[article] 
inKinésithérapie scientifique > 658 (novembre 2023) . - p.1

Titre :	Pour une vision simplexe de la douleur : forces et limites de la clinique pratique et scientifique
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Thomas Osinski
Année de publication :	2023
Article en page(s) :	p.1
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Douleurs
Résumé :	La douleur est fréquente en rééducation, qu'elle soit un motif de consultation à résoudre ou quelque chose à éviter ou prévenir dans le soin. La perception douloureuse, par son caractère aversif, permet d’agir afin de tenter de résoudre une situation présentant la potentialité d’une altération d’une fonction du corps. Dans une vision simplexe du fonctionnement de l’organisme, l’on peut considérer que la perception douloureuse a comme fonction simple de mobiliser la conscience afin d’éviter une situation à risque pour une partie du corps(1). Les mécanismes neuroscientifiques qui sous-tendent cette perception sont complexes au sens qu’ils impliquent plusieurs systèmes qui inter­agissent entre eux. C’est cette intrication entre une tâche simple et des mécanismes complexes de réalisation de cette tâche qui évoque le fait que la perception douloureuse soit un phénomène simplexe
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=114171

[article] Pour une vision simplexe de la douleur : forces et limites de la clinique pratique et scientifique [texte imprimé] / Thomas Osinski . - 2023 . - p.1.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 658 (novembre 2023) . - p.1

Mots-clés :	Douleurs
Résumé :	La douleur est fréquente en rééducation, qu'elle soit un motif de consultation à résoudre ou quelque chose à éviter ou prévenir dans le soin. La perception douloureuse, par son caractère aversif, permet d’agir afin de tenter de résoudre une situation présentant la potentialité d’une altération d’une fonction du corps. Dans une vision simplexe du fonctionnement de l’organisme, l’on peut considérer que la perception douloureuse a comme fonction simple de mobiliser la conscience afin d’éviter une situation à risque pour une partie du corps(1). Les mécanismes neuroscientifiques qui sous-tendent cette perception sont complexes au sens qu’ils impliquent plusieurs systèmes qui inter­agissent entre eux. C’est cette intrication entre une tâche simple et des mécanismes complexes de réalisation de cette tâche qui évoque le fait que la perception douloureuse soit un phénomène simplexe
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