Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Août 2009
Paru le : 12/08/2009 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierÉlectroneuromyographie et potentiels évoqués dans les pathologies de l'appareil locomoteur / P. Boulu in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2009)
[article]
Titre : Électroneuromyographie et potentiels évoqués dans les pathologies de l'appareil locomoteur Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Boulu Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-001-R-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Électroneuromyographie Électromyographie Potentiels évoqués somesthésiques Potentiels évoqués moteurs Traumatismes des nerfs Syndromes canalaires Radiculopathies Myélopathies Potentiels évoqués peropératoires Résumé : L'électroneuromyographie et les potentiels évoqués somesthésiques et moteurs sont les seuls examens analysant le fonctionnement neuromusculaire. Ils sont indiqués dans les affections caractérisées par des symptômes de déficit moteur, douleurs ou paresthésies. Les données doivent être interprétées en fonction de la clinique et de l'imagerie. L'électroneuromyographie étudie les racines, les nerfs périphériques et les muscles. Les potentiels évoqués somesthésiques et moteurs évaluent les conductions radiculaires et médullaires. L'électrophysiologie permet de distinguer une atteinte neurogène d'une atteinte myogène, de localiser le processus lésionnel (nerf périphérique, plexus, racine, moelle) et d'en apprécier la gravité (suivi évolutif et pronostic des traumatismes nerveux et des syndromes canalaires, indication chirurgicale éventuelle, persistance d'une pathologie active ou existence de séquelles). Les potentiels évoqués peropératoires assurent le monitoring médullaire dans la chirurgie rachidienne. Note de contenu : Introduction
Principes et interprétation des techniques électrophysiologiques
Électroneuromyographie
Potentiels évoqués somesthésiques et moteurs
Applications aux principales pathologies neurologiques de l'appareil locomoteur
Classification électrophysiologique des principales pathologies neurologiques de l'appareil locomoteur
Traumatismes aigus des nerfs périphériques
Atteintes radiculaires et plexiques
Atteintes tronculaires des membres
Neuropathies généralisées : polyneuropathies et mononeuropathies multiples
Myopathies et atteintes de la jonction neuromusculaire
Autres affections et symptômes rhumatologiques
Myélopathies
Potentiels évoqués peropératoires
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43649
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-001-R-10 [Tome 1][article] Électroneuromyographie et potentiels évoqués dans les pathologies de l'appareil locomoteur [texte imprimé] / P. Boulu . - 2009 . - 14-001-R-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-001-R-10 [Tome 1]
Mots-clés : Électroneuromyographie Électromyographie Potentiels évoqués somesthésiques Potentiels évoqués moteurs Traumatismes des nerfs Syndromes canalaires Radiculopathies Myélopathies Potentiels évoqués peropératoires Résumé : L'électroneuromyographie et les potentiels évoqués somesthésiques et moteurs sont les seuls examens analysant le fonctionnement neuromusculaire. Ils sont indiqués dans les affections caractérisées par des symptômes de déficit moteur, douleurs ou paresthésies. Les données doivent être interprétées en fonction de la clinique et de l'imagerie. L'électroneuromyographie étudie les racines, les nerfs périphériques et les muscles. Les potentiels évoqués somesthésiques et moteurs évaluent les conductions radiculaires et médullaires. L'électrophysiologie permet de distinguer une atteinte neurogène d'une atteinte myogène, de localiser le processus lésionnel (nerf périphérique, plexus, racine, moelle) et d'en apprécier la gravité (suivi évolutif et pronostic des traumatismes nerveux et des syndromes canalaires, indication chirurgicale éventuelle, persistance d'une pathologie active ou existence de séquelles). Les potentiels évoqués peropératoires assurent le monitoring médullaire dans la chirurgie rachidienne. Note de contenu : Introduction
Principes et interprétation des techniques électrophysiologiques
Électroneuromyographie
Potentiels évoqués somesthésiques et moteurs
Applications aux principales pathologies neurologiques de l'appareil locomoteur
Classification électrophysiologique des principales pathologies neurologiques de l'appareil locomoteur
Traumatismes aigus des nerfs périphériques
Atteintes radiculaires et plexiques
Atteintes tronculaires des membres
Neuropathies généralisées : polyneuropathies et mononeuropathies multiples
Myopathies et atteintes de la jonction neuromusculaire
Autres affections et symptômes rhumatologiques
Myélopathies
Potentiels évoqués peropératoires
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43649 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Hypercalcémie de l'adulte / M.-H. Vieillard in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2009)
[article]
Titre : Hypercalcémie de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : M.-H. Vieillard ; I. Gerot-Legroux ; B. Cortet Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-002-E-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypercalcémie Hyperparathyroïdie Traitement de l'hypercalcémie Hypercalcémie maligne Parathyroid hormone-related protein Parathormone Biphosphonates Résumé : La régulation de la calcémie dépend principalement de trois organes : le rein, le tissu osseux et l'intestin, et de deux hormones, la parathormone et la vitamine D. Les trois grands mécanismes responsables d'une hypercalcémie sont la libération massive du calcium par le tissu osseux, la diminution de son excrétion rénale et l'augmentation de l'absorption digestive du calcium. L'hypercalcémie d'origine tumorale maligne et l'hyperparathyroïdie primitive sont les causes les plus fréquentes d'hypercalcémie de l'adulte et sont à rechercher systématiquement après avoir éliminé les causes de fausses hypercalcémies. Le traitement de l'hypercalcémie repose principalement sur l'hydratation avec apport sodé et l'utilisation des biphosphonates, ainsi que sur le traitement étiologique, lorsque celui-ci est accessible. Ce traitement s'impose en urgence devant une hypercalcémie symptomatique et/ou un taux de calcium sérique supérieur à 120 mg/l. Note de contenu : Introduction
Différents acteurs de la régulation physiologique de la calcémie
Mécanismes à l'origine d'une hypercalcémie
Excès de libération du calcium par le tissu osseux
Diminution de l'excrétion urinaire de calcium
Augmentation de l'absorption digestive du calcium
Diagnostic positif d'une hypercalcémie
Diagnostic biologique
Diagnostic clinique
Diagnostic étiologique
Hypercalcémie d'origine tumorale maligne
Hyperparathyroïdie primitive
Hypercalcémie hypocalciurie familiale
Autres causes bénignes d'hypercalcémie
Traitement des hypercalcémies
Mesures à réaliser en urgence en présence d'une hypercalcémie sévère : calcémie corrigée 120 mg/l, soit 3 mmol ou présence de symptômes cliniques
Traitement au long cours des hypercalcémies
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43654
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-002-E-10 [Tome 1][article] Hypercalcémie de l'adulte [texte imprimé] / M.-H. Vieillard ; I. Gerot-Legroux ; B. Cortet . - 2009 . - 14-002-E-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-002-E-10 [Tome 1]
Mots-clés : Hypercalcémie Hyperparathyroïdie Traitement de l'hypercalcémie Hypercalcémie maligne Parathyroid hormone-related protein Parathormone Biphosphonates Résumé : La régulation de la calcémie dépend principalement de trois organes : le rein, le tissu osseux et l'intestin, et de deux hormones, la parathormone et la vitamine D. Les trois grands mécanismes responsables d'une hypercalcémie sont la libération massive du calcium par le tissu osseux, la diminution de son excrétion rénale et l'augmentation de l'absorption digestive du calcium. L'hypercalcémie d'origine tumorale maligne et l'hyperparathyroïdie primitive sont les causes les plus fréquentes d'hypercalcémie de l'adulte et sont à rechercher systématiquement après avoir éliminé les causes de fausses hypercalcémies. Le traitement de l'hypercalcémie repose principalement sur l'hydratation avec apport sodé et l'utilisation des biphosphonates, ainsi que sur le traitement étiologique, lorsque celui-ci est accessible. Ce traitement s'impose en urgence devant une hypercalcémie symptomatique et/ou un taux de calcium sérique supérieur à 120 mg/l. Note de contenu : Introduction
Différents acteurs de la régulation physiologique de la calcémie
Mécanismes à l'origine d'une hypercalcémie
Excès de libération du calcium par le tissu osseux
Diminution de l'excrétion urinaire de calcium
Augmentation de l'absorption digestive du calcium
Diagnostic positif d'une hypercalcémie
Diagnostic biologique
Diagnostic clinique
Diagnostic étiologique
Hypercalcémie d'origine tumorale maligne
Hyperparathyroïdie primitive
Hypercalcémie hypocalciurie familiale
Autres causes bénignes d'hypercalcémie
Traitement des hypercalcémies
Mesures à réaliser en urgence en présence d'une hypercalcémie sévère : calcémie corrigée 120 mg/l, soit 3 mmol ou présence de symptômes cliniques
Traitement au long cours des hypercalcémies
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43654 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Manifestations osseuses des parasitoses / M. Zlitni in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2009)
[article]
Titre : Manifestations osseuses des parasitoses Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Zlitni ; K. Ezzaouia ; R. Bouzidi Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-021-B-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Echinococcus granulosus Échinococcose osseuse Hydatidose osseuse Kyste hydatique Echinococcus multilocularis Leishmaniose Résumé : Les parasitoses osseuses sont rares et dominées par l'échinococcose osseuse qui est due à Echinococcus granulosus. L'échinococcose alvéolaire et la leishmaniose osseuse sont exceptionnelles. L'échinococcose osseuse est grevée d'une morbidité et d'une mortalité importantes notamment pour les localisations rachidiennes et pelviennes qui sont les plus fréquentes. La longue latence clinique et l'absence de spécificité symptomatique sont la cause du retard diagnostique. Au rachis, la maladie est souvent découverte au stade de complications neurologiques. Au bassin, le diagnostic est souvent tardif avec une lésion grave de l'un ou des deux carrefours coxofémoral et sacro-iliaque. Sur le plan de l'imagerie, la radiographie standard permet de suspecter le diagnostic devant des images lacunaires, aréolaires séparées de cloisons irrégulières avec absence de réaction périostée. L'imagerie par résonance magnétique affirme le diagnostic, objective l'abcès hydatique qui a un signal liquidien typique et évalue l'extension locorégionale. La biologie est peu contributive au diagnostic. Sur le plan thérapeutique, la seule méthode curative reste la chirurgie qui doit viser l'excision complète et large des lésions comme s'il s'agissait d'une « tumeur maligne ». L'éradication complète des lésions hydatiques reste difficile, le chirurgien étant guidé dans son geste par l'apparence macroscopique de la lésion alors que l'os est infiltré de microvésicules sans délimitation nette. Actuellement il est recommandé d'encadrer cette chirurgie par un traitement médical à base d'albendazole selon un protocole défini par l'Organisation mondiale de la santé. Malgré son aspect péjoratif, l'échinococcose osseuse diagnostiquée précocement et traitée rapidement peut donner lieu à des rémissions de longue durée, voire des guérisons notamment dans les formes localisées. Note de contenu : Généralités. Épidémiologie
Parasitologie
Pathogénie
Anatomie pathologique
Étude clinique
Imagerie
Radiographie standard
Échographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Biologie
Formes topographiques
Échinococcose vertébrale
Échinococcose pelvienne
Échinococcose des os longs
Autres localisations
Forme de l'enfant
Diagnostic
Diagnostic positif
Diagnostic différentiel
Traitement
Traitement chirurgical
Traitement médical
Autres parasitoses
Échinococcose alvéolaire
Leishmanioses osseuses
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43686
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-021-B-10 [Tome 1][article] Manifestations osseuses des parasitoses [texte imprimé] / M. Zlitni ; K. Ezzaouia ; R. Bouzidi . - 2009 . - 14-021-B-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-021-B-10 [Tome 1]
Mots-clés : Echinococcus granulosus Échinococcose osseuse Hydatidose osseuse Kyste hydatique Echinococcus multilocularis Leishmaniose Résumé : Les parasitoses osseuses sont rares et dominées par l'échinococcose osseuse qui est due à Echinococcus granulosus. L'échinococcose alvéolaire et la leishmaniose osseuse sont exceptionnelles. L'échinococcose osseuse est grevée d'une morbidité et d'une mortalité importantes notamment pour les localisations rachidiennes et pelviennes qui sont les plus fréquentes. La longue latence clinique et l'absence de spécificité symptomatique sont la cause du retard diagnostique. Au rachis, la maladie est souvent découverte au stade de complications neurologiques. Au bassin, le diagnostic est souvent tardif avec une lésion grave de l'un ou des deux carrefours coxofémoral et sacro-iliaque. Sur le plan de l'imagerie, la radiographie standard permet de suspecter le diagnostic devant des images lacunaires, aréolaires séparées de cloisons irrégulières avec absence de réaction périostée. L'imagerie par résonance magnétique affirme le diagnostic, objective l'abcès hydatique qui a un signal liquidien typique et évalue l'extension locorégionale. La biologie est peu contributive au diagnostic. Sur le plan thérapeutique, la seule méthode curative reste la chirurgie qui doit viser l'excision complète et large des lésions comme s'il s'agissait d'une « tumeur maligne ». L'éradication complète des lésions hydatiques reste difficile, le chirurgien étant guidé dans son geste par l'apparence macroscopique de la lésion alors que l'os est infiltré de microvésicules sans délimitation nette. Actuellement il est recommandé d'encadrer cette chirurgie par un traitement médical à base d'albendazole selon un protocole défini par l'Organisation mondiale de la santé. Malgré son aspect péjoratif, l'échinococcose osseuse diagnostiquée précocement et traitée rapidement peut donner lieu à des rémissions de longue durée, voire des guérisons notamment dans les formes localisées. Note de contenu : Généralités. Épidémiologie
Parasitologie
Pathogénie
Anatomie pathologique
Étude clinique
Imagerie
Radiographie standard
Échographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Biologie
Formes topographiques
Échinococcose vertébrale
Échinococcose pelvienne
Échinococcose des os longs
Autres localisations
Forme de l'enfant
Diagnostic
Diagnostic positif
Diagnostic différentiel
Traitement
Traitement chirurgical
Traitement médical
Autres parasitoses
Échinococcose alvéolaire
Leishmanioses osseuses
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43686 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Hallux valgus : définition, physiopathologie, études clinique et radiographique, principes du traitement / O. Laffenêtre in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2009)
[article]
Titre : Hallux valgus : définition, physiopathologie, études clinique et radiographique, principes du traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Laffenêtre ; G. Solofomalala ; C. de Lavigne Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-126-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Avant-pied Trouble statique Traitement chirurgical Traitement conservateur Résumé : L'hallux valgus est, depuis plus d'un siècle et demi, l'une des déformations ostéoarticulaires ayant le plus stimulé l'intérêt des médecins et des chirurgiens qui se sont intéressés non seulement à son traitement mais également à son évaluation radiologique. Il se définit comme la déviation exagérée du gros orteil latéralement. Il est associé à une proéminence de la tête du premier métatarsien, gênante dans la chaussure et une inflammation chronique de la bourse séreuse réactionnelle. Il est la conséquence d'un trouble morphostatique, aggravé par le terrain et les conditions de chaussage occidental. Son traitement curatif est uniquement chirurgical et l'histoire de la chirurgie correctrice de l'hallux valgus est jalonnée de nombreuses descriptions de techniques opératoires et variantes qui se nombrent actuellement à plus de 150 procédures. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie
Rappels anatomiques
Anatomopathologie
Étude clinique
Étude radiologique
Formes radiocliniques
Hallux valgus juvénile ou congénital de la jeune femme
Hallux valgus de l'homme
Hallux valgus sur avant-pied triangulaire
Hallux valgus sur pied laxe avec valgus de l'arrière-pied
Hallux valgus majeur du sujet âgé
Traitement
Traitement médical
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43957
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-126-A-10 [Tome 4][article] Hallux valgus : définition, physiopathologie, études clinique et radiographique, principes du traitement [texte imprimé] / O. Laffenêtre ; G. Solofomalala ; C. de Lavigne . - 2009 . - 14-126-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-126-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Avant-pied Trouble statique Traitement chirurgical Traitement conservateur Résumé : L'hallux valgus est, depuis plus d'un siècle et demi, l'une des déformations ostéoarticulaires ayant le plus stimulé l'intérêt des médecins et des chirurgiens qui se sont intéressés non seulement à son traitement mais également à son évaluation radiologique. Il se définit comme la déviation exagérée du gros orteil latéralement. Il est associé à une proéminence de la tête du premier métatarsien, gênante dans la chaussure et une inflammation chronique de la bourse séreuse réactionnelle. Il est la conséquence d'un trouble morphostatique, aggravé par le terrain et les conditions de chaussage occidental. Son traitement curatif est uniquement chirurgical et l'histoire de la chirurgie correctrice de l'hallux valgus est jalonnée de nombreuses descriptions de techniques opératoires et variantes qui se nombrent actuellement à plus de 150 procédures. Note de contenu : Introduction
Épidémiologie
Rappels anatomiques
Anatomopathologie
Étude clinique
Étude radiologique
Formes radiocliniques
Hallux valgus juvénile ou congénital de la jeune femme
Hallux valgus de l'homme
Hallux valgus sur avant-pied triangulaire
Hallux valgus sur pied laxe avec valgus de l'arrière-pied
Hallux valgus majeur du sujet âgé
Traitement
Traitement médical
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43957 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Complications ostéoarticulaires des hémodialysés (hors ostéodystrophie rénale) / R.-M. Javier in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2009)
[article]
Titre : Complications ostéoarticulaires des hémodialysés (hors ostéodystrophie rénale) Type de document : texte imprimé Auteurs : R.-M. Javier, Auteur ; B. Moulin, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-276-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémodialyse Arthralgies Arthropathies du dialysé Amylose β 2-microglobulinique Calcinose pseudotumorale Tumeurs brunes Résumé : Les complications musculosquelettiques, principalement des douleurs ostéoarticulaires, sont à l'origine d'une modification de la qualité de vie chez les patients en insuffisance rénale chronique terminale. Ces douleurs ostéoarticulaires sévères ont souvent un impact sur les différents aspects de la vie quotidienne et une association avec la dépression et l'insomnie. Les complications ostéoarticulaires liées à des dépôts (amylose β2-microglobulinique et apatite) prédominent et sont parfois intriquées entre elles ainsi qu'avec les pathologies ostéoarticulaires préexistant en particulier chez les sujets âgés. L'amylose β2-microglobulinique associe un canal carpien bilatéral récidivant, des spondylarthropathies destructrices et des arthropathies destructrices des grosses articulations sans pincement de l'interligne mais avec volumineuses géodes osseuses juxta-articulaires. Une atteinte des gaines tendineuses, en particulier aux mains, est fréquemment associée avec un handicap pour la fonction des mains. Les dépôts périarticulaires de cristaux de phosphate de calcium ou apatite sont souvent observés radiologiquement mais c'est la forme massive ou calcinose pseudotumorale qui occasionne les principales complications liées au volume de la tumeur (compression nerveuse, compression vasculaire) ou à des phénomènes inflammatoires locaux (fistulisation cutanée, rupture tendineuse). Les possibilités thérapeutiques sont restreintes et la prévention est à privilégier (limitation de la durée d'insuffisance rénale terminale par une transplantation rénale, lorsqu'elle est possible, puisqu'elle prévient les nouveaux dépôts avec une stabilité, voire une diminution des dépôts). Note de contenu : Généralités
Arthropathies destructrices
Arthropathies destructrices par dépôts β2-microglobuliniques
Arthropathies destructrices non liées à des dépôts β2-microglobuliniques
Arthropathies microcristallines
Arthropathies à dépôts d'apatite
Autres arthropathies microcristallines
Douleurs articulaires ou para-articulaires liées aux tumeurs brunes
Divers
Douleurs ostéoarticulaires diffuses liées à la dialyse
Pathologie tendineuse
Ostéonécroses aseptiques
Infections
Faiblesse musculaire - Crampes
Arthrose et dialyse
Autres
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44007
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-276-A-10 [Tome 5][article] Complications ostéoarticulaires des hémodialysés (hors ostéodystrophie rénale) [texte imprimé] / R.-M. Javier, Auteur ; B. Moulin, Auteur . - 2009 . - 14-276-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-276-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Hémodialyse Arthralgies Arthropathies du dialysé Amylose β 2-microglobulinique Calcinose pseudotumorale Tumeurs brunes Résumé : Les complications musculosquelettiques, principalement des douleurs ostéoarticulaires, sont à l'origine d'une modification de la qualité de vie chez les patients en insuffisance rénale chronique terminale. Ces douleurs ostéoarticulaires sévères ont souvent un impact sur les différents aspects de la vie quotidienne et une association avec la dépression et l'insomnie. Les complications ostéoarticulaires liées à des dépôts (amylose β2-microglobulinique et apatite) prédominent et sont parfois intriquées entre elles ainsi qu'avec les pathologies ostéoarticulaires préexistant en particulier chez les sujets âgés. L'amylose β2-microglobulinique associe un canal carpien bilatéral récidivant, des spondylarthropathies destructrices et des arthropathies destructrices des grosses articulations sans pincement de l'interligne mais avec volumineuses géodes osseuses juxta-articulaires. Une atteinte des gaines tendineuses, en particulier aux mains, est fréquemment associée avec un handicap pour la fonction des mains. Les dépôts périarticulaires de cristaux de phosphate de calcium ou apatite sont souvent observés radiologiquement mais c'est la forme massive ou calcinose pseudotumorale qui occasionne les principales complications liées au volume de la tumeur (compression nerveuse, compression vasculaire) ou à des phénomènes inflammatoires locaux (fistulisation cutanée, rupture tendineuse). Les possibilités thérapeutiques sont restreintes et la prévention est à privilégier (limitation de la durée d'insuffisance rénale terminale par une transplantation rénale, lorsqu'elle est possible, puisqu'elle prévient les nouveaux dépôts avec une stabilité, voire une diminution des dépôts). Note de contenu : Généralités
Arthropathies destructrices
Arthropathies destructrices par dépôts β2-microglobuliniques
Arthropathies destructrices non liées à des dépôts β2-microglobuliniques
Arthropathies microcristallines
Arthropathies à dépôts d'apatite
Autres arthropathies microcristallines
Douleurs articulaires ou para-articulaires liées aux tumeurs brunes
Divers
Douleurs ostéoarticulaires diffuses liées à la dialyse
Pathologie tendineuse
Ostéonécroses aseptiques
Infections
Faiblesse musculaire - Crampes
Arthrose et dialyse
Autres
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Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Coxarthrose et coxopathies de l'adulte. Diagnostic et traitement / M. Lequesne in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2009)
[article]
Titre : Coxarthrose et coxopathies de l'adulte. Diagnostic et traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Lequesne, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : 14-308-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hanche Arthrose Nécrose Synovite Dysmorphies Conflit antérieur Tendinobursite trochantérienne Résumé : Dans cet article sont décrites, non seulement les coxopathies proprement dites : coxarthrose, coxites, etc., mais aussi les dysmorphies et ostéopathies qui s'expriment souvent comme une coxopathie chronique. Un rappel sémiologique résume l'interrogatoire, l'examen physique, les choix d'imagerie et les outils d'évaluation fonctionnelle. Les principales difficultés concernent les formes atypiques et les acquisitions récentes telles que le conflit antérieur fémoroacétabulaire (CAFA) ou, au diagnostic différentiel, la tendinobursite trochantérienne avec possible rupture des tendons de la « coiffe de hanche ». La notion de facteurs de risque remplace celle de causes, ce qui ouvre aux pathologies multifactorielles à incidence thérapeutique éventuelle. Le diagnostic différentiel comporte les affections périarticulaires, mais aussi deux conditions souvent méconnues : la douleur « de hanche » d'origine lombaire, d'une part, et la douleur « de hanche » d'origine artérielle, d'autre part. Les erreurs de choix d'imagerie sont soulignées. On voit trop de coxarthroses débutantes méconnues faute de radiographies de face et de faux profil comparatif. L'imagerie par résonance magnétique (IRM), le scanner ou l'arthroscanner sont des recours de seconde intention, à choisir selon la ou les hypothèse(s) clinicoétiologique(s) majoritaire(s). Note de contenu : Introduction
Étapes de l'examen et choix d'imagerie
Interrogatoire
Examen physique
Évaluation de la douleur et du déficit fonctionnel
Coxarthrose
Forme typique
Formes débutantes et atypiques
Facteurs de risque
Évolution. Facteurs pronostiques
Traitement
Conflit antérieur fémoroacétabulaire et dysmorphies causales
Anatomie des dysmorphies osseuses responsables et mécanisme
Épidémiologie et clinique
Imagerie
Traitement
Nécrose de la tête fémorale
Diagnostic positif
Diagnostic différentiel
Diagnostic étiologique
Pronostic
Traitement
Arthrites infectieuses et inflammatoires
Coxites à pyogènes
Coxite tuberculeuse
Coxite inflammatoire
Synoviopathies et capsulopathies
chondromatose synoviale de la hanche
Synovite villonodulaire hémopigmentée
Rétraction capsulaire
Arthropathies métaboliques de la hanche
Coxopathies de la chondrocalcinose articulaire
Coxopathie de l'hémochromatose
Autres coxopathies métaboliques
Ostéopathies épiphysaires à expression articulaire
Fractures de contrainte de la tête fémorale et du cotyle
Géodes « isolées » non arthrosiques de la tête fémorale et du cotyle
Autres ostéopathies épiphysaires
Entités diverses d'autonomie discutée
Ostéoporose transitoire de la tête fémorale
Lésions du bourrelet . Formes « isolées » ?
Hanche hyperostosique
Diagnostic différentiel
Tendinobursite trochantérienne et rupture de la coiffe de la hanche
Autres bursites et tendinopathies. Hernies
Fractures de contrainte extraépiphysaires
Douleurs « de hanche » d'origine lombaire
Douleurs « de hanche » d'origine artérielle
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44018
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-308-A-10 [Tome 5][article] Coxarthrose et coxopathies de l'adulte. Diagnostic et traitement [texte imprimé] / M. Lequesne, Auteur . - 2009 . - 14-308-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2009) . - 14-308-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Hanche Arthrose Nécrose Synovite Dysmorphies Conflit antérieur Tendinobursite trochantérienne Résumé : Dans cet article sont décrites, non seulement les coxopathies proprement dites : coxarthrose, coxites, etc., mais aussi les dysmorphies et ostéopathies qui s'expriment souvent comme une coxopathie chronique. Un rappel sémiologique résume l'interrogatoire, l'examen physique, les choix d'imagerie et les outils d'évaluation fonctionnelle. Les principales difficultés concernent les formes atypiques et les acquisitions récentes telles que le conflit antérieur fémoroacétabulaire (CAFA) ou, au diagnostic différentiel, la tendinobursite trochantérienne avec possible rupture des tendons de la « coiffe de hanche ». La notion de facteurs de risque remplace celle de causes, ce qui ouvre aux pathologies multifactorielles à incidence thérapeutique éventuelle. Le diagnostic différentiel comporte les affections périarticulaires, mais aussi deux conditions souvent méconnues : la douleur « de hanche » d'origine lombaire, d'une part, et la douleur « de hanche » d'origine artérielle, d'autre part. Les erreurs de choix d'imagerie sont soulignées. On voit trop de coxarthroses débutantes méconnues faute de radiographies de face et de faux profil comparatif. L'imagerie par résonance magnétique (IRM), le scanner ou l'arthroscanner sont des recours de seconde intention, à choisir selon la ou les hypothèse(s) clinicoétiologique(s) majoritaire(s). Note de contenu : Introduction
Étapes de l'examen et choix d'imagerie
Interrogatoire
Examen physique
Évaluation de la douleur et du déficit fonctionnel
Coxarthrose
Forme typique
Formes débutantes et atypiques
Facteurs de risque
Évolution. Facteurs pronostiques
Traitement
Conflit antérieur fémoroacétabulaire et dysmorphies causales
Anatomie des dysmorphies osseuses responsables et mécanisme
Épidémiologie et clinique
Imagerie
Traitement
Nécrose de la tête fémorale
Diagnostic positif
Diagnostic différentiel
Diagnostic étiologique
Pronostic
Traitement
Arthrites infectieuses et inflammatoires
Coxites à pyogènes
Coxite tuberculeuse
Coxite inflammatoire
Synoviopathies et capsulopathies
chondromatose synoviale de la hanche
Synovite villonodulaire hémopigmentée
Rétraction capsulaire
Arthropathies métaboliques de la hanche
Coxopathies de la chondrocalcinose articulaire
Coxopathie de l'hémochromatose
Autres coxopathies métaboliques
Ostéopathies épiphysaires à expression articulaire
Fractures de contrainte de la tête fémorale et du cotyle
Géodes « isolées » non arthrosiques de la tête fémorale et du cotyle
Autres ostéopathies épiphysaires
Entités diverses d'autonomie discutée
Ostéoporose transitoire de la tête fémorale
Lésions du bourrelet . Formes « isolées » ?
Hanche hyperostosique
Diagnostic différentiel
Tendinobursite trochantérienne et rupture de la coiffe de la hanche
Autres bursites et tendinopathies. Hernies
Fractures de contrainte extraépiphysaires
Douleurs « de hanche » d'origine lombaire
Douleurs « de hanche » d'origine artérielle
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