; X. Carpentier Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14-072-A-10 [Tome 3] Note générale : Archivé Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture Os coxal Articulation sacrocoxale Pubis Sacrum Anneau pelvien Traumatisme Résumé : Les ruptures de l'anneau pelvien (RAP) sont les lésions traumatiques de l'os coxal, du sacrum, de la symphyse pubienne et des articulations sacrocoxales. Letournel a défini la localisation des cinq traits de fractures fondamentaux : la symphyse pubienne, le cadre obturateur, l'aile iliaque, l'articulation sacrocoxale, le sacrum. Les traits de fracture peuvent être purs ou associés entre eux. La classification de l'AO, dérivée de celle de Tile, est la plus utilisée : le type A correspond aux lésions parcellaires uniquement antérieures ou postérieures, le type B aux lésions antérieures et postérieures à déplacement dans le plan horizontal, le type C aux lésions à déplacement vertical. Les RAP sont souvent associées à un polytraumatisme avec des complications hémorragiques, génito-urinaires et cutanées. Elles nécessitent une prise en charge multidisciplinaire mettant en jeu réanimateur, chirurgien viscéraliste, vasculaire, urologue, radiologue... Le traitement orthopédique est réalisé pour les lésions parcellaires. Néanmoins, la classique traction-suspension par hamac, source de complications, est très rarement utilisée. Le traitement chirurgical a la faveur pour les lésions du type B et C à grand déplacement. Le fixateur externe, la chirurgie à foyer ouvert ou fermé, la chronologie des actes opératoires sont discutés en fonction du type de lésion et de l'état du patient. En pratique, il existe trois tableaux cliniques : la RAP du sujet âgé qui est exposé aux complications de décubitus, la RAP isolée du sujet jeune en bon état général qui est exposé aux séquelles fonctionnelles, la RAP dans le cadre d'un polytraumatisme nécessitant une décision multidisciplinaire. À distance, les séquelles sont modestes en comparaison de la violence du traumatisme initial. Les plus fréquentes sont : l'inégalité de longueur des membres inférieurs, les douleurs articulaires et surtout les séquelles des lésions associées. À titre exceptionnel, on peut pratiquer des ostéotomies de l'os coxal et des arthrodèses sacrocoxales secondaires. Note de contenu : Introduction
Mécanisme et classification des lésions
Épidémiologie. Lésions associées générales. Mortalité
Lésions associées caractéristiques des ruptures de l'anneau pelvien
Hémorragie sous-péritonéale
Lésions cutanées et périnéales
Lésions urogénitales
Complications nerveuses
Exploration des lésions osseuses
Traitement spécifique des ruptures de l'anneau pelvien
Traitement orthopédique
Traitement chirurgical
Conduite à tenir devant une rupture de l'anneau pelvien
Rupture de l'anneau pelvien chez le sujet âgé
Rupture de l'anneau pelvien isolée du sujet jeune et hémodynamiquement stable
Rupture de l'anneau pelvien dans les suites d'un traumatisme à haute énergie et/ou chez le polytraumatisé
Séquelles des ruptures de l'anneau pelvien
Symptomatologie
Bilan
Possibilités thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43930
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-072-A-10 [Tome 3][article] Ruptures extracotyloïdiennes de l'anneau pelvien chez l'adulte [texte imprimé] / F. de Peretti ; C. Pelegri ; X. Carpentier . - 2007 . - 14-072-A-10 [Tome 3].
Archivé
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-072-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture Os coxal Articulation sacrocoxale Pubis Sacrum Anneau pelvien Traumatisme Résumé : Les ruptures de l'anneau pelvien (RAP) sont les lésions traumatiques de l'os coxal, du sacrum, de la symphyse pubienne et des articulations sacrocoxales. Letournel a défini la localisation des cinq traits de fractures fondamentaux : la symphyse pubienne, le cadre obturateur, l'aile iliaque, l'articulation sacrocoxale, le sacrum. Les traits de fracture peuvent être purs ou associés entre eux. La classification de l'AO, dérivée de celle de Tile, est la plus utilisée : le type A correspond aux lésions parcellaires uniquement antérieures ou postérieures, le type B aux lésions antérieures et postérieures à déplacement dans le plan horizontal, le type C aux lésions à déplacement vertical. Les RAP sont souvent associées à un polytraumatisme avec des complications hémorragiques, génito-urinaires et cutanées. Elles nécessitent une prise en charge multidisciplinaire mettant en jeu réanimateur, chirurgien viscéraliste, vasculaire, urologue, radiologue... Le traitement orthopédique est réalisé pour les lésions parcellaires. Néanmoins, la classique traction-suspension par hamac, source de complications, est très rarement utilisée. Le traitement chirurgical a la faveur pour les lésions du type B et C à grand déplacement. Le fixateur externe, la chirurgie à foyer ouvert ou fermé, la chronologie des actes opératoires sont discutés en fonction du type de lésion et de l'état du patient. En pratique, il existe trois tableaux cliniques : la RAP du sujet âgé qui est exposé aux complications de décubitus, la RAP isolée du sujet jeune en bon état général qui est exposé aux séquelles fonctionnelles, la RAP dans le cadre d'un polytraumatisme nécessitant une décision multidisciplinaire. À distance, les séquelles sont modestes en comparaison de la violence du traumatisme initial. Les plus fréquentes sont : l'inégalité de longueur des membres inférieurs, les douleurs articulaires et surtout les séquelles des lésions associées. À titre exceptionnel, on peut pratiquer des ostéotomies de l'os coxal et des arthrodèses sacrocoxales secondaires. Note de contenu : Introduction
Mécanisme et classification des lésions
Épidémiologie. Lésions associées générales. Mortalité
Lésions associées caractéristiques des ruptures de l'anneau pelvien
Hémorragie sous-péritonéale
Lésions cutanées et périnéales
Lésions urogénitales
Complications nerveuses
Exploration des lésions osseuses
Traitement spécifique des ruptures de l'anneau pelvien
Traitement orthopédique
Traitement chirurgical
Conduite à tenir devant une rupture de l'anneau pelvien
Rupture de l'anneau pelvien chez le sujet âgé
Rupture de l'anneau pelvien isolée du sujet jeune et hémodynamiquement stable
Rupture de l'anneau pelvien dans les suites d'un traumatisme à haute énergie et/ou chez le polytraumatisé
Séquelles des ruptures de l'anneau pelvien
Symptomatologie
Bilan
Possibilités thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43930 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures du cou-de-pied de l'enfant / B. Dohin in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2007)
[article]
Titre : Fractures du cou-de-pied de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Dohin ; J.-L. Langlais Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14-088-B-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Cheville Fracture de cheville Décollement épiphysaire Résumé : Les fractures du cou-de-pied chez l'enfant concernent très fréquemment les cartilages de croissance des extrémités des deux os de la jambe. Elles sont la plupart du temps bénignes et de traitement orthopédique, cependant, certains types de décollement épiphysaires comportent un risque élevé de complication à type d'épiphysiodèse avec les conséquences de celle-ci sur la croissance osseuse. L'analyse des circonstances du traumatisme et le type anatomique selon la classification de Salter et Harris de la lésion permettent la plupart du temps d'établir un pronostic et une attitude thérapeutique qui doit être adaptée à l'enfant. À chaque âge correspond des types de fractures plus fréquents. L'évaluation de la croissance résiduelle est un élément décisionnel important. Les fractures articulaires et les fractures parcellaires mettent en jeu le pronostic fonctionnel articulaire. Leur diagnostic s'aide de l'imagerie et, là encore, le traitement, qui est souvent chirurgical, doit être adapté à l'enfant. Les fractures complètes du talus sont exceptionnelles chez l'enfant. Une bonne connaissance des types lésionnels rencontrés au niveau de la cheville de l'enfant et de leurs risques potentiels garantit l'indication d'un traitement adapté de ces fractures, minimisant les risques de complication. Note de contenu : Introduction
Généralités
Anatomie, croissance et implications en physiopathologie
Épidémiologie et implications en physiopathologie
Classifications
Diagnostic
Clinique
Examens paracliniques
Formes cliniques et anatomiques
Fractures extra-articulaires
Fractures articulaires
Fractures avec mécanisme d'impaction et lésions de type Salter V
Formes compliquées des traumatismes du cou-de-pied chez l'enfant
Fractures en fonction de leur pronostic
Fractures du talus
Traitement
Principe du traitement orthopédique et technique de réduction
Principes d'ostéosynthèse
Indications
Séquelles
Diagnostic et traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43946
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-088-B-10 [Tome 3][article] Fractures du cou-de-pied de l'enfant [texte imprimé] / B. Dohin ; J.-L. Langlais . - 2007 . - 14-088-B-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-088-B-10 [Tome 3]
Mots-clés : Cheville Fracture de cheville Décollement épiphysaire Résumé : Les fractures du cou-de-pied chez l'enfant concernent très fréquemment les cartilages de croissance des extrémités des deux os de la jambe. Elles sont la plupart du temps bénignes et de traitement orthopédique, cependant, certains types de décollement épiphysaires comportent un risque élevé de complication à type d'épiphysiodèse avec les conséquences de celle-ci sur la croissance osseuse. L'analyse des circonstances du traumatisme et le type anatomique selon la classification de Salter et Harris de la lésion permettent la plupart du temps d'établir un pronostic et une attitude thérapeutique qui doit être adaptée à l'enfant. À chaque âge correspond des types de fractures plus fréquents. L'évaluation de la croissance résiduelle est un élément décisionnel important. Les fractures articulaires et les fractures parcellaires mettent en jeu le pronostic fonctionnel articulaire. Leur diagnostic s'aide de l'imagerie et, là encore, le traitement, qui est souvent chirurgical, doit être adapté à l'enfant. Les fractures complètes du talus sont exceptionnelles chez l'enfant. Une bonne connaissance des types lésionnels rencontrés au niveau de la cheville de l'enfant et de leurs risques potentiels garantit l'indication d'un traitement adapté de ces fractures, minimisant les risques de complication. Note de contenu : Introduction
Généralités
Anatomie, croissance et implications en physiopathologie
Épidémiologie et implications en physiopathologie
Classifications
Diagnostic
Clinique
Examens paracliniques
Formes cliniques et anatomiques
Fractures extra-articulaires
Fractures articulaires
Fractures avec mécanisme d'impaction et lésions de type Salter V
Formes compliquées des traumatismes du cou-de-pied chez l'enfant
Fractures en fonction de leur pronostic
Fractures du talus
Traitement
Principe du traitement orthopédique et technique de réduction
Principes d'ostéosynthèse
Indications
Séquelles
Diagnostic et traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43946 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures et luxations du tarse antérieur, des métatarsiens et des phalanges / J.-P. Delagoutte in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2007)
[article]
Titre : Fractures et luxations du tarse antérieur, des métatarsiens et des phalanges Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-P. Delagoutte Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14-099-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture Os naviculaire Métatarsien Phalange Orteils Résumé : Les lésions traumatiques du tarse antérieur et de l'avant-pied font souvent, plus encore que les traumatismes de l'arrière-pied, figure de parent pauvre de la pathologie en général et de la traumatologie en particulier. Elles nécessitent pourtant une attention particulière car elles peuvent laisser de graves séquelles, en particulier douloureuses non seulement pour la marche mais aussi pour le chaussage et même pour la simple station debout. Leur diagnostic est souvent difficile car les radiographies simples sont le siège de superpositions qui peuvent les rendre difficilement interprétables ; en particulier, une lésion même déplacée de l'articulation de Lisfranc peut être occultée et passer inaperçue ; la tomodensitométrie, à l'ère où cette radiographie est proposée comme premier examen en urgence pour tout polytraumatisme, devrait s'imposer en cas de simples contusions du pied. Le traitement primaire est en effet le garant d'un résultat fonctionnel tardif correct ; il consiste en la réduction précise de ces fractures en sachant que l'arthrodèse en bonne position, en particulier pour les fractures du naviculaire et les fractures luxations de l'interligne de Lisfranc, est parfois la solution de choix qui peut être pratiquée même en urgence. Note de contenu : Introduction
Fracture de l'os naviculaire
Étiopathogénie
Classification
Éléments de diagnostic
Traitement
Fracture du cuboïde
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie
Traitement
Fractures des cunéiformes
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie et traitement
Fractures des métatarsiens
Topographie
Diagnostic et traitement
Fractures des phalanges
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie clinique et principes thérapeutiques
Fractures des os sésamoïdes
Rappel anatomique et physiopathologique
Diagnostic et évolution
Conclusion
Luxations du complexe métatarso-sésamoïdo-phalangien
Fractures luxations de l'articulation tarsométatarsienne
Étude radioclinique
Classification
Conséquences thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43952
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-099-A-10 [Tome 3][article] Fractures et luxations du tarse antérieur, des métatarsiens et des phalanges [texte imprimé] / J.-P. Delagoutte . - 2007 . - 14-099-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-099-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture Os naviculaire Métatarsien Phalange Orteils Résumé : Les lésions traumatiques du tarse antérieur et de l'avant-pied font souvent, plus encore que les traumatismes de l'arrière-pied, figure de parent pauvre de la pathologie en général et de la traumatologie en particulier. Elles nécessitent pourtant une attention particulière car elles peuvent laisser de graves séquelles, en particulier douloureuses non seulement pour la marche mais aussi pour le chaussage et même pour la simple station debout. Leur diagnostic est souvent difficile car les radiographies simples sont le siège de superpositions qui peuvent les rendre difficilement interprétables ; en particulier, une lésion même déplacée de l'articulation de Lisfranc peut être occultée et passer inaperçue ; la tomodensitométrie, à l'ère où cette radiographie est proposée comme premier examen en urgence pour tout polytraumatisme, devrait s'imposer en cas de simples contusions du pied. Le traitement primaire est en effet le garant d'un résultat fonctionnel tardif correct ; il consiste en la réduction précise de ces fractures en sachant que l'arthrodèse en bonne position, en particulier pour les fractures du naviculaire et les fractures luxations de l'interligne de Lisfranc, est parfois la solution de choix qui peut être pratiquée même en urgence. Note de contenu : Introduction
Fracture de l'os naviculaire
Étiopathogénie
Classification
Éléments de diagnostic
Traitement
Fracture du cuboïde
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie
Traitement
Fractures des cunéiformes
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie et traitement
Fractures des métatarsiens
Topographie
Diagnostic et traitement
Fractures des phalanges
Mécanisme
Anatomie pathologique
Symptomatologie clinique et principes thérapeutiques
Fractures des os sésamoïdes
Rappel anatomique et physiopathologique
Diagnostic et évolution
Conclusion
Luxations du complexe métatarso-sésamoïdo-phalangien
Fractures luxations de l'articulation tarsométatarsienne
Étude radioclinique
Classification
Conséquences thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43952 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tumeurs et dystrophies de la synoviale / V. Legré in EMC : Appareil locomoteur, (Novembre 2007)
[article]
Titre : Tumeurs et dystrophies de la synoviale Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Legré, Auteur ; T. Boyer, Auteur ; H. Dorfmann, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 14-810-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs synoviales Dystrophies synoviales Synovite villonodulaire Chondromatose Ostéochondromatose Hémangiome synovial Lipome arborescent Résumé : Les tumeurs et pseudotumeurs synoviales sont rares, mais potentiellement destructrices. Elles sont essentiellement articulaires, mais peuvent toucher les gaines tendineuses ou les bourses séreuses. Leur diagnostic est difficile et retardé en raison de signes cliniques tardifs, non spécifiques et discrets, avec des radiographies longtemps normales. Il faut savoir y penser devant une monoarthropathie mécanique progressive chez un sujet jeune, surtout au genou, et demander une imagerie par résonance magnétique (IRM) qui apparaît le meilleur examen diagnostique dans la plupart des cas. Elles peuvent exister sous une forme localisée ou une forme diffuse, de présentation et de pronostic très différents. Les pseudotumeurs encore appelées dystrophies synoviales sont les moins rares. Elles regroupent la chondromatose synoviale, dont le diagnostic radiologique est facile au stade ossifié d'ostéochondromatose, mais qui requiert un arthroscanner en cas de chondromatose pure, et la synovite villonodulaire (SVN) à évoquer en cas d'épanchement sérohématique, et à confirmer par IRM. Les tumeurs synoviales bénignes sont dominées par l'hémangiome synovial, à suspecter en cas d'hémarthroses répétées et le lipome arborescent dont l'aspect IRM est caractéristique. Les tumeurs malignes sont exceptionnelles ; elles sont dominées par le sarcome synovial, à évoquer en présence de calcifications para-articulaires. L'arthroscopie permet souvent de donner le diagnostic d'emblée, confirmé par une biopsie synoviale dirigée, et effectue l'exérèse des formes localisées bénignes, source de guérison. La chirurgie est souvent nécessaire dans les formes diffuses, avec un taux important de récidives. Note de contenu : Introduction
Synovites dystrophiques ou pseudotumeurs synoviales
Chondromatose synoviale
Synovite villonodulaire
Tumeurs synoviales bénignes
Hémangiome synovial
Lipome arborescent
Tumeurs synoviales malignes
Sarcome synovial
Chondrosarcome
Métastases synoviales
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44060
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-810-A-10 [Tome 6][article] Tumeurs et dystrophies de la synoviale [texte imprimé] / V. Legré, Auteur ; T. Boyer, Auteur ; H. Dorfmann, Auteur . - 2007 . - 14-810-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Novembre 2007) . - 14-810-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Tumeurs synoviales Dystrophies synoviales Synovite villonodulaire Chondromatose Ostéochondromatose Hémangiome synovial Lipome arborescent Résumé : Les tumeurs et pseudotumeurs synoviales sont rares, mais potentiellement destructrices. Elles sont essentiellement articulaires, mais peuvent toucher les gaines tendineuses ou les bourses séreuses. Leur diagnostic est difficile et retardé en raison de signes cliniques tardifs, non spécifiques et discrets, avec des radiographies longtemps normales. Il faut savoir y penser devant une monoarthropathie mécanique progressive chez un sujet jeune, surtout au genou, et demander une imagerie par résonance magnétique (IRM) qui apparaît le meilleur examen diagnostique dans la plupart des cas. Elles peuvent exister sous une forme localisée ou une forme diffuse, de présentation et de pronostic très différents. Les pseudotumeurs encore appelées dystrophies synoviales sont les moins rares. Elles regroupent la chondromatose synoviale, dont le diagnostic radiologique est facile au stade ossifié d'ostéochondromatose, mais qui requiert un arthroscanner en cas de chondromatose pure, et la synovite villonodulaire (SVN) à évoquer en cas d'épanchement sérohématique, et à confirmer par IRM. Les tumeurs synoviales bénignes sont dominées par l'hémangiome synovial, à suspecter en cas d'hémarthroses répétées et le lipome arborescent dont l'aspect IRM est caractéristique. Les tumeurs malignes sont exceptionnelles ; elles sont dominées par le sarcome synovial, à évoquer en présence de calcifications para-articulaires. L'arthroscopie permet souvent de donner le diagnostic d'emblée, confirmé par une biopsie synoviale dirigée, et effectue l'exérèse des formes localisées bénignes, source de guérison. La chirurgie est souvent nécessaire dans les formes diffuses, avec un taux important de récidives. Note de contenu : Introduction
Synovites dystrophiques ou pseudotumeurs synoviales
Chondromatose synoviale
Synovite villonodulaire
Tumeurs synoviales bénignes
Hémangiome synovial
Lipome arborescent
Tumeurs synoviales malignes
Sarcome synovial
Chondrosarcome
Métastases synoviales
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44060 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire