Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Avril 2008
Paru le : 25/04/2008 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierProphylaxie des accidents thromboemboliques veineux en chirurgie orthopédique et traumatologique / C. Vielpeau in EMC : Appareil locomoteur, (Avril 2008)
[article]
Titre : Prophylaxie des accidents thromboemboliques veineux en chirurgie orthopédique et traumatologique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Vielpeau ; J. Barre ; M.-T. Barrellier Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-014-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : thrombose veineuse embolie pulmonaire chirurgie orthopédique traumatologie prothèse de hanche prothèse de genou fracture du col du fémur prophylaxie thromboembolique plébographie échodoppler veineux héparines de bas poids moléculaire Résumé : La thrombose veineuse profonde est le résultat d'un phénomène physiologique qui se développe en un lieu non souhaité du réseau veineux. Elle se produit pour des raisons rarement liées à des troubles de la coagulation (thrombophilie), mais surtout à la stase veineuse et aux lésions endothéliales, ces trois éléments constituant la classique triade de Virschow. Le facteur tissulaire est probablement un médiateur déterminant de la maladie thromboembolique dont les conséquences locales peuvent être fonctionnellement gênantes à la jambe et potentiellement catastrophiques si elle se traduit par une embolie pulmonaire. La chirurgie orthopédique est une grande pourvoyeuse de maladie veineuse thromboembolique, notamment les prothèses totales de hanche et de genou, et les fractures de l'extrémité supérieure du fémur, qui s'adressent à une population volontiers âgée, à mobilité réduite, en surcharge pondérale et aux comorbidités fréquentes. La prophylaxie médicamenteuse a fait des progrès considérables ces dernières décennies, au point que l'embolie pulmonaire fatale est devenue heureusement très rare. En revanche, elle n'est pas dénuée de risques et, actuellement, la carte d'identité d'un antithrombotique doit comporter une étude précise des deux versants : le bénéfice prophylactique et le risque hémorragique. Les études sont effectuées sur des populations choisies et sont basées sur des examens complémentaires que la fréquente positivité rend plus sensibles que les événements cliniques. Elles doivent être complétées par des cohortes de patients de la « vraie vie ». La phlébographie n'est plus utilisée que dans les études. L'échodoppler est l'examen de routine en pratique clinique. La pharmacopée s'enrichit régulièrement de nouvelles molécules, issues le plus souvent de la fragmentation de l'héparine, qui bloquent la formation de thrombine par l'intermédiaire du facteur X activé ou directement la thrombine elle-même. L'efficacité des médicaments a créé un véritable engouement pour leur utilisation et la tendance actuelle devrait être plus sélective pour adapter, à un patient donné, la molécule, sa posologie, l'heure de la première injection, son rythme de prescription, passant de l'époque du « prêt-à-porter » de la grande distribution à celle du « sur-mesure » de proximité. Note de contenu : Introduction
Généralités
Physiologie et facteurs de risque
Stratification du risque thrombotique
Risque thromboembolique en chirurgie orthopédique et traumatologique
Méthodes de détection des thromboses veineuses en orthotraumatologie
Méthodes de détection
Conclusion
Techniques anesthésiques et risque thrombotique veineux
Moyens physiques de prévention thromboembolique
Moyens médicamenteux classiques et nouvelles molécules
Moyens médicamenteux
Prévention en fonction de la chirurgie
Chirurgie orthopédique majeure
Polytraumatismes
Traumatologie distale du membre inférieur
Chirurgie ambulatoire. Arthroscopie
Prophylaxie et risque hémorragique
Anticoagulation et risque hémorragique de l'anesthésie locorégionale
Risque hémorragique du site opératoire et à distance
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43668
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 14-014-A-10 [Tome 1][article] Prophylaxie des accidents thromboemboliques veineux en chirurgie orthopédique et traumatologique [texte imprimé] / C. Vielpeau ; J. Barre ; M.-T. Barrellier . - 2008 . - 14-014-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 14-014-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : thrombose veineuse embolie pulmonaire chirurgie orthopédique traumatologie prothèse de hanche prothèse de genou fracture du col du fémur prophylaxie thromboembolique plébographie échodoppler veineux héparines de bas poids moléculaire Résumé : La thrombose veineuse profonde est le résultat d'un phénomène physiologique qui se développe en un lieu non souhaité du réseau veineux. Elle se produit pour des raisons rarement liées à des troubles de la coagulation (thrombophilie), mais surtout à la stase veineuse et aux lésions endothéliales, ces trois éléments constituant la classique triade de Virschow. Le facteur tissulaire est probablement un médiateur déterminant de la maladie thromboembolique dont les conséquences locales peuvent être fonctionnellement gênantes à la jambe et potentiellement catastrophiques si elle se traduit par une embolie pulmonaire. La chirurgie orthopédique est une grande pourvoyeuse de maladie veineuse thromboembolique, notamment les prothèses totales de hanche et de genou, et les fractures de l'extrémité supérieure du fémur, qui s'adressent à une population volontiers âgée, à mobilité réduite, en surcharge pondérale et aux comorbidités fréquentes. La prophylaxie médicamenteuse a fait des progrès considérables ces dernières décennies, au point que l'embolie pulmonaire fatale est devenue heureusement très rare. En revanche, elle n'est pas dénuée de risques et, actuellement, la carte d'identité d'un antithrombotique doit comporter une étude précise des deux versants : le bénéfice prophylactique et le risque hémorragique. Les études sont effectuées sur des populations choisies et sont basées sur des examens complémentaires que la fréquente positivité rend plus sensibles que les événements cliniques. Elles doivent être complétées par des cohortes de patients de la « vraie vie ». La phlébographie n'est plus utilisée que dans les études. L'échodoppler est l'examen de routine en pratique clinique. La pharmacopée s'enrichit régulièrement de nouvelles molécules, issues le plus souvent de la fragmentation de l'héparine, qui bloquent la formation de thrombine par l'intermédiaire du facteur X activé ou directement la thrombine elle-même. L'efficacité des médicaments a créé un véritable engouement pour leur utilisation et la tendance actuelle devrait être plus sélective pour adapter, à un patient donné, la molécule, sa posologie, l'heure de la première injection, son rythme de prescription, passant de l'époque du « prêt-à-porter » de la grande distribution à celle du « sur-mesure » de proximité. Note de contenu : Introduction
Généralités
Physiologie et facteurs de risque
Stratification du risque thrombotique
Risque thromboembolique en chirurgie orthopédique et traumatologique
Méthodes de détection des thromboses veineuses en orthotraumatologie
Méthodes de détection
Conclusion
Techniques anesthésiques et risque thrombotique veineux
Moyens physiques de prévention thromboembolique
Moyens médicamenteux classiques et nouvelles molécules
Moyens médicamenteux
Prévention en fonction de la chirurgie
Chirurgie orthopédique majeure
Polytraumatismes
Traumatologie distale du membre inférieur
Chirurgie ambulatoire. Arthroscopie
Prophylaxie et risque hémorragique
Anticoagulation et risque hémorragique de l'anesthésie locorégionale
Risque hémorragique du site opératoire et à distance
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43668 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Métatarsalgie de Morton / J.-P. Delagoutte in EMC : Appareil locomoteur, (Avril 2008)
[article]
Titre : Métatarsalgie de Morton Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-P. Delagoutte ; B. Michel Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-118-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Nerf métatarsien Douleur plantaire Névrome de Morton Résumé : La métatarsalgie de Morton est la traduction d'une formation pseudotumorale située à la bifurcation d'un nerf métatarsien, le 3e le plus souvent. Le diagnostic clinique est facile par l'intensité de la douleur plantaire qui est très localisée et disparaît lors du déchaussage ; cette douleur est provoquée par la pression verticale de l'espace intéressé et la compression latérale horizontale des têtes métatarsiennes. Le diagnostic peut être aidé par des examens complémentaires, en particulier l'échographie qui se révèle très fiable. Le traitement fait appel soit à l'exérèse du « névrome », soit à la libération de l'espace par section du ligament transverse intermétatarsien selon la théorie du syndrome canalaire ; la neurectomie paraît préférable et ses résultats paraissent plus fiables, sans entraîner de conséquences fonctionnelles. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique
Physiopathologie et étude microscopique
Rappel clinique
Traitement
Principes
Discussion
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43956
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 14-118-A-10 [Tome 4][article] Métatarsalgie de Morton [texte imprimé] / J.-P. Delagoutte ; B. Michel . - 2008 . - 14-118-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 14-118-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Nerf métatarsien Douleur plantaire Névrome de Morton Résumé : La métatarsalgie de Morton est la traduction d'une formation pseudotumorale située à la bifurcation d'un nerf métatarsien, le 3e le plus souvent. Le diagnostic clinique est facile par l'intensité de la douleur plantaire qui est très localisée et disparaît lors du déchaussage ; cette douleur est provoquée par la pression verticale de l'espace intéressé et la compression latérale horizontale des têtes métatarsiennes. Le diagnostic peut être aidé par des examens complémentaires, en particulier l'échographie qui se révèle très fiable. Le traitement fait appel soit à l'exérèse du « névrome », soit à la libération de l'espace par section du ligament transverse intermétatarsien selon la théorie du syndrome canalaire ; la neurectomie paraît préférable et ses résultats paraissent plus fiables, sans entraîner de conséquences fonctionnelles. Note de contenu : Introduction
Rappel anatomique
Physiopathologie et étude microscopique
Rappel clinique
Traitement
Principes
Discussion
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43956 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie de la coiffe des rotateurs / L. Nové-Josserand in EMC : Appareil locomoteur, (Avril 2008)
[article]
Titre : Pathologie de la coiffe des rotateurs Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Nové-Josserand, Auteur ; A. Godenèche, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-350-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule Coiffe des rotateurs Tendinopathie Calcification Rupture partielle Rupture transfixiante Résumé : La pathologie de la coiffe des rotateurs est très fréquente et représente la première cause de consultation pour épaule douloureuse. On distingue les tendinopathies non rompues calcifiantes ou non et les tendinopathies rompues, partielles ou transfixiantes, pouvant évoluer jusqu'à l'arthrose excentrée. L'examen clinique recherche les amplitudes articulaires de façon passive puis active puis teste chaque composant de la coiffe des rotateurs de façon analytique. Le bilan radiographique de première intention associe radiographie standard et échographie. Il permet le diagnostic positif des tendinopathies calcifiantes et des ruptures larges avec un espace sous-acromial inférieur à 7 mm. Le bilan radiographique de deuxième intention (arthroscanner, imagerie par résonance magnétique [IRM], arthro-IRM) précise le diagnostic, qu'il s'agisse d'une tendinopathie non rompue ou rompue. Le bilan permet d'apprécier la taille de la rupture tendineuse, la rétraction tendineuse et l'existence d'une dégénérescence musculaire, facteurs pronostiques pour la décision thérapeutique. Le traitement des tendinopathies non calcifiantes et calcifiantes est principalement médical. Le traitement des ruptures de la coiffe des rotateurs est le plus souvent médical en première intention. Le traitement chirurgical consiste en une réinsertion tendineuse lorsque la rupture est réparable. Dans le cas contraire, une chirurgie palliative, purement symptomatique, sous arthroscopie ou transfert tendineux, est proposée. La raideur capsulaire est la première complication à redouter après une chirurgie de la coiffe des rotateurs ; elle peut aussi préexister et doit alors être dépistée en préopératoire. Note de contenu : Anatomie
Biomécanique
Action de centrage permanent de l'humérus vis-à-vis de la glène
Action motrice de l'articulation glénohumérale
Action stabilisatrice de l'articulation glénohumérale
Histologie
Anatomie microscopique du tendon
Anatomie microscopique de l'enthèse
Possibilité de réparation tendineuse
Classification des lésions de la coiffe des rotateurs
Tendinopathies non rompues calcifiantes de la coiffe des rotateurs
Tendinopathies non rompues non calcifiantes de la coiffe des rotateurs
Tendinopathies rompues de la coiffe des rotateurs
Examen clinique
Interrogatoire
Inspection
Palpation
Analyse des amplitudes articulaires passives et actives
Examen analytique des tendons de la coiffe des rotateurs
Manoeuvre de conflit sous-acromiocoracoïdien
Examen paraclinique
Imagerie de première intention
Imagerie de seconde intention
Formes cliniques
Tendinopathies non rompues calcifiantes
Tendinopathies non rompues non calcifiantes
Ruptures partielles
Ruptures transfixiantes
Ruptures de coiffe avec excentration
Lésion de la coiffe des rotateurs et omarthrose
Pathologie de la coiffe des rotateurs et sport
Rupture de la coiffe des rotateurs et instabilité glénohumérale
Tendinopathie de la coiffe et raideur
Tendinopathie de la coiffe des rotateurs, accident du travail ou maladie professionnelle
Traitements
Moyens thérapeutiques
IndicationsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44032
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 14-350-A-10 [Tome 5][article] Pathologie de la coiffe des rotateurs [texte imprimé] / L. Nové-Josserand, Auteur ; A. Godenèche, Auteur . - 2008 . - 14-350-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 14-350-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Épaule Coiffe des rotateurs Tendinopathie Calcification Rupture partielle Rupture transfixiante Résumé : La pathologie de la coiffe des rotateurs est très fréquente et représente la première cause de consultation pour épaule douloureuse. On distingue les tendinopathies non rompues calcifiantes ou non et les tendinopathies rompues, partielles ou transfixiantes, pouvant évoluer jusqu'à l'arthrose excentrée. L'examen clinique recherche les amplitudes articulaires de façon passive puis active puis teste chaque composant de la coiffe des rotateurs de façon analytique. Le bilan radiographique de première intention associe radiographie standard et échographie. Il permet le diagnostic positif des tendinopathies calcifiantes et des ruptures larges avec un espace sous-acromial inférieur à 7 mm. Le bilan radiographique de deuxième intention (arthroscanner, imagerie par résonance magnétique [IRM], arthro-IRM) précise le diagnostic, qu'il s'agisse d'une tendinopathie non rompue ou rompue. Le bilan permet d'apprécier la taille de la rupture tendineuse, la rétraction tendineuse et l'existence d'une dégénérescence musculaire, facteurs pronostiques pour la décision thérapeutique. Le traitement des tendinopathies non calcifiantes et calcifiantes est principalement médical. Le traitement des ruptures de la coiffe des rotateurs est le plus souvent médical en première intention. Le traitement chirurgical consiste en une réinsertion tendineuse lorsque la rupture est réparable. Dans le cas contraire, une chirurgie palliative, purement symptomatique, sous arthroscopie ou transfert tendineux, est proposée. La raideur capsulaire est la première complication à redouter après une chirurgie de la coiffe des rotateurs ; elle peut aussi préexister et doit alors être dépistée en préopératoire. Note de contenu : Anatomie
Biomécanique
Action de centrage permanent de l'humérus vis-à-vis de la glène
Action motrice de l'articulation glénohumérale
Action stabilisatrice de l'articulation glénohumérale
Histologie
Anatomie microscopique du tendon
Anatomie microscopique de l'enthèse
Possibilité de réparation tendineuse
Classification des lésions de la coiffe des rotateurs
Tendinopathies non rompues calcifiantes de la coiffe des rotateurs
Tendinopathies non rompues non calcifiantes de la coiffe des rotateurs
Tendinopathies rompues de la coiffe des rotateurs
Examen clinique
Interrogatoire
Inspection
Palpation
Analyse des amplitudes articulaires passives et actives
Examen analytique des tendons de la coiffe des rotateurs
Manoeuvre de conflit sous-acromiocoracoïdien
Examen paraclinique
Imagerie de première intention
Imagerie de seconde intention
Formes cliniques
Tendinopathies non rompues calcifiantes
Tendinopathies non rompues non calcifiantes
Ruptures partielles
Ruptures transfixiantes
Ruptures de coiffe avec excentration
Lésion de la coiffe des rotateurs et omarthrose
Pathologie de la coiffe des rotateurs et sport
Rupture de la coiffe des rotateurs et instabilité glénohumérale
Tendinopathie de la coiffe et raideur
Tendinopathie de la coiffe des rotateurs, accident du travail ou maladie professionnelle
Traitements
Moyens thérapeutiques
IndicationsPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44032 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Malformations de la ceinture pelvienne / R. Gouron in EMC : Appareil locomoteur, (Avril 2008)
[article]
Titre : Malformations de la ceinture pelvienne Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gouron ; C. Cretolle ; Z. Pejin Année de publication : 2008 Article en page(s) : 15-225-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Malformation du bassin Agénésie sacrée Currarino Résumé : Les malformations congénitales de la ceinture pelvienne sont rares. L'os coxal peut être dysmorphique dans le cadre d'une maladie osseuse constitutionnelle, mais également être le siège d'une agénésie ou hypoplasie touchant l'une des trois pièces osseuses le constituant (ilion, ischion et pubis). Les anomalies du sacrum sont très souvent le reflet d'une anomalie régionale. Le pronostic est alors autant celui des malformations associées (neurologique, viscérale, urogénitale) que celui de la malformation osseuse seule. Le seul exemple de forme héréditaire de ce type d'association malformative est le syndrome de Currarino. La prise en charge de toutes ces malformations ne peut se concevoir que dans un cadre pluridisciplinaire. Note de contenu : Introduction
Morphogenèse des différentes structures osseuses de la ceinture pelvienne
Embryologie de l'os coxal
Embryologie du sacrum
Maladies générales et anomalies morphologiques du bassin
Malformations de l'os coxal
Malformations de l'ilion
Malformations de l'ischion
Malformations du pubis
Malformations du sacrum
Vertèbres transitionnelles
Sémiologie et classification
Syndrome de Currarino
Autres formes syndromiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44082
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 15-225-A-10 [Tome 6][article] Malformations de la ceinture pelvienne [texte imprimé] / R. Gouron ; C. Cretolle ; Z. Pejin . - 2008 . - 15-225-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 15-225-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Malformation du bassin Agénésie sacrée Currarino Résumé : Les malformations congénitales de la ceinture pelvienne sont rares. L'os coxal peut être dysmorphique dans le cadre d'une maladie osseuse constitutionnelle, mais également être le siège d'une agénésie ou hypoplasie touchant l'une des trois pièces osseuses le constituant (ilion, ischion et pubis). Les anomalies du sacrum sont très souvent le reflet d'une anomalie régionale. Le pronostic est alors autant celui des malformations associées (neurologique, viscérale, urogénitale) que celui de la malformation osseuse seule. Le seul exemple de forme héréditaire de ce type d'association malformative est le syndrome de Currarino. La prise en charge de toutes ces malformations ne peut se concevoir que dans un cadre pluridisciplinaire. Note de contenu : Introduction
Morphogenèse des différentes structures osseuses de la ceinture pelvienne
Embryologie de l'os coxal
Embryologie du sacrum
Maladies générales et anomalies morphologiques du bassin
Malformations de l'os coxal
Malformations de l'ilion
Malformations de l'ischion
Malformations du pubis
Malformations du sacrum
Vertèbres transitionnelles
Sémiologie et classification
Syndrome de Currarino
Autres formes syndromiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44082 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Maladie de Scheuermann et dystrophie rachidienne de croissance / F. Laumonier in EMC : Appareil locomoteur, (Avril 2008)
[article]
Titre : Maladie de Scheuermann et dystrophie rachidienne de croissance Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Laumonier ; J. Lechevallier Année de publication : 2008 Article en page(s) : 15-865-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Dystrophie rachidienne de croissance Maladie de Scheuermann Hypercyphose thoracique Cyphose thoracolombaire Cyphose lombaire Contrainte vertébrale Postures rachidiennes Résumé : La dystrophie rachidienne de croissance (DRC), dont la maladie de Scheuermann est un des aspects, correspond à une altération de la structure discovertébrale survenant chez l'enfant et l'adolescent, aboutissant à un trouble de croissance, laissant persister des séquelles à l'âge adulte. Cette altération est d'origine mécanique, liée à une surcharge rachidienne faite de contraintes dynamiques et/ou posturales. La présentation clinique de la DRC est le plus souvent celle d'un élément douloureux associé à un déséquilibre du tronc et à une déformation cyphotique, à type d'hypercyphose thoracique, ou de cyphose à localisation anormale, thoracolombaire ou lombaire. Le mode d'expression de l'affection est soit aigu, soit le plus souvent chronique, parfois aigu sur fond chronique ; cette expression s'accompagne toujours d'un élément hautement pathologique : la raideur rachidienne segmentaire. Une étude radiographique standard permet en règle d'effectuer le diagnostic de DRC, celle-ci montrant des altérations structurales vertébrales associées à des anomalies discales, dont une diminution d'épaisseur des disques, constante. Les altérations structurales caractéristiques sont en règle la cunéiformisation vertébrale et l'élargissement antéropostérieur de la vertèbre, associés aux anomalies des plateaux de celle-ci, en rapport avec les hernies intraspongieuses du matériel discal. Compte tenu des résultats assez décevants des traitements effectués à un stade avancé de l'affection, la prévention de la DRC, son dépistage, et le traitement de ses formes débutantes sont essentiels. Note de contenu : Introduction
Définitions
Historique
Cadre physiologique
Notions de base
Examen clinique du rachis normal
Examen du rachis normal en imagerie
Cadre pathologique
Fréquence
Épidémiologie
Histoire naturelle
Étiopathogénie
Histo- et anatomopathologie
Physiopathologie
Imagerie
Étude clinique
Données communes
Tableaux cliniques habituels
Tableaux cliniques particuliers
Diagnostic
Diagnostic positif
Diagnostic différentiel
Traitement
Traitement préventif
Traitement orthopédique
Traitement chirurgical
Indications thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44104
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 15-865-A-10 [Tome 7][article] Maladie de Scheuermann et dystrophie rachidienne de croissance [texte imprimé] / F. Laumonier ; J. Lechevallier . - 2008 . - 15-865-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Avril 2008) . - 15-865-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Dystrophie rachidienne de croissance Maladie de Scheuermann Hypercyphose thoracique Cyphose thoracolombaire Cyphose lombaire Contrainte vertébrale Postures rachidiennes Résumé : La dystrophie rachidienne de croissance (DRC), dont la maladie de Scheuermann est un des aspects, correspond à une altération de la structure discovertébrale survenant chez l'enfant et l'adolescent, aboutissant à un trouble de croissance, laissant persister des séquelles à l'âge adulte. Cette altération est d'origine mécanique, liée à une surcharge rachidienne faite de contraintes dynamiques et/ou posturales. La présentation clinique de la DRC est le plus souvent celle d'un élément douloureux associé à un déséquilibre du tronc et à une déformation cyphotique, à type d'hypercyphose thoracique, ou de cyphose à localisation anormale, thoracolombaire ou lombaire. Le mode d'expression de l'affection est soit aigu, soit le plus souvent chronique, parfois aigu sur fond chronique ; cette expression s'accompagne toujours d'un élément hautement pathologique : la raideur rachidienne segmentaire. Une étude radiographique standard permet en règle d'effectuer le diagnostic de DRC, celle-ci montrant des altérations structurales vertébrales associées à des anomalies discales, dont une diminution d'épaisseur des disques, constante. Les altérations structurales caractéristiques sont en règle la cunéiformisation vertébrale et l'élargissement antéropostérieur de la vertèbre, associés aux anomalies des plateaux de celle-ci, en rapport avec les hernies intraspongieuses du matériel discal. Compte tenu des résultats assez décevants des traitements effectués à un stade avancé de l'affection, la prévention de la DRC, son dépistage, et le traitement de ses formes débutantes sont essentiels. Note de contenu : Introduction
Définitions
Historique
Cadre physiologique
Notions de base
Examen clinique du rachis normal
Examen du rachis normal en imagerie
Cadre pathologique
Fréquence
Épidémiologie
Histoire naturelle
Étiopathogénie
Histo- et anatomopathologie
Physiopathologie
Imagerie
Étude clinique
Données communes
Tableaux cliniques habituels
Tableaux cliniques particuliers
Diagnostic
Diagnostic positif
Diagnostic différentiel
Traitement
Traitement préventif
Traitement orthopédique
Traitement chirurgical
Indications thérapeutiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44104 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire