Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Janvier 2010
Paru le : 01/01/2010 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierArthroscopie (poignet excepté) / B. Galaud in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Arthroscopie (poignet excepté) Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Galaud ; L.-G. Rousseau ; B. Locker Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-001-P-10 [Tome 1] Note générale : Archivé en décembre 2017. Langues : Français (fre) Mots-clés : arthroscopie du genou arthroscopie de l'épaule arthroscopie de la hanche arthroscopie de la cheville Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43646
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-001-P-10 [Tome 1][article] Arthroscopie (poignet excepté) [texte imprimé] / B. Galaud ; L.-G. Rousseau ; B. Locker . - 2010 . - 14-001-P-10 [Tome 1].
Archivé en décembre 2017.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-001-P-10 [Tome 1]
Mots-clés : arthroscopie du genou arthroscopie de l'épaule arthroscopie de la hanche arthroscopie de la cheville Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43646 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Anatomie, histologie et physiologie du nerf périphérique / G. Wavreille in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Anatomie, histologie et physiologie du nerf périphérique Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Wavreille ; Marc Baroncini ; C. Fontaine Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-005-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : nerf anatomie du nerf physiologie du nerf électrophysiologie du nerf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43660
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-005-A-10 [Tome 1][article] Anatomie, histologie et physiologie du nerf périphérique [texte imprimé] / G. Wavreille ; Marc Baroncini ; C. Fontaine . - 2010 . - 14-005-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-005-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : nerf anatomie du nerf physiologie du nerf électrophysiologie du nerf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43660 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Luxations carpométacarpiennes / M. Ebelin in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Luxations carpométacarpiennes Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Ebelin ; M. Soubeyrand ; R. Idrissi Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-046-D-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Luxations carpométacarpiennes Luxation trapézométacarpienne Résumé : Les luxations carpométacarpiennes sont rares, notamment aux quatre doigts longs, et font suite à des traumatismes en règle violents du sujet jeune. Elles engagent le pronostic fonctionnel de la main, surtout pour la colonne du pouce où la mobilité carpométacarpienne est sollicitée quelle que soit la prise. La luxation traumatique trapézométacarpienne est le plus souvent postéroexterne. Son diagnostic, évoqué devant le type de traumatisme, l'impotence et la déformation du pouce, est confirmé par l'examen radiologique. À l'origine d'instabilité de la première colonne, elle est potentiellement génératrice de rhizarthrose. Le traitement d'une luxation fraîche est controversé entre le traitement orthopédique, la réparation chirurgicale et la Iigamentoplastie d'emblée, qui devient à terme incontournable dans les instabilités anciennes non arthrosiques. Pour les quatre doigts longs, on distingue les luxations spatulaires isolées, partielles et complètes où les lésions associées de type fracture-arrachement sont fréquentes. Dans les formes récentes, le diagnostic est le plus souvent radiographique et le traitement en urgence vise à réduire la luxation et à la stabiliser, au besoin par voie sanglante. Dans les formes anciennes symptomatiques, l'arthrodèse carpométacarpienne est la seule solution, sauf pour le cinquième rayon où des interventions de résection arthroplastique ou d'arthroplastie stabilisée ont été proposées pour préserver sa mobilité. Note de contenu : Introduction
Luxation trapézométacarpienne
Anatomie
Physiopathologie et classification
Formes récentes
Formes anciennes
Luxations carpométacarpiennes des doigts longs
Anatomie
Physiopathologie et classification
Formes récentes
Formes anciennes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43921
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-046-D-10 [Tome 3][article] Luxations carpométacarpiennes [texte imprimé] / M. Ebelin ; M. Soubeyrand ; R. Idrissi . - 2010 . - 14-046-D-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-046-D-10 [Tome 3]
Mots-clés : Luxations carpométacarpiennes Luxation trapézométacarpienne Résumé : Les luxations carpométacarpiennes sont rares, notamment aux quatre doigts longs, et font suite à des traumatismes en règle violents du sujet jeune. Elles engagent le pronostic fonctionnel de la main, surtout pour la colonne du pouce où la mobilité carpométacarpienne est sollicitée quelle que soit la prise. La luxation traumatique trapézométacarpienne est le plus souvent postéroexterne. Son diagnostic, évoqué devant le type de traumatisme, l'impotence et la déformation du pouce, est confirmé par l'examen radiologique. À l'origine d'instabilité de la première colonne, elle est potentiellement génératrice de rhizarthrose. Le traitement d'une luxation fraîche est controversé entre le traitement orthopédique, la réparation chirurgicale et la Iigamentoplastie d'emblée, qui devient à terme incontournable dans les instabilités anciennes non arthrosiques. Pour les quatre doigts longs, on distingue les luxations spatulaires isolées, partielles et complètes où les lésions associées de type fracture-arrachement sont fréquentes. Dans les formes récentes, le diagnostic est le plus souvent radiographique et le traitement en urgence vise à réduire la luxation et à la stabiliser, au besoin par voie sanglante. Dans les formes anciennes symptomatiques, l'arthrodèse carpométacarpienne est la seule solution, sauf pour le cinquième rayon où des interventions de résection arthroplastique ou d'arthroplastie stabilisée ont été proposées pour préserver sa mobilité. Note de contenu : Introduction
Luxation trapézométacarpienne
Anatomie
Physiopathologie et classification
Formes récentes
Formes anciennes
Luxations carpométacarpiennes des doigts longs
Anatomie
Physiopathologie et classification
Formes récentes
Formes anciennes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43921 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures du calcanéus / M. Helix-Giordanino in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Fractures du calcanéus Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Helix-Giordanino ; M.K. Nguyen ; A. Rochwerger Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-094-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Thalamus Articulation subtalienne Cals vicieux thalamiques Cals vicieux calcanéens Arthrodèse subtalienne Résumé : Les fractures du calcanéus représentent 1 % à 2 % de l'ensemble des fractures. Elles touchent surtout l'homme jeune (40 ans). Elles se divisent en deux sous-groupes : les fractures thalamiques, touchant l'articulation subtalienne (75 % des cas), et les fractures extrathalamiques, touchant la grosse tubérosité, le processus antérieur ou le processus interne (25 % des cas). Leur diagnostic, suspecté cliniquement, est affirmé par la radiologie ou par la tomodensitométrie qui vient parfois orienter nos choix thérapeutiques. Le but du traitement est de prévenir les complications à long terme que sont l'arthrose subtalienne et le cal vicieux extra-articulaire des fractures déplacées, en évitant les problèmes cicatriciels et cutanés. La localisation de la fracture et l'importance de son déplacement permettent de faire le choix entre un traitement chirurgical ou non. Les traitements orthopédiques s'adressent aux fractures peu ou non déplacées, ou lors de contre-indications chirurgicales, en gardant à l'esprit qu'un cal vicieux calcanéen (extra-articulaire) conduit à des séquelles graves, et qu'un cal vicieux thalamique (articulaire) entraîne presque constamment une arthrose subtalienne très mal supportée. Au stade séquellaire, le seul traitement d'une arthrose subtalienne symptomatique est l'arthrodèse talocalcanéenne. Les traitements chirurgicaux se divisent en trois grandes catégories : les ostéosynthèses à foyer fermé (relèvement-enclouage), les ostéosynthèses à foyer ouvert (voies d'abord latérales surtout, ou médiale, synthèse a minima par vis et/ou broches, ou par plaques), et l'arthrodèse réalisée d'emblée. Que le traitement soit conservateur ou chirurgical, il faut prévenir le patient qu'une fracture du calcanéus, surtout si elle est articulaire, est une fracture grave, pouvant entraîner de lourdes séquelles, et que son traitement chirurgical peut évoluer vers des problèmes cutanés et infectieux. En conséquence, la surveillance et les suites sont longues, et elles aboutissent parfois à des interventions itératives. Note de contenu : Introduction
Généralités
Historique
Anatomie
Épidémiologie
Diagnostic
Clinique
Imagerie
Classifications
Traitements
Non invasifs
Chirurgicaux
Indications
Traitements non invasifs
Traitements chirurgicaux
Complications
Séquelles
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43950
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-094-A-10 [Tome 3][article] Fractures du calcanéus [texte imprimé] / M. Helix-Giordanino ; M.K. Nguyen ; A. Rochwerger . - 2010 . - 14-094-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-094-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Thalamus Articulation subtalienne Cals vicieux thalamiques Cals vicieux calcanéens Arthrodèse subtalienne Résumé : Les fractures du calcanéus représentent 1 % à 2 % de l'ensemble des fractures. Elles touchent surtout l'homme jeune (40 ans). Elles se divisent en deux sous-groupes : les fractures thalamiques, touchant l'articulation subtalienne (75 % des cas), et les fractures extrathalamiques, touchant la grosse tubérosité, le processus antérieur ou le processus interne (25 % des cas). Leur diagnostic, suspecté cliniquement, est affirmé par la radiologie ou par la tomodensitométrie qui vient parfois orienter nos choix thérapeutiques. Le but du traitement est de prévenir les complications à long terme que sont l'arthrose subtalienne et le cal vicieux extra-articulaire des fractures déplacées, en évitant les problèmes cicatriciels et cutanés. La localisation de la fracture et l'importance de son déplacement permettent de faire le choix entre un traitement chirurgical ou non. Les traitements orthopédiques s'adressent aux fractures peu ou non déplacées, ou lors de contre-indications chirurgicales, en gardant à l'esprit qu'un cal vicieux calcanéen (extra-articulaire) conduit à des séquelles graves, et qu'un cal vicieux thalamique (articulaire) entraîne presque constamment une arthrose subtalienne très mal supportée. Au stade séquellaire, le seul traitement d'une arthrose subtalienne symptomatique est l'arthrodèse talocalcanéenne. Les traitements chirurgicaux se divisent en trois grandes catégories : les ostéosynthèses à foyer fermé (relèvement-enclouage), les ostéosynthèses à foyer ouvert (voies d'abord latérales surtout, ou médiale, synthèse a minima par vis et/ou broches, ou par plaques), et l'arthrodèse réalisée d'emblée. Que le traitement soit conservateur ou chirurgical, il faut prévenir le patient qu'une fracture du calcanéus, surtout si elle est articulaire, est une fracture grave, pouvant entraîner de lourdes séquelles, et que son traitement chirurgical peut évoluer vers des problèmes cutanés et infectieux. En conséquence, la surveillance et les suites sont longues, et elles aboutissent parfois à des interventions itératives. Note de contenu : Introduction
Généralités
Historique
Anatomie
Épidémiologie
Diagnostic
Clinique
Imagerie
Classifications
Traitements
Non invasifs
Chirurgicaux
Indications
Traitements non invasifs
Traitements chirurgicaux
Complications
Séquelles
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Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie non infectieuse et non inflammatoire des articulations sacro-iliaques / H. Bard in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Pathologie non infectieuse et non inflammatoire des articulations sacro-iliaques Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Bard, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-304-L-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : articulation sacro-iliaque grossesse complications de la grossesse hyperostose arthrose Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44017
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-304-L-10 [Tome 5][article] Pathologie non infectieuse et non inflammatoire des articulations sacro-iliaques [texte imprimé] / H. Bard, Auteur . - 2010 . - 14-304-L-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 14-304-L-10 [Tome 5]
Mots-clés : articulation sacro-iliaque grossesse complications de la grossesse hyperostose arthrose Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44017 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Aplasie du fémur / F. Launay in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Aplasie du fémur Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Launay ; J.-L. Jouve ; G. Bollini Année de publication : 2010 Article en page(s) : 15-228-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Aplasie Fémur Malformation Allongement Coxa vara Résumé : L'aplasie du fémur est une malformation congénitale allant du simple raccourcissement fémoral à l'absence quasi complète du segment osseux en passant par un fémur discontinu. Il s'y associe le plus souvent des positions vicieuses et des instabilités de la hanche et du genou. Il est nécessaire de faire un bilan radioclinique complet dès la première consultation afin d'analyser les différentes attitudes vicieuses, afin de rechercher une zone de pseudarthrose de la région trochantérienne, et afin d'évaluer l'inégalité de longueur des membres inférieurs. Il faut ensuite évaluer l'inégalité de longueur finale en sachant que le pourcentage d'inégalité entre les deux membres reste stable tout au long de la croissance. La prise en charge thérapeutique dépend non seulement des résultats de l'évaluation radioclinique mais aussi des desiderata de la famille. En effet, il n'existe pas une seule prise en charge mais une prise en charge à la carte pour chaque patient. Le traitement peut être une simple compensation d'inégalité de longueur par une semelle en cas d'inégalité mineure, ou alors être un programme chirurgical beaucoup plus lourd associant des gestes de corrections des parties molles à la hanche et au genou et un ou plusieurs programmes d'allongement osseux. Dans certains cas, les possibilités de reconstruction sont même dépassées, et il faut envisager une amputation associée à un appareillage permettant la marche. Note de contenu : Introduction
Classifications des aplasies du fémur
Classification d'Aitken
Classification d'Amstutz
Classification de Fixsen
Classification de Bouyala et Rigault
Classification de Hamanashi
Classification de Gillepsie
Classification de Paley
Description
Moyens thérapeutiques
Stabilisation
Prothétisation
Égalisation
Stratégie thérapeutique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44083
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-228-A-10 [Tome 6][article] Aplasie du fémur [texte imprimé] / F. Launay ; J.-L. Jouve ; G. Bollini . - 2010 . - 15-228-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-228-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Aplasie Fémur Malformation Allongement Coxa vara Résumé : L'aplasie du fémur est une malformation congénitale allant du simple raccourcissement fémoral à l'absence quasi complète du segment osseux en passant par un fémur discontinu. Il s'y associe le plus souvent des positions vicieuses et des instabilités de la hanche et du genou. Il est nécessaire de faire un bilan radioclinique complet dès la première consultation afin d'analyser les différentes attitudes vicieuses, afin de rechercher une zone de pseudarthrose de la région trochantérienne, et afin d'évaluer l'inégalité de longueur des membres inférieurs. Il faut ensuite évaluer l'inégalité de longueur finale en sachant que le pourcentage d'inégalité entre les deux membres reste stable tout au long de la croissance. La prise en charge thérapeutique dépend non seulement des résultats de l'évaluation radioclinique mais aussi des desiderata de la famille. En effet, il n'existe pas une seule prise en charge mais une prise en charge à la carte pour chaque patient. Le traitement peut être une simple compensation d'inégalité de longueur par une semelle en cas d'inégalité mineure, ou alors être un programme chirurgical beaucoup plus lourd associant des gestes de corrections des parties molles à la hanche et au genou et un ou plusieurs programmes d'allongement osseux. Dans certains cas, les possibilités de reconstruction sont même dépassées, et il faut envisager une amputation associée à un appareillage permettant la marche. Note de contenu : Introduction
Classifications des aplasies du fémur
Classification d'Aitken
Classification d'Amstutz
Classification de Fixsen
Classification de Bouyala et Rigault
Classification de Hamanashi
Classification de Gillepsie
Classification de Paley
Description
Moyens thérapeutiques
Stabilisation
Prothétisation
Égalisation
Stratégie thérapeutique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44083 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures de côtes et traumatismes thoraciques / V. Anne in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Fractures de côtes et traumatismes thoraciques Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Anne ; G. Grosdidier ; C. Charpentier Année de publication : 2010 Article en page(s) : 15-750-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : volet costal fractures de côtes péridurale ostéosynthèse costale Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44089
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-750-A-10 [Tome 7][article] Fractures de côtes et traumatismes thoraciques [texte imprimé] / V. Anne ; G. Grosdidier ; C. Charpentier . - 2010 . - 15-750-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-750-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : volet costal fractures de côtes péridurale ostéosynthèse costale Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44089 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tuberculose vertébrale de l'adulte / E. Pertuiset in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2010)
[article]
Titre : Tuberculose vertébrale de l'adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Pertuiset Année de publication : 2010 Article en page(s) : 15-852-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tuberculose ostéoarticulaire Spondylodiscite tuberculeuse Spondylite tuberculeuse Mal de Pott Antituberculeux Compression médullaire Épidurite Résumé : La tuberculose vertébrale représente 50 % des tuberculoses ostéoarticulaires et environ 20 % des infections vertébrales. Dans des pays européens comme la France ou la Grande-Bretagne, elle survient soit chez des sujets âgés ayant souvent des facteurs de risque, soit chez des sujets immigrants en provenance de zones d'endémie tuberculeuse. Le plus souvent, elle est la conséquence de la réactivation d'une tuberculose latente et réalise une tuberculose paucibacillaire. Si elle prend le plus souvent l'aspect classique d'une spondylodiscite, elle peut se traduire par une spondylite respectant le disque intervertébral et atteignant le corps vertébral et/ou l'arc postérieur. Elle se manifeste par des rachialgies d'évolution subaiguë ou chronique, des signes généraux inconstants et des signes de compression neurologique dans environ 50 % des cas, dont 10 % à 25 % de formes sévères. Si les radiographies sont le plus souvent anormales, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est l'examen clé pour porter le diagnostic d'infection vertébrale et montrer les abcès paravertébraux quasi constants, la fréquente extension épidurale et les compressions médullaires. La preuve de la nature tuberculeuse peut être obtenue soit à partir d'une localisation pulmonaire ou ganglionnaire associée, soit par ponction d'un abcès paravertébral, soit par biopsie discovertébrale le plus souvent percutanée. Le traitement repose avant tout sur une antibiothérapie antituberculeuse prolongée, d'une durée minimale de 12 mois. Les principales indications du traitement chirurgical sont les compressions médullaires d'emblée sévères ou évolutives sous traitement médical, et les ostéolyses massives responsables d'instabilité vertébrale et/ou d'une cyphose importante. La lenteur de la régression des images IRM ne doit pas induire en erreur le clinicien. Note de contenu : Définition
Épidémiologie
Historique
Fréquence
Terrain de survenue
Facteurs favorisants
Localisation
Formes anatomiques
Localisations rachidiennes
Physiopathologie
Caractéristiques de la tuberculose ostéoarticulaire
Mode de dissémination
Mode d'extension
Physiopathologie de la cyphose
Physiopathologie des compressions médullaires
Signes cliniques et biologiques
Imagerie
Radiographie standard
Imagerie par résonance magnétique
Tomodensitométrie
Scintigraphie osseuse
Diagnostic positif
Preuve formelle de l'infection tuberculeuse
Diagnostic positif de la tuberculose vertébrale
Rentabilité diagnostique des biopsies vertébrales percutanées et chirurgicales
Diagnostic différentiel
Diagnostic différentiel des spondylodiscites tuberculeuses
Diagnostic différentiel des spondylites tuberculeuses
Pronostic
Pronostic infectieux
Pronostic fonctionnel
Traitement
Historique et principes généraux
Traitement antibiotique
Physiothérapie
Ponction d'abcès
Traitement chirurgical
Conduite à tenir devant une compression médullaire précoce
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44101
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-852-A-10 [Tome 7][article] Tuberculose vertébrale de l'adulte [texte imprimé] / E. Pertuiset . - 2010 . - 15-852-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2010) . - 15-852-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Tuberculose ostéoarticulaire Spondylodiscite tuberculeuse Spondylite tuberculeuse Mal de Pott Antituberculeux Compression médullaire Épidurite Résumé : La tuberculose vertébrale représente 50 % des tuberculoses ostéoarticulaires et environ 20 % des infections vertébrales. Dans des pays européens comme la France ou la Grande-Bretagne, elle survient soit chez des sujets âgés ayant souvent des facteurs de risque, soit chez des sujets immigrants en provenance de zones d'endémie tuberculeuse. Le plus souvent, elle est la conséquence de la réactivation d'une tuberculose latente et réalise une tuberculose paucibacillaire. Si elle prend le plus souvent l'aspect classique d'une spondylodiscite, elle peut se traduire par une spondylite respectant le disque intervertébral et atteignant le corps vertébral et/ou l'arc postérieur. Elle se manifeste par des rachialgies d'évolution subaiguë ou chronique, des signes généraux inconstants et des signes de compression neurologique dans environ 50 % des cas, dont 10 % à 25 % de formes sévères. Si les radiographies sont le plus souvent anormales, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est l'examen clé pour porter le diagnostic d'infection vertébrale et montrer les abcès paravertébraux quasi constants, la fréquente extension épidurale et les compressions médullaires. La preuve de la nature tuberculeuse peut être obtenue soit à partir d'une localisation pulmonaire ou ganglionnaire associée, soit par ponction d'un abcès paravertébral, soit par biopsie discovertébrale le plus souvent percutanée. Le traitement repose avant tout sur une antibiothérapie antituberculeuse prolongée, d'une durée minimale de 12 mois. Les principales indications du traitement chirurgical sont les compressions médullaires d'emblée sévères ou évolutives sous traitement médical, et les ostéolyses massives responsables d'instabilité vertébrale et/ou d'une cyphose importante. La lenteur de la régression des images IRM ne doit pas induire en erreur le clinicien. Note de contenu : Définition
Épidémiologie
Historique
Fréquence
Terrain de survenue
Facteurs favorisants
Localisation
Formes anatomiques
Localisations rachidiennes
Physiopathologie
Caractéristiques de la tuberculose ostéoarticulaire
Mode de dissémination
Mode d'extension
Physiopathologie de la cyphose
Physiopathologie des compressions médullaires
Signes cliniques et biologiques
Imagerie
Radiographie standard
Imagerie par résonance magnétique
Tomodensitométrie
Scintigraphie osseuse
Diagnostic positif
Preuve formelle de l'infection tuberculeuse
Diagnostic positif de la tuberculose vertébrale
Rentabilité diagnostique des biopsies vertébrales percutanées et chirurgicales
Diagnostic différentiel
Diagnostic différentiel des spondylodiscites tuberculeuses
Diagnostic différentiel des spondylites tuberculeuses
Pronostic
Pronostic infectieux
Pronostic fonctionnel
Traitement
Historique et principes généraux
Traitement antibiotique
Physiothérapie
Ponction d'abcès
Traitement chirurgical
Conduite à tenir devant une compression médullaire précoce
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44101 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire