Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Mai 2011
Paru le : 16/05/2011 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierOstéoporose cortisonique / C. Marcelli in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2011)
[article]
Titre : Ostéoporose cortisonique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Marcelli Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-024-A-40 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticothérapie Glucocorticoïdes Densité minérale osseuse Ostéoporose Fractures Bisphosphonates Tériparatide Résumé : La corticothérapie reste aujourd'hui le traitement anti-inflammatoire de référence pour de nombreuses affections. Au long cours, elle a pour conséquence une baisse rapide de la masse osseuse, maximale au cours de la première année de traitement, ainsi qu'une augmentation rapide de l'incidence des fractures à basse énergie. Le risque de fracture est dépendant du type et de la gravité de l'affection justifiant le traitement, de la valeur initiale de la masse osseuse, de l'existence éventuelle d'autres facteurs de risque et de la dose quotidienne des glucocorticoïdes. La réponse osseuse à la corticothérapie est variable et, à ce jour, aucun facteur prédictif du risque individuel de perte osseuse et de fracture sous corticothérapie n'a été clairement identifié. La perte osseuse liée à la corticothérapie résulte d'une augmentation précoce, mais transitoire, de la résorption osseuse et d'une diminution plus tardive, mais continue, de la formation osseuse. Ces perturbations du remodelage osseux aboutissent à des altérations caractéristiques de la microarchitecture osseuse pouvant influencer, conjointement à la baisse de la densité minérale osseuse, le risque de fracture. Le traitement préventif de l'ostéoporose cortisonique doit être envisagé dès lors que la dose quotidienne de corticoïdes atteint ou dépasse 7,5 mg d'équivalent prednisone et que la durée prévisible de la corticothérapie est supérieure à 3 mois. Une supplémentation en calcium et en vitamine D est recommandée. Les bisphosphonates et le tériparatide ont montré leur efficacité dans la prévention et le traitement de l'ostéoporose cortisonique. Note de contenu : Introduction
Fréquence de la corticothérapie et prévention de l'ostéoporose cortisonique
Effets de la corticothérapie sur la perte osseuse
Corticothérapie et augmentation du risque de fracture
Physiopathologie
Effets sur les cellules osseuses
Effets indirects des glucocorticoïdes sur le métabolisme osseux
Mécanismes physiopathologiques des fractures au cours de l'ostéoporose cortisonique
Traitement
Moyens thérapeutiques dans l'ostéoporose cortisonique
Stratégies thérapeutiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43695
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2011) . - 14-024-A-40 [Tome 1][article] Ostéoporose cortisonique [texte imprimé] / C. Marcelli . - 2011 . - 14-024-A-40 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2011) . - 14-024-A-40 [Tome 1]
Mots-clés : Corticothérapie Glucocorticoïdes Densité minérale osseuse Ostéoporose Fractures Bisphosphonates Tériparatide Résumé : La corticothérapie reste aujourd'hui le traitement anti-inflammatoire de référence pour de nombreuses affections. Au long cours, elle a pour conséquence une baisse rapide de la masse osseuse, maximale au cours de la première année de traitement, ainsi qu'une augmentation rapide de l'incidence des fractures à basse énergie. Le risque de fracture est dépendant du type et de la gravité de l'affection justifiant le traitement, de la valeur initiale de la masse osseuse, de l'existence éventuelle d'autres facteurs de risque et de la dose quotidienne des glucocorticoïdes. La réponse osseuse à la corticothérapie est variable et, à ce jour, aucun facteur prédictif du risque individuel de perte osseuse et de fracture sous corticothérapie n'a été clairement identifié. La perte osseuse liée à la corticothérapie résulte d'une augmentation précoce, mais transitoire, de la résorption osseuse et d'une diminution plus tardive, mais continue, de la formation osseuse. Ces perturbations du remodelage osseux aboutissent à des altérations caractéristiques de la microarchitecture osseuse pouvant influencer, conjointement à la baisse de la densité minérale osseuse, le risque de fracture. Le traitement préventif de l'ostéoporose cortisonique doit être envisagé dès lors que la dose quotidienne de corticoïdes atteint ou dépasse 7,5 mg d'équivalent prednisone et que la durée prévisible de la corticothérapie est supérieure à 3 mois. Une supplémentation en calcium et en vitamine D est recommandée. Les bisphosphonates et le tériparatide ont montré leur efficacité dans la prévention et le traitement de l'ostéoporose cortisonique. Note de contenu : Introduction
Fréquence de la corticothérapie et prévention de l'ostéoporose cortisonique
Effets de la corticothérapie sur la perte osseuse
Corticothérapie et augmentation du risque de fracture
Physiopathologie
Effets sur les cellules osseuses
Effets indirects des glucocorticoïdes sur le métabolisme osseux
Mécanismes physiopathologiques des fractures au cours de l'ostéoporose cortisonique
Traitement
Moyens thérapeutiques dans l'ostéoporose cortisonique
Stratégies thérapeutiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43695 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Traitement chirurgical de la coxarthrose / J. Girard in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2011)
[article]
Titre : Traitement chirurgical de la coxarthrose Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Girard, Auteur ; O. May, Auteur ; N. Krantz, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-315-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Coxarthrose Dysplasie Protrusion Conflit fémoroacétabulaire Arthroscopie Résumé : Le traitement chirurgical de la coxarthrose est souvent confondu avec l'arthroplastie totale de hanche dont les progrès et la fiabilité ont favorisé le développement, reléguant la chirurgie conservatrice au deuxième plan. La chirurgie conservatrice trouve ses meilleures indications pour corriger un défaut architectural lorsqu'il est significatif et/ou lorsque l'arthrose est modérée, principalement avant l'âge de 40 ans. Le démembrement de nouvelles affections dégénératives de la hanche et une meilleure compréhension physiopathologique ont permis l'essor de nouvelles procédures conservatrices dont les indications doivent être connues. L'arthroscopie a vu ses indications étendues à la correction de défauts morphologiques intra-articulaires et elle a sa place dans des stades précoces d'arthrose. Parmi les arthroplasties, le resurfaçage permet l'économie du capital osseux, ce qui présente un intérêt chez des sujets jeunes. Les progrès en termes de fixation et de couple de frottement des arthroplasties font qu'elles gardent la première place en termes de fréquence, du fait d'une plus grande longévité, d'une récupération plus rapide liée à la réduction des voies d'abord et à des protocoles de réhabilitation spécifiques. Note de contenu : Introduction
Chirurgie conservatrice
Différentes interventions « correctrices »
Différentes situations
Arthroplasties conventionnelles
Couples de frottement
Modes de fixation
Double mobilité, grands diamètres et luxations de prothèse de hanche
Resurfaçage
Principes
Résultats
Place de l'arthroscopie
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44020
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2011) . - 14-315-A-10 [Tome 5][article] Traitement chirurgical de la coxarthrose [texte imprimé] / J. Girard, Auteur ; O. May, Auteur ; N. Krantz, Auteur . - 2011 . - 14-315-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2011) . - 14-315-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Coxarthrose Dysplasie Protrusion Conflit fémoroacétabulaire Arthroscopie Résumé : Le traitement chirurgical de la coxarthrose est souvent confondu avec l'arthroplastie totale de hanche dont les progrès et la fiabilité ont favorisé le développement, reléguant la chirurgie conservatrice au deuxième plan. La chirurgie conservatrice trouve ses meilleures indications pour corriger un défaut architectural lorsqu'il est significatif et/ou lorsque l'arthrose est modérée, principalement avant l'âge de 40 ans. Le démembrement de nouvelles affections dégénératives de la hanche et une meilleure compréhension physiopathologique ont permis l'essor de nouvelles procédures conservatrices dont les indications doivent être connues. L'arthroscopie a vu ses indications étendues à la correction de défauts morphologiques intra-articulaires et elle a sa place dans des stades précoces d'arthrose. Parmi les arthroplasties, le resurfaçage permet l'économie du capital osseux, ce qui présente un intérêt chez des sujets jeunes. Les progrès en termes de fixation et de couple de frottement des arthroplasties font qu'elles gardent la première place en termes de fréquence, du fait d'une plus grande longévité, d'une récupération plus rapide liée à la réduction des voies d'abord et à des protocoles de réhabilitation spécifiques. Note de contenu : Introduction
Chirurgie conservatrice
Différentes interventions « correctrices »
Différentes situations
Arthroplasties conventionnelles
Couples de frottement
Modes de fixation
Double mobilité, grands diamètres et luxations de prothèse de hanche
Resurfaçage
Principes
Résultats
Place de l'arthroscopie
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44020 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Exostose solitaire et maladie des exostoses multiples / P. Bonnevialle in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2011)
[article]
Titre : Exostose solitaire et maladie des exostoses multiples Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Bonnevialle, Auteur ; J. Sales de Gauzy, Auteur ; S. Ferriere, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 14-743 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Exostose solitaire Ostéochondrome Maladie exostosante Exostoses multiples Chondrosarcome Résumé : Une expression tumorale unitaire caractérisée par un double contingent osseux et cartilagineux, évolutif tout le long de la croissance est le point commun de l'exostose ostéogénique et de la maladie exostosante. Elles intéressent à la fois le chirurgien orthopédiste pédiatre et adulte. Dans sa forme unique l'exostose ostéogénique ou ostéochondrome rassemble une sémiologie clinique et radiologique caricaturale permettant de poser un diagnostic de certitude sans biopsie première : tumeur de surface en stricte continuité radiologique avec la corticale métaphysaire d'où elle est issue et comportant une coiffe cartilagineuse. Rarement, elle présente des difficultés de diagnostic différentiel avec un sarcome paraostéal. Le risque de dégénérescence est exceptionnel dans la forme unique dont l'indication d'exérèse est posée pour les formes symptomatiques, en particulier compressives et localisées au fémur proximal, à la scapula et au bassin. La maladie exostosante est rare, secondaire à trois mutations chromosomiques dont la transmission est autosomique dominante. Un antécédent familial est retrouvé dans deux tiers des cas ce qui permet, dès la naissance, de redouter un tel diagnostic lorsque le nouveau-né est issu d'un des parents atteints. La survenue sporadique est possible liée à une mutation de novo. La maladie exostosante se caractérise par une grande hétérogénéité clinique liée au nombre, au volume des unités tumorales et à leur dissémination ; les sites les plus fréquents avec retentissement sur la croissance sont le poignet, le genou et la cheville. Les indications thérapeutiques au niveau de ces sites sont mieux précisées dans le but de prévenir des déformations orthopédiques à retentissement fonctionnel et social non négligeable. Le risque de dégénérescence chondrosarcomateuse chez l'adulte est nettement plus élevé, en particulier dans les formes sévères et aux ceintures. Les progrès de la génétique vont permettre l'identification précoce des formes graves au plan fonctionnel et à risque carcinologique. Note de contenu : Introduction
Exostose solitaire
Anatomopathologie
Présentation radioclinique
Traitement
Maladie des exostoses multiples
Données générales
Présentation radioclinique
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44046
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2011) . - 14-743 [Tome 6][article] Exostose solitaire et maladie des exostoses multiples [texte imprimé] / P. Bonnevialle, Auteur ; J. Sales de Gauzy, Auteur ; S. Ferriere, Auteur . - 2011 . - 14-743 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2011) . - 14-743 [Tome 6]
Mots-clés : Exostose solitaire Ostéochondrome Maladie exostosante Exostoses multiples Chondrosarcome Résumé : Une expression tumorale unitaire caractérisée par un double contingent osseux et cartilagineux, évolutif tout le long de la croissance est le point commun de l'exostose ostéogénique et de la maladie exostosante. Elles intéressent à la fois le chirurgien orthopédiste pédiatre et adulte. Dans sa forme unique l'exostose ostéogénique ou ostéochondrome rassemble une sémiologie clinique et radiologique caricaturale permettant de poser un diagnostic de certitude sans biopsie première : tumeur de surface en stricte continuité radiologique avec la corticale métaphysaire d'où elle est issue et comportant une coiffe cartilagineuse. Rarement, elle présente des difficultés de diagnostic différentiel avec un sarcome paraostéal. Le risque de dégénérescence est exceptionnel dans la forme unique dont l'indication d'exérèse est posée pour les formes symptomatiques, en particulier compressives et localisées au fémur proximal, à la scapula et au bassin. La maladie exostosante est rare, secondaire à trois mutations chromosomiques dont la transmission est autosomique dominante. Un antécédent familial est retrouvé dans deux tiers des cas ce qui permet, dès la naissance, de redouter un tel diagnostic lorsque le nouveau-né est issu d'un des parents atteints. La survenue sporadique est possible liée à une mutation de novo. La maladie exostosante se caractérise par une grande hétérogénéité clinique liée au nombre, au volume des unités tumorales et à leur dissémination ; les sites les plus fréquents avec retentissement sur la croissance sont le poignet, le genou et la cheville. Les indications thérapeutiques au niveau de ces sites sont mieux précisées dans le but de prévenir des déformations orthopédiques à retentissement fonctionnel et social non négligeable. Le risque de dégénérescence chondrosarcomateuse chez l'adulte est nettement plus élevé, en particulier dans les formes sévères et aux ceintures. Les progrès de la génétique vont permettre l'identification précoce des formes graves au plan fonctionnel et à risque carcinologique. Note de contenu : Introduction
Exostose solitaire
Anatomopathologie
Présentation radioclinique
Traitement
Maladie des exostoses multiples
Données générales
Présentation radioclinique
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44046 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire