Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Mai 2009
Paru le : 07/05/2009 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAnatomie et physiologie de la marche, de la position assise et debout / F. Dujardin in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2009)
[article]
Titre : Anatomie et physiologie de la marche, de la position assise et debout Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Dujardin ; A.-C. Tobenas-Dujardin ; J. Weber Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-010-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Marche Bipédie Posture Station assise Contrôle neurophysiologique Exemples pathologiques Résumé : L'objet de cet article est de rapporter les éléments essentiels de l'organisation de la marche humaine, de la posture et de la station assise. Les aspects abordés concernent principalement les caractéristiques anatomiques de la position érigée et de la marche bipède, l'organisation qui permet d'assurer une économie maximale tout en préservant de larges capacités d'adaptation, l'évolution avec l'âge, le contrôle neurophysiologique et quelques illustrations pathologiques. Note de contenu : Introduction
Caractéristiques anatomiques de la position érigée et de la marche bipède
Crâne
Rachis
Hanche et bassin
Membres inférieurs
Posture et initiation de la marche
Marche normale
Introduction
Paramètres spatiotemporels
Cinétique articulaire et activités musculaires au cours du cycle
Réaction au sol, déplacement du centre de gravité, équilibre dynamique et dépenses énergétiques
Évolution de la marche avec l'âge
Circonstances particulières de la marche
Station assise
Contrôle neurophysiologique de la marche normale et de la posture
Organisation de l'équilibre postural
Organisation centrale de la marche
Éléments de pathologie
Pathologie orthopédique
Troubles de la marche d'origine neuromusculaire
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43664
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2009) . - 14-010-A-10 [Tome 1][article] Anatomie et physiologie de la marche, de la position assise et debout [texte imprimé] / F. Dujardin ; A.-C. Tobenas-Dujardin ; J. Weber . - 2009 . - 14-010-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2009) . - 14-010-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Marche Bipédie Posture Station assise Contrôle neurophysiologique Exemples pathologiques Résumé : L'objet de cet article est de rapporter les éléments essentiels de l'organisation de la marche humaine, de la posture et de la station assise. Les aspects abordés concernent principalement les caractéristiques anatomiques de la position érigée et de la marche bipède, l'organisation qui permet d'assurer une économie maximale tout en préservant de larges capacités d'adaptation, l'évolution avec l'âge, le contrôle neurophysiologique et quelques illustrations pathologiques. Note de contenu : Introduction
Caractéristiques anatomiques de la position érigée et de la marche bipède
Crâne
Rachis
Hanche et bassin
Membres inférieurs
Posture et initiation de la marche
Marche normale
Introduction
Paramètres spatiotemporels
Cinétique articulaire et activités musculaires au cours du cycle
Réaction au sol, déplacement du centre de gravité, équilibre dynamique et dépenses énergétiques
Évolution de la marche avec l'âge
Circonstances particulières de la marche
Station assise
Contrôle neurophysiologique de la marche normale et de la posture
Organisation de l'équilibre postural
Organisation centrale de la marche
Éléments de pathologie
Pathologie orthopédique
Troubles de la marche d'origine neuromusculaire
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43664 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte / P. Chiron in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2009)
[article]
Titre : Fractures de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Chiron Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-080-A-10 [Tome 3] Note générale : Archivé Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture de l'extrémité du col du fémur Complications d'une fracture Fracture condylienne Résumé : Les fractures de l'extrémité inférieure du fémur sont à l'origine de séquelles à type d'ostéite, de raideur et d'arthrose par cal vicieux ou traumatisme du cartilage. Elles sont provoquées par un traumatisme à haute énergie par exemple lors d'un accident de la voie publique, avec un fort risque d'ouverture du foyer, ou à basse énergie chez des personnes fragilisées ostéoporotiques, porteuses le plus souvent d'une arthroplastie de la hanche ou du genou. Ces fractures, souvent complexes, touchent l'articulation portante la plus volumineuse de l'organisme. La faible hauteur de l'épiphyse restante prise entre les deux bras de levier du fémur et du tibia rend difficile l'obtention d'une ostéosynthèse stable pourtant indispensable à une mobilisation précoce. Elles sont relativement peu fréquentes, mais les types en sont nombreux, chacun posant un problème diagnostique et technique différent ; par conséquent, les opérateurs ont une courbe d'apprentissage limitée. Le choix d'une classification doit permettre de mieux comprendre les différents types et de choisir pour chacun d'eux le matériel d'ostéosynthèse le plus adapté, telles les classifications de Nordin pour les fractures unicondyliennes et de Chiron pour les fractures métaphysoépiphysaires. De nos jours, le traitement chirurgical par ostéosynthèse est supérieur au traitement orthopédique pour appliquer les principes du traitement des fractures épiphysaires, une réduction anatomique et une fixation stable des fragments osseux permettant une rééducation précoce du genou. Des matériels d'ostéosynthèse de principes différents spécifiques pour cette localisation anatomique, sont proposés ; il convient de ne pas être partisan de l'utilisation d'un principe de fixation ou d'un autre, mais de choisir pour chaque type de fracture le matériel le plus adapté. Le principal facteur aggravant est la coexistence d'une fracture de l'extrémité inférieure du fémur avec une fracture articulaire de la rotule ou du plateau tibial. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie. Mécanisme
Classifications
Fractures unicondyliennes
Fractures métaphysoépiphysaires
Classification de
Conduite à tenir en urgence
Traitement orthopédique
Traitement chirurgicalPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43935
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2009) . - 14-080-A-10 [Tome 3][article] Fractures de l'extrémité inférieure du fémur de l'adulte [texte imprimé] / P. Chiron . - 2009 . - 14-080-A-10 [Tome 3].
Archivé
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2009) . - 14-080-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture de l'extrémité du col du fémur Complications d'une fracture Fracture condylienne Résumé : Les fractures de l'extrémité inférieure du fémur sont à l'origine de séquelles à type d'ostéite, de raideur et d'arthrose par cal vicieux ou traumatisme du cartilage. Elles sont provoquées par un traumatisme à haute énergie par exemple lors d'un accident de la voie publique, avec un fort risque d'ouverture du foyer, ou à basse énergie chez des personnes fragilisées ostéoporotiques, porteuses le plus souvent d'une arthroplastie de la hanche ou du genou. Ces fractures, souvent complexes, touchent l'articulation portante la plus volumineuse de l'organisme. La faible hauteur de l'épiphyse restante prise entre les deux bras de levier du fémur et du tibia rend difficile l'obtention d'une ostéosynthèse stable pourtant indispensable à une mobilisation précoce. Elles sont relativement peu fréquentes, mais les types en sont nombreux, chacun posant un problème diagnostique et technique différent ; par conséquent, les opérateurs ont une courbe d'apprentissage limitée. Le choix d'une classification doit permettre de mieux comprendre les différents types et de choisir pour chacun d'eux le matériel d'ostéosynthèse le plus adapté, telles les classifications de Nordin pour les fractures unicondyliennes et de Chiron pour les fractures métaphysoépiphysaires. De nos jours, le traitement chirurgical par ostéosynthèse est supérieur au traitement orthopédique pour appliquer les principes du traitement des fractures épiphysaires, une réduction anatomique et une fixation stable des fragments osseux permettant une rééducation précoce du genou. Des matériels d'ostéosynthèse de principes différents spécifiques pour cette localisation anatomique, sont proposés ; il convient de ne pas être partisan de l'utilisation d'un principe de fixation ou d'un autre, mais de choisir pour chaque type de fracture le matériel le plus adapté. Le principal facteur aggravant est la coexistence d'une fracture de l'extrémité inférieure du fémur avec une fracture articulaire de la rotule ou du plateau tibial. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie. Mécanisme
Classifications
Fractures unicondyliennes
Fractures métaphysoépiphysaires
Classification de
Conduite à tenir en urgence
Traitement orthopédique
Traitement chirurgicalPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43935 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Arthrites réactionnelles / C. Hacquard-Bouder in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2009)
[article]
Titre : Arthrites réactionnelles Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Hacquard-Bouder ; M. Breban Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-206-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrite réactionnelle Spondylarthropathie Syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter Oligoarthrite Urétrite HLA-B27 Résumé : Les arthrites réactionnelles sont des arthrites stériles, survenant dans le mois suivant une infection bactérienne d'origine digestive ou urogénitale. Elles sont associées dans 60 % à 80 % des cas à l'allèle HLA-B27 et font partie du groupe des spondylarthropathies. Leur âge moyen de survenue se situe entre 20 et 30 ans. Le diagnostic clinique est aisé en cas de forme complète, réalisant le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter, caractérisé par la triade : oligoarthrite, touchant les grosses articulations des membres inférieurs, urétrite et conjonctivite. Cependant, les formes incomplètes d'arthrite réactionnelle sont fréquentes et peuvent prendre la forme d'une monoarthrite ou d'une oligoarthrite nue. L'évolution des arthrites réactionnelles est marquée par le risque de rechute chez 20 % à 50 % des patients. Les mécanismes physiopathologiques de ces arthrites se caractérisent par l'amplification de la réponse inflammatoire au contact de la bactérie déclenchante. Le rôle exact de la molécule HLA-B27 reste encore imparfaitement compris à ce jour. Plusieurs travaux ont montré la présence et la persistance d'antigènes bactériens au sein des articulations atteintes, soulevant la question de la pertinence d'un traitement par antibiotique. Si ce traitement antibiotique s'avère indispensable dans les infections urogénitales à Chlamydia trachomatis, car donné précocement il permet de prévenir ou de diminuer la survenue de l'arthrite réactionnelle, ce n'est pas le cas pour les arthrites postentéritiques. Le passage à la chronicité de ces arthrites peut justifier d'un traitement de fond, comme la sulfasalazine ou encore les anti-TNF⍺, en cas d'insuffisance des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Note de contenu : Introduction
Définition et épidémiologie
Critères diagnostiques
Diagnostic
Présentation clinique
Examens complémentaires
Diagnostic différentiel et limites nosologiques
Physiopathologie
Relation hôte-bactérie
Réponse immunitaire au cours des ARé
Rôle du HLA-B27
Hypothèses physiopathologiques
Évolution et pronostic
Traitement
Traitement symptomatique
Traitement anti-inflammatoire
Traitement antibiotique
Traitement de fondPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43965
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2009) . - 14-206-A-10 [Tome 4][article] Arthrites réactionnelles [texte imprimé] / C. Hacquard-Bouder ; M. Breban . - 2009 . - 14-206-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2009) . - 14-206-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Arthrite réactionnelle Spondylarthropathie Syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter Oligoarthrite Urétrite HLA-B27 Résumé : Les arthrites réactionnelles sont des arthrites stériles, survenant dans le mois suivant une infection bactérienne d'origine digestive ou urogénitale. Elles sont associées dans 60 % à 80 % des cas à l'allèle HLA-B27 et font partie du groupe des spondylarthropathies. Leur âge moyen de survenue se situe entre 20 et 30 ans. Le diagnostic clinique est aisé en cas de forme complète, réalisant le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter, caractérisé par la triade : oligoarthrite, touchant les grosses articulations des membres inférieurs, urétrite et conjonctivite. Cependant, les formes incomplètes d'arthrite réactionnelle sont fréquentes et peuvent prendre la forme d'une monoarthrite ou d'une oligoarthrite nue. L'évolution des arthrites réactionnelles est marquée par le risque de rechute chez 20 % à 50 % des patients. Les mécanismes physiopathologiques de ces arthrites se caractérisent par l'amplification de la réponse inflammatoire au contact de la bactérie déclenchante. Le rôle exact de la molécule HLA-B27 reste encore imparfaitement compris à ce jour. Plusieurs travaux ont montré la présence et la persistance d'antigènes bactériens au sein des articulations atteintes, soulevant la question de la pertinence d'un traitement par antibiotique. Si ce traitement antibiotique s'avère indispensable dans les infections urogénitales à Chlamydia trachomatis, car donné précocement il permet de prévenir ou de diminuer la survenue de l'arthrite réactionnelle, ce n'est pas le cas pour les arthrites postentéritiques. Le passage à la chronicité de ces arthrites peut justifier d'un traitement de fond, comme la sulfasalazine ou encore les anti-TNF⍺, en cas d'insuffisance des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Note de contenu : Introduction
Définition et épidémiologie
Critères diagnostiques
Diagnostic
Présentation clinique
Examens complémentaires
Diagnostic différentiel et limites nosologiques
Physiopathologie
Relation hôte-bactérie
Réponse immunitaire au cours des ARé
Rôle du HLA-B27
Hypothèses physiopathologiques
Évolution et pronostic
Traitement
Traitement symptomatique
Traitement anti-inflammatoire
Traitement antibiotique
Traitement de fondPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43965 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Spondylarthrite ankylosante / P. Claudepierre in EMC : Appareil locomoteur, (Mai 2009)
[article]
Titre : Spondylarthrite ankylosante Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Claudepierre ; D. Wendling Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-230-A-10 [Tome 4 Langues : Français (fre) Mots-clés : Spondylarthrite ankylosante Spondylarthropathie Diagnostic Pronostic Traitement Anti-TNF-⍺ Résumé : Les avancées thérapeutiques récentes dans le domaine des rhumatismes inflammatoires chroniques imposent de plus en plus la précocité du diagnostic. La spondylarthrite ankylosante n'échappe pas à la règle et le clinicien s'attardera ainsi plus à identifier dans une forme précoce une spondylarthropathie au sens large que la maladie « spondylarthrite » avec sacro-iliite radiologique tardive. Les examens d'imagerie, IRM ou échographie-Doppler en particulier, peuvent être utiles dans cette recherche du diagnostic précoce. La prise en charge thérapeutique adaptée et précoce, peut-être associée à des conditions d'environnement plus favorables qu'il y a quelques décennies, ont manifestement diminué la proportion des formes sévèrement enraidissantes ou destructrices d'un point de vue articulaire périphérique. Le traitement repose toujours avant tout sur les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), utilisés méticuleusement. Mais les formes répondant mal à ces molécules peuvent bénéficier maintenant des traitements anti-TNF-⍺, qui ont fait la preuve de leur grande efficacité dans le contrôle des symptômes et de l'inflammation biologique de la maladie. Plusieurs sociétés savantes, dont la Société française de rhumatologie, ont proposé des règles d'éligibilité à ces traitements ainsi que d'évaluation de leur efficacité. Note de contenu : Spondylarthrite ankylosante : une spondylarthropathie
Épidémiologie
Prévalence
Sex-ratio
Âge de début
Physiopathologie
Physiopathologie : les faits
Lésions
Manifestations rhumatologiques
Syndrome pelvirachidien
Syndrome enthésitique périphérique
Syndrome articulaire périphérique
Manifestations extrarhumatologiques
Atteintes cutanées
Atteinte ophtalmologique
Atteinte cardiaque
Atteinte pulmonaire
Atteinte rénale
Atteinte osseuse
Manifestations digestives
Atteintes neurologiques
Manifestations musculaires
Amylose secondaire de type AA
Œdèmes
Maladies associées
Diagnostic
Examens biologiques
Examens d'imagerie
Diagnostic, en pratique
Conséquences socioéconomiques de la maladie
Conséquences professionnelles et coûts en productivité
Coûts directs de la maladie
Qualité de vie et coûts intangibles
Prise en charge du patient
Diagnostic précoce
Suivi de la maladie
Pronostic
Formes cliniques
Formes juvéniles
Formes du sujet âgé
Formes féminines
Formes post-traumatiques
Traitement
Outils de la prise en charge thérapeutique
Stratégie thérapeutique globalePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43988
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2009) . - 14-230-A-10 [Tome 4[article] Spondylarthrite ankylosante [texte imprimé] / P. Claudepierre ; D. Wendling . - 2009 . - 14-230-A-10 [Tome 4.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mai 2009) . - 14-230-A-10 [Tome 4
Mots-clés : Spondylarthrite ankylosante Spondylarthropathie Diagnostic Pronostic Traitement Anti-TNF-⍺ Résumé : Les avancées thérapeutiques récentes dans le domaine des rhumatismes inflammatoires chroniques imposent de plus en plus la précocité du diagnostic. La spondylarthrite ankylosante n'échappe pas à la règle et le clinicien s'attardera ainsi plus à identifier dans une forme précoce une spondylarthropathie au sens large que la maladie « spondylarthrite » avec sacro-iliite radiologique tardive. Les examens d'imagerie, IRM ou échographie-Doppler en particulier, peuvent être utiles dans cette recherche du diagnostic précoce. La prise en charge thérapeutique adaptée et précoce, peut-être associée à des conditions d'environnement plus favorables qu'il y a quelques décennies, ont manifestement diminué la proportion des formes sévèrement enraidissantes ou destructrices d'un point de vue articulaire périphérique. Le traitement repose toujours avant tout sur les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), utilisés méticuleusement. Mais les formes répondant mal à ces molécules peuvent bénéficier maintenant des traitements anti-TNF-⍺, qui ont fait la preuve de leur grande efficacité dans le contrôle des symptômes et de l'inflammation biologique de la maladie. Plusieurs sociétés savantes, dont la Société française de rhumatologie, ont proposé des règles d'éligibilité à ces traitements ainsi que d'évaluation de leur efficacité. Note de contenu : Spondylarthrite ankylosante : une spondylarthropathie
Épidémiologie
Prévalence
Sex-ratio
Âge de début
Physiopathologie
Physiopathologie : les faits
Lésions
Manifestations rhumatologiques
Syndrome pelvirachidien
Syndrome enthésitique périphérique
Syndrome articulaire périphérique
Manifestations extrarhumatologiques
Atteintes cutanées
Atteinte ophtalmologique
Atteinte cardiaque
Atteinte pulmonaire
Atteinte rénale
Atteinte osseuse
Manifestations digestives
Atteintes neurologiques
Manifestations musculaires
Amylose secondaire de type AA
Œdèmes
Maladies associées
Diagnostic
Examens biologiques
Examens d'imagerie
Diagnostic, en pratique
Conséquences socioéconomiques de la maladie
Conséquences professionnelles et coûts en productivité
Coûts directs de la maladie
Qualité de vie et coûts intangibles
Prise en charge du patient
Diagnostic précoce
Suivi de la maladie
Pronostic
Formes cliniques
Formes juvéniles
Formes du sujet âgé
Formes féminines
Formes post-traumatiques
Traitement
Outils de la prise en charge thérapeutique
Stratégie thérapeutique globalePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43988 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire