Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Janvier 2003
Paru le : 01/01/2003
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Dépouillements
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[article]
Titre : |
Liquide synovial normal et pathologique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
J. Damiano ; T. Bardin |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
14-001-L-50 [Tome 1] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Liquide synovial Rhumatisme inflammatoire Arthrite infectieuse Cristaux |
Résumé : |
L'examen du liquide articulaire est une étape clé du diagnostic en rhumatologie. Le compte cellulaire doit être fait peu après la ponction et permet d'orienter le diagnostic vers un rhumatisme inflammatoire lorsque la cellularité dépasse 2 000 éléments/mm3 ou vers une affection mécanique lorsqu'elle est inférieure à 1 000 éléments/mm3. L'examen bactériologique doit être réalisé en urgence, avant toute antibiothérapie. La mise en évidence du germe par l'examen direct ou la culture permet un diagnostic de certitude d'arthrite infectieuse et oriente le traitement antibiotique. La recherche de microcristaux est un procédé rapide et peu coûteux de diagnostic d'arthrite microcristalline. L'examen doit se faire sur un liquide frais, entre lame et lamelle, au microscope à lumière ordinaire puis à lumière polarisée. L'équipement du microscope d'un compensateur et d'une platine tournante permet une identification plus fiable des urates de sodium, négativement biréfringents, et des pyrophosphates de calcium dihydratés, positivement biréfringents. D'autres cristaux (cholestérol, oxalate, cortisoniques...) peuvent aussi être identifiés. Diverses sources d'artefact doivent être évitées notamment la présence de cristaux d'anticoagulants ce qui conduit à recueillir le liquide sur quelques gouttes d'héparinate de sodium ou de citrate. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Liquide synovial normal
Liquide synovial des diverses arthropathies
Aspect macroscopique
Cytologie : cellularité et formule
Bactériologie
Microcristaux
Biochimie
Immunologie
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43645 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-001-L-50 [Tome 1]
[article] Liquide synovial normal et pathologique [texte imprimé] / J. Damiano ; T. Bardin . - 2003 . - 14-001-L-50 [Tome 1]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-001-L-50 [Tome 1]
Mots-clés : |
Liquide synovial Rhumatisme inflammatoire Arthrite infectieuse Cristaux |
Résumé : |
L'examen du liquide articulaire est une étape clé du diagnostic en rhumatologie. Le compte cellulaire doit être fait peu après la ponction et permet d'orienter le diagnostic vers un rhumatisme inflammatoire lorsque la cellularité dépasse 2 000 éléments/mm3 ou vers une affection mécanique lorsqu'elle est inférieure à 1 000 éléments/mm3. L'examen bactériologique doit être réalisé en urgence, avant toute antibiothérapie. La mise en évidence du germe par l'examen direct ou la culture permet un diagnostic de certitude d'arthrite infectieuse et oriente le traitement antibiotique. La recherche de microcristaux est un procédé rapide et peu coûteux de diagnostic d'arthrite microcristalline. L'examen doit se faire sur un liquide frais, entre lame et lamelle, au microscope à lumière ordinaire puis à lumière polarisée. L'équipement du microscope d'un compensateur et d'une platine tournante permet une identification plus fiable des urates de sodium, négativement biréfringents, et des pyrophosphates de calcium dihydratés, positivement biréfringents. D'autres cristaux (cholestérol, oxalate, cortisoniques...) peuvent aussi être identifiés. Diverses sources d'artefact doivent être évitées notamment la présence de cristaux d'anticoagulants ce qui conduit à recueillir le liquide sur quelques gouttes d'héparinate de sodium ou de citrate. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Liquide synovial normal
Liquide synovial des diverses arthropathies
Aspect macroscopique
Cytologie : cellularité et formule
Bactériologie
Microcristaux
Biochimie
Immunologie
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43645 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Histologie et cytologie de l'os normal |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
P. Chavassieux ; P. Meunier |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
14-002-A-10 [Tome 1] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
matrice minéralisée ostéoclaste ostéoblaste formation résorption remodelage osseux |
Résumé : |
Le tissu osseux est un tissu conjonctif constitué d'une trame organique minéralisée, riche en fibres de collagène de type I. Sa texture lamellaire résulte de l'orientation parallèle des fibres de collagène au sein d'une même lamelle osseuse. Le tissu osseux est le siège d'un remodelage permanent qui permet à l'os d'exercer son rôle de réserve calcique et d'assurer sa fonction de soutien en préservant ses caractéristiques mécaniques. Les cellules osseuses (ostéoclastes, ostéoblastes, ostéocytes et cellules bordantes) assurent les différentes phases du remodelage osseux. Après une phase d'activation, les ostéoclastes au contact de la matrice minéralisée créent une encoche de résorption ou lacune de Howship. Le couplage entre résorption et formation est assuré par de nombreux facteurs dont des cytokines, présentes dans la matrice. Durant la phase de formation, les ostéoblastes élaborent les constituants organiques de la matrice qui sont le siège d'une minéralisation primaire puis secondaire. Le tissu osseux ainsi formé à l'issue d'une séquence de remodelage constitue l'unité structurale élémentaire de l'os trabéculaire ou ostéon de l'os compact. La diminution de leur épaisseur au cours du vieillissement est responsable d'une perte osseuse. Les marqueurs biochimiques du remodelage osseux reflètent le remodelage de l'ensemble du squelette et seule l'analyse quantitative de biopsies osseuses non décalcifiées permet une approche à l'échelle de l'unité structurale élémentaire, permettant une évaluation histomorphométrique du remodelage osseux et du degré de minéralisation du tissu osseux. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Composition du tissu osseux
Trame protéique
Substance minérale
Structure du tissu osseux
Texture de l'os
Architecture de l'os
Cellules osseuses
Ostéoclastes
Ostéoblastes
Ostéocytes
Cellules bordantes
Modelage et remodelage osseux
Modelage osseux
Remodelage osseux
Vieillissement osseux
Méthodes d'investigations
Marqueurs biochimiques
Histomorphométrie osseuse
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43651 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-002-A-10 [Tome 1]
[article] Histologie et cytologie de l'os normal [texte imprimé] / P. Chavassieux ; P. Meunier . - 2003 . - 14-002-A-10 [Tome 1]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-002-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : |
matrice minéralisée ostéoclaste ostéoblaste formation résorption remodelage osseux |
Résumé : |
Le tissu osseux est un tissu conjonctif constitué d'une trame organique minéralisée, riche en fibres de collagène de type I. Sa texture lamellaire résulte de l'orientation parallèle des fibres de collagène au sein d'une même lamelle osseuse. Le tissu osseux est le siège d'un remodelage permanent qui permet à l'os d'exercer son rôle de réserve calcique et d'assurer sa fonction de soutien en préservant ses caractéristiques mécaniques. Les cellules osseuses (ostéoclastes, ostéoblastes, ostéocytes et cellules bordantes) assurent les différentes phases du remodelage osseux. Après une phase d'activation, les ostéoclastes au contact de la matrice minéralisée créent une encoche de résorption ou lacune de Howship. Le couplage entre résorption et formation est assuré par de nombreux facteurs dont des cytokines, présentes dans la matrice. Durant la phase de formation, les ostéoblastes élaborent les constituants organiques de la matrice qui sont le siège d'une minéralisation primaire puis secondaire. Le tissu osseux ainsi formé à l'issue d'une séquence de remodelage constitue l'unité structurale élémentaire de l'os trabéculaire ou ostéon de l'os compact. La diminution de leur épaisseur au cours du vieillissement est responsable d'une perte osseuse. Les marqueurs biochimiques du remodelage osseux reflètent le remodelage de l'ensemble du squelette et seule l'analyse quantitative de biopsies osseuses non décalcifiées permet une approche à l'échelle de l'unité structurale élémentaire, permettant une évaluation histomorphométrique du remodelage osseux et du degré de minéralisation du tissu osseux. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Composition du tissu osseux
Trame protéique
Substance minérale
Structure du tissu osseux
Texture de l'os
Architecture de l'os
Cellules osseuses
Ostéoclastes
Ostéoblastes
Ostéocytes
Cellules bordantes
Modelage et remodelage osseux
Modelage osseux
Remodelage osseux
Vieillissement osseux
Méthodes d'investigations
Marqueurs biochimiques
Histomorphométrie osseuse
Conclusion |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43651 |
| |
Exemplaires
[article]
Titre : |
Fracture de l'extrémité supérieure du fémur chez l'enfant |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
H. De Boeck ; Th. Scheerlinck |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
14-076-A-10 [Tome 3] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
décollement épiphysaire fracture du col du fémur nécrose avasculaire plâtre pelvipédieux pseudarthrose |
Résumé : |
Les fractures de l'extrémité supérieure du fémur sont rares chez l'enfant. Ces fractures sont le plus souvent dues à un traumatisme grave, à la suite d'un accident de roulage ou d'une chute de plusieurs mètres. La classification la plus utilisée est celle de Delbet en quatre types.
Le traitement dépend largement du type de fracture et de l'âge de l'enfant. Les fractures non déplacées ou peu déplacées peuvent être traitées par plâtre pelvipédieux chez le petit enfant. Classiquement, toutes les fractures déplacées doivent faire l'objet d'une réduction et d'une fixation interne. Chez les tout-petits, des broches de Kirschner sont utilisées pour les fractures à décollement épiphysaires et certains cas de fractures transcervicales. Pour les fractures transcervicales chez les enfants plus grands et pour les fractures intertrochantériennes, des vis à filetage court sont utilisées, tout en respectant le cartilage de croissance. Les complications des fractures du col du fémur de l'enfant sont fréquentes. Outre la pseudarthrose et la déformation en varus, la nécrose avasculaire reste la complication la plus redoutée et la plus grave. La nécrose avasculaire de l'épiphyse fémorale supérieure post-traumatique peut donner lieu à un handicap définitif. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Causes
Classification
Type I : fracture-décollement épiphysaire
Type II : fracture transcervicale
Type III : fracture basicervicale
Type IV : fracture intertrochantérienne
Diagnostic
Examens complémentaires
Traitement
Généralités
Type I : fracture-décollement épiphysaire
Type II : fracture transcervicale
Type III : fracture basicervicale
Type IV : fracture intertrochantérienne
Complications
Infection
Nécrose avasculaire
Cal vicieux
Pseudarthrose
Fermeture prématurée du cartilage de croissance
Autres complications
Traitement des complications
Nécrose avasculaire
Pseudarthrose
Coxa vara
Différence de longueur des membres inférieurs |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43932 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-076-A-10 [Tome 3]
[article] Fracture de l'extrémité supérieure du fémur chez l'enfant [texte imprimé] / H. De Boeck ; Th. Scheerlinck . - 2003 . - 14-076-A-10 [Tome 3]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-076-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : |
décollement épiphysaire fracture du col du fémur nécrose avasculaire plâtre pelvipédieux pseudarthrose |
Résumé : |
Les fractures de l'extrémité supérieure du fémur sont rares chez l'enfant. Ces fractures sont le plus souvent dues à un traumatisme grave, à la suite d'un accident de roulage ou d'une chute de plusieurs mètres. La classification la plus utilisée est celle de Delbet en quatre types.
Le traitement dépend largement du type de fracture et de l'âge de l'enfant. Les fractures non déplacées ou peu déplacées peuvent être traitées par plâtre pelvipédieux chez le petit enfant. Classiquement, toutes les fractures déplacées doivent faire l'objet d'une réduction et d'une fixation interne. Chez les tout-petits, des broches de Kirschner sont utilisées pour les fractures à décollement épiphysaires et certains cas de fractures transcervicales. Pour les fractures transcervicales chez les enfants plus grands et pour les fractures intertrochantériennes, des vis à filetage court sont utilisées, tout en respectant le cartilage de croissance. Les complications des fractures du col du fémur de l'enfant sont fréquentes. Outre la pseudarthrose et la déformation en varus, la nécrose avasculaire reste la complication la plus redoutée et la plus grave. La nécrose avasculaire de l'épiphyse fémorale supérieure post-traumatique peut donner lieu à un handicap définitif. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Causes
Classification
Type I : fracture-décollement épiphysaire
Type II : fracture transcervicale
Type III : fracture basicervicale
Type IV : fracture intertrochantérienne
Diagnostic
Examens complémentaires
Traitement
Généralités
Type I : fracture-décollement épiphysaire
Type II : fracture transcervicale
Type III : fracture basicervicale
Type IV : fracture intertrochantérienne
Complications
Infection
Nécrose avasculaire
Cal vicieux
Pseudarthrose
Fermeture prématurée du cartilage de croissance
Autres complications
Traitement des complications
Nécrose avasculaire
Pseudarthrose
Coxa vara
Différence de longueur des membres inférieurs |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43932 |
| |
Exemplaires
[article]
Titre : |
Complications tardives des fractures des plateaux tibiaux |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
V. Souillac ; D. Chauveaux ; J.-C. Le Huec |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
14-082-B-10 [Tome 3] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
fracture du plateau tibial complications des fractures du plateau tibial |
Résumé : |
Les fractures des plateaux tibiaux, même après un choix et une conduite thérapeutique adaptés, sont toujours exposées à la survenue de complications secondaires à fort retentissement fonctionnel. Raideurs articulaires et arthrose fémorotibiale en constituent les manifestations les plus redoutées et les plus fréquentes. Le développement durant ces 15 dernières années de la chirurgie prothétique du genou représente un progrès majeur pour la prise en charge de ces patients. Cela ne doit pas supplanter les traitements conservateurs, mais elle représente une avancée notable dans l'arsenal thérapeutique de ces complications. |
Note de contenu : |
Plan
Résumé
Introduction
Pseudarthrose
Cals vicieux
Localisation du cal vicieux
Examen clinique
Examens complémentaires
Traitements
Raideurs articulaires
Présence d'une arthrose fémorotibiale
Pas ou peu d'arthrose fémorotibiale
Instabilités chroniques par atteinte ligamentaire
Lésions périphériques
Lésions du pivot central
Infections chroniques |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43942 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-082-B-10 [Tome 3]
[article] Complications tardives des fractures des plateaux tibiaux [texte imprimé] / V. Souillac ; D. Chauveaux ; J.-C. Le Huec . - 2003 . - 14-082-B-10 [Tome 3]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-082-B-10 [Tome 3]
Mots-clés : |
fracture du plateau tibial complications des fractures du plateau tibial |
Résumé : |
Les fractures des plateaux tibiaux, même après un choix et une conduite thérapeutique adaptés, sont toujours exposées à la survenue de complications secondaires à fort retentissement fonctionnel. Raideurs articulaires et arthrose fémorotibiale en constituent les manifestations les plus redoutées et les plus fréquentes. Le développement durant ces 15 dernières années de la chirurgie prothétique du genou représente un progrès majeur pour la prise en charge de ces patients. Cela ne doit pas supplanter les traitements conservateurs, mais elle représente une avancée notable dans l'arsenal thérapeutique de ces complications. |
Note de contenu : |
Plan
Résumé
Introduction
Pseudarthrose
Cals vicieux
Localisation du cal vicieux
Examen clinique
Examens complémentaires
Traitements
Raideurs articulaires
Présence d'une arthrose fémorotibiale
Pas ou peu d'arthrose fémorotibiale
Instabilités chroniques par atteinte ligamentaire
Lésions périphériques
Lésions du pivot central
Infections chroniques |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43942 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Goutte |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
D. Kuntz ; F. Lioté |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
14-270-A-10 [Tome 5] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
arthrite aiguë microcristaux d'urate de sodium hyperuricémie tophus colchicine anti-inflammatoire non stéroïdien uricosurique allopurinol |
Résumé : |
La goutte peut être définie par quatre critères : survenue d'une arthrite aiguë récidivant au moins une fois ; présence de microcristaux d'urate de sodium monohydraté décelés dans le liquide synovial ; hyperuricémie supérieure à 420 μmol/L (70 mg/L) aussi bien chez l'homme que chez la femme ; présence de dépôts d'urate de sodium monohydraté (tophus) situés principalement autour des articulations distales.
Le traitement de la goutte a deux objectifs : faire disparaître rapidement la crise aiguë par la colchicine ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens, et normaliser l'uricémie par les uricosuriques ou l'allopurinol. |
Note de contenu : |
Résumé
Historique
Épidémiologie de l'hyperuricémie et de la primitive
Physiopathologie de l'hyperuricémie idiopathique et de la primitive
Métabolisme de l'acide urique
De l'hyperuricémie à la
Goutte primitive : description clinique
Accès goutteux
Dépôts uratiques
Manifestations rénales au cours de l'hyperuricémie et de la
Néphropathie uratique aiguë
Lithiase urique
Néphropathie goutteuse chronique
Néphropathies goutteuses juvéniles familiales
Rein et féminine
Gouttes par enzymopathie
Maladie de Lesch-Nyhan
Déficits partiels en hypoxanthine-guanine- phosphoribosyltransférase
Altérations moléculaires dans les déficits en hypoxanthine-guanine- phosphoribosyltransférase
Goutte par hyperactivité de la phosphoribosylpyrophosphate- synthétase
Gouttes secondaires
Goutte secondaire à l'insuffisance rénale
Goutte des hémopathies
Goutte de la glycogénose hépatique
Goutte des diurétiques
Goutte et ciclosporine A
Goutte et pyrazinamide
Traitement de la
Traitement de l'accès goutteux
Traitement hypo-uricémiant |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43997 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-270-A-10 [Tome 5]
[article] Goutte [texte imprimé] / D. Kuntz ; F. Lioté . - 2003 . - 14-270-A-10 [Tome 5]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-270-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : |
arthrite aiguë microcristaux d'urate de sodium hyperuricémie tophus colchicine anti-inflammatoire non stéroïdien uricosurique allopurinol |
Résumé : |
La goutte peut être définie par quatre critères : survenue d'une arthrite aiguë récidivant au moins une fois ; présence de microcristaux d'urate de sodium monohydraté décelés dans le liquide synovial ; hyperuricémie supérieure à 420 μmol/L (70 mg/L) aussi bien chez l'homme que chez la femme ; présence de dépôts d'urate de sodium monohydraté (tophus) situés principalement autour des articulations distales.
Le traitement de la goutte a deux objectifs : faire disparaître rapidement la crise aiguë par la colchicine ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens, et normaliser l'uricémie par les uricosuriques ou l'allopurinol. |
Note de contenu : |
Résumé
Historique
Épidémiologie de l'hyperuricémie et de la primitive
Physiopathologie de l'hyperuricémie idiopathique et de la primitive
Métabolisme de l'acide urique
De l'hyperuricémie à la
Goutte primitive : description clinique
Accès goutteux
Dépôts uratiques
Manifestations rénales au cours de l'hyperuricémie et de la
Néphropathie uratique aiguë
Lithiase urique
Néphropathie goutteuse chronique
Néphropathies goutteuses juvéniles familiales
Rein et féminine
Gouttes par enzymopathie
Maladie de Lesch-Nyhan
Déficits partiels en hypoxanthine-guanine- phosphoribosyltransférase
Altérations moléculaires dans les déficits en hypoxanthine-guanine- phosphoribosyltransférase
Goutte par hyperactivité de la phosphoribosylpyrophosphate- synthétase
Gouttes secondaires
Goutte secondaire à l'insuffisance rénale
Goutte des hémopathies
Goutte de la glycogénose hépatique
Goutte des diurétiques
Goutte et ciclosporine A
Goutte et pyrazinamide
Traitement de la
Traitement de l'accès goutteux
Traitement hypo-uricémiant |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=43997 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Ressauts de hanche |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
J.-F. Kouvalchouk, Auteur |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
14-320-C-10 [Tome 5] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
ressaut hanche bandelette iliotibiale psoas ressauts de hanche |
Résumé : |
Les ressauts de hanche ne sont que des phénomènes cliniques qui se manifestent sous forme de claquements lors de la mobilisation active de la hanche. Ils sont dus au passage brutal d'un tendon ou d'une formation aponévrotique sur un relief osseux. Les ressauts les plus fréquents sont le ressaut latéral dû à la bandelette iliotibiale sur le trochanter major et le ressaut antérieur dont la cause la plus habituelle, mais non la seule, est le passage du psoas sur l'éminence iliopectinée. Dans la majorité des cas, le ressaut ne présente pas d'autre désagrément pour le patient que la sensation du claquement lui-même. Rarement, mais de façon incontestable, il peut être source de douleurs. Tout le problème est donc de pouvoir établir la relation entre ressaut et douleurs en éliminant toute autre cause de la symptomatologie qui ne ferait alors du ressaut qu'un épiphénomène sans responsabilité réelle. À ce titre, examen clinique rigoureux et examens complémentaires adaptés sont indispensables. Il ne faut pas méconnaître non plus une éventuelle participation psychologique, fréquente dans ce type de phénomène. Le traitement ne doit donc être entrepris qu'en toute certitude. Il est d'abord « médical » par infiltrations locales de corticoïdes et exercices d'étirement, et, en cas d'échec, éventuellement, chirurgical pour allongement de la structure responsable. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Généralités
Définition
Diagnostic
Traitement
Ressaut latéral
Historique
Épidémiologie
Anatomopathologie
Étiopathogénie
Signes cliniques
Examens complémentaires
Diagnostics différentiels
Traitement
Ressauts antérieurs
Historique
Épidémiologie
Anatomopathologie
Étiopathogénie
Signes cliniques
Examens complémentaires
Diagnostics différentiels
Traitement
Ressaut postérieur |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44023 |
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-320-C-10 [Tome 5]
[article] Ressauts de hanche [texte imprimé] / J.-F. Kouvalchouk, Auteur . - 2003 . - 14-320-C-10 [Tome 5]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 14-320-C-10 [Tome 5]
Mots-clés : |
ressaut hanche bandelette iliotibiale psoas ressauts de hanche |
Résumé : |
Les ressauts de hanche ne sont que des phénomènes cliniques qui se manifestent sous forme de claquements lors de la mobilisation active de la hanche. Ils sont dus au passage brutal d'un tendon ou d'une formation aponévrotique sur un relief osseux. Les ressauts les plus fréquents sont le ressaut latéral dû à la bandelette iliotibiale sur le trochanter major et le ressaut antérieur dont la cause la plus habituelle, mais non la seule, est le passage du psoas sur l'éminence iliopectinée. Dans la majorité des cas, le ressaut ne présente pas d'autre désagrément pour le patient que la sensation du claquement lui-même. Rarement, mais de façon incontestable, il peut être source de douleurs. Tout le problème est donc de pouvoir établir la relation entre ressaut et douleurs en éliminant toute autre cause de la symptomatologie qui ne ferait alors du ressaut qu'un épiphénomène sans responsabilité réelle. À ce titre, examen clinique rigoureux et examens complémentaires adaptés sont indispensables. Il ne faut pas méconnaître non plus une éventuelle participation psychologique, fréquente dans ce type de phénomène. Le traitement ne doit donc être entrepris qu'en toute certitude. Il est d'abord « médical » par infiltrations locales de corticoïdes et exercices d'étirement, et, en cas d'échec, éventuellement, chirurgical pour allongement de la structure responsable. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Généralités
Définition
Diagnostic
Traitement
Ressaut latéral
Historique
Épidémiologie
Anatomopathologie
Étiopathogénie
Signes cliniques
Examens complémentaires
Diagnostics différentiels
Traitement
Ressauts antérieurs
Historique
Épidémiologie
Anatomopathologie
Étiopathogénie
Signes cliniques
Examens complémentaires
Diagnostics différentiels
Traitement
Ressaut postérieur |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=44023 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Spondylolisthésis lombaire dégénératif |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
M. Pedram ; R. Dupuy ; J.-M. Vital |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
15-835-B-10 [Tome 7] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
spondylolisthésis dégénératif rachis lombaire laminectomie arthrectomie partielle arthrodèse |
Résumé : |
Parmi les pathologies entraînant une sténose du canal lombaire, le spondylolisthésis lombaire dégénératif occupe une place à part. Il s'agit d'un glissement vers l'avant de la vertèbre L4 sur L5 le plus souvent, qui touche les sujets de plus de 40 ans et plus particulièrement les femmes. La sagittalisation des articulaires et la présence d'une hyperlaxité ligamentaire sont les éléments les plus significatifs dans sa physiopathologie. Sa prise en charge est chirurgicale, mais seulement après l'échec d'un traitement conservateur de première intention et bien conduit. La décompression par voie postérieure (laminarthrectomie partielle) associée à une arthrodèse est la technique de choix. L'instrumentation rachidienne qui rigidifie le segment opéré doit être proposée devant des éléments en faveur d'une instabilité (angle facettaire transverse inférieur à 40°, arthrectomie large, présence de kystes articulaires). |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Définition, épidémiologie
Physiopathologie, histoire naturelle
Lésions dégénératives
Glissement vertébral
Clinique
Examens complémentaires
Imagerie
Électrophysiologie
Évolution naturelle
Traitement
Traitement médical
Traitement chirurgical
Conclusion |
Permalink : |
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in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 15-835-B-10 [Tome 7]
[article] Spondylolisthésis lombaire dégénératif [texte imprimé] / M. Pedram ; R. Dupuy ; J.-M. Vital . - 2003 . - 15-835-B-10 [Tome 7]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 15-835-B-10 [Tome 7]
Mots-clés : |
spondylolisthésis dégénératif rachis lombaire laminectomie arthrectomie partielle arthrodèse |
Résumé : |
Parmi les pathologies entraînant une sténose du canal lombaire, le spondylolisthésis lombaire dégénératif occupe une place à part. Il s'agit d'un glissement vers l'avant de la vertèbre L4 sur L5 le plus souvent, qui touche les sujets de plus de 40 ans et plus particulièrement les femmes. La sagittalisation des articulaires et la présence d'une hyperlaxité ligamentaire sont les éléments les plus significatifs dans sa physiopathologie. Sa prise en charge est chirurgicale, mais seulement après l'échec d'un traitement conservateur de première intention et bien conduit. La décompression par voie postérieure (laminarthrectomie partielle) associée à une arthrodèse est la technique de choix. L'instrumentation rachidienne qui rigidifie le segment opéré doit être proposée devant des éléments en faveur d'une instabilité (angle facettaire transverse inférieur à 40°, arthrectomie large, présence de kystes articulaires). |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Définition, épidémiologie
Physiopathologie, histoire naturelle
Lésions dégénératives
Glissement vertébral
Clinique
Examens complémentaires
Imagerie
Électrophysiologie
Évolution naturelle
Traitement
Traitement médical
Traitement chirurgical
Conclusion |
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| |
Exemplaires
[article]
Titre : |
Scoliose idiopathique. Stratégie diagnostique, physiopathologie et analyse de la déformation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
N. Khouri ; Raphaël Vialle ; P. Mary |
Année de publication : |
2003 |
Article en page(s) : |
15-873 [Tome 7] |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
scoliose idiopathique examen clinique gibbosité puberté croissance |
Résumé : |
La scoliose idiopathique survient sans cause décelable, chez des enfants en parfaite santé. Il s'agit d'une déformation progressive du rachis dans les trois plans de l'espace, ayant pour conséquences une rotation vertébrale responsable d'une gibbosité et une modification de l'équilibre sagittal du tronc. Le diagnostic de scoliose est facile, par le simple examen du tronc penché en avant qui met en évidence la gibbosité et permet d'éliminer bon nombre d'« attitudes scoliotiques ». La scoliose présente un risque d'aggravation, particulièrement net durant la période de croissance. Durant la puberté, la scoliose peut parfois évoluer rapidement vers une déformation importante, ce qui est fréquemment le cas des scolioses apparues tôt dans l'enfance. Toute scoliose doit donc bénéficier d'une surveillance particulièrement attentive, au minimum deux fois par an, durant toute la période de croissance. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Examen clinique
Interrogatoire
Examen du tronc
Enquête étiologique
Interrogatoire
Examen clinique
Étude de la croissance
Critères d'évaluation
Puberté et croissance
Imagerie médicale
Diagnostic radiologique de la scoliose
Examens radiologiques de surveillance
Bilan préthérapeutique
Formes topographiques
Scolioses à courbure principale unique
Scolioses à deux courbures principales
Anatomie pathologique de la déformation scoliotique
Déformation de la vertèbre
Déformation du thorax dans les scolioses thoraciques
Analyse tridimensionnelle de la scoliose
Retentissement fonctionnel et esthétique
Retentissement respiratoire
Retentissement neurologique
Retentissement douloureux
Retentissement esthétique
Évolution spontanée et pronostic
Lois de l'évolutivité des scolioses
Scolioses n'obéissant pas à ces lois de l'évolutivité
Pronostic angulaire en fin de croissance
Étiopathogénie
Facteurs génétiques
Facteurs endocriniens
Facteurs histologiques
Facteurs neurologiques
Scolioses infantiles
Définition
Étiopathogénie
Histoire naturelle
Caractéristiques cliniques
Caractéristiques radiologiques
Conclusion
Annexe. Équilibre sagittal normal du rachis
Équilibre sagittal du rachis et centre de gravité
Relations entre le bassin et le rachis. Paramètres pelvirachidiens de profil |
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in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 15-873 [Tome 7]
[article] Scoliose idiopathique. Stratégie diagnostique, physiopathologie et analyse de la déformation [texte imprimé] / N. Khouri ; Raphaël Vialle ; P. Mary . - 2003 . - 15-873 [Tome 7]. Langues : Français ( fre) in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2003) . - 15-873 [Tome 7]
Mots-clés : |
scoliose idiopathique examen clinique gibbosité puberté croissance |
Résumé : |
La scoliose idiopathique survient sans cause décelable, chez des enfants en parfaite santé. Il s'agit d'une déformation progressive du rachis dans les trois plans de l'espace, ayant pour conséquences une rotation vertébrale responsable d'une gibbosité et une modification de l'équilibre sagittal du tronc. Le diagnostic de scoliose est facile, par le simple examen du tronc penché en avant qui met en évidence la gibbosité et permet d'éliminer bon nombre d'« attitudes scoliotiques ». La scoliose présente un risque d'aggravation, particulièrement net durant la période de croissance. Durant la puberté, la scoliose peut parfois évoluer rapidement vers une déformation importante, ce qui est fréquemment le cas des scolioses apparues tôt dans l'enfance. Toute scoliose doit donc bénéficier d'une surveillance particulièrement attentive, au minimum deux fois par an, durant toute la période de croissance. |
Note de contenu : |
Résumé
Introduction
Examen clinique
Interrogatoire
Examen du tronc
Enquête étiologique
Interrogatoire
Examen clinique
Étude de la croissance
Critères d'évaluation
Puberté et croissance
Imagerie médicale
Diagnostic radiologique de la scoliose
Examens radiologiques de surveillance
Bilan préthérapeutique
Formes topographiques
Scolioses à courbure principale unique
Scolioses à deux courbures principales
Anatomie pathologique de la déformation scoliotique
Déformation de la vertèbre
Déformation du thorax dans les scolioses thoraciques
Analyse tridimensionnelle de la scoliose
Retentissement fonctionnel et esthétique
Retentissement respiratoire
Retentissement neurologique
Retentissement douloureux
Retentissement esthétique
Évolution spontanée et pronostic
Lois de l'évolutivité des scolioses
Scolioses n'obéissant pas à ces lois de l'évolutivité
Pronostic angulaire en fin de croissance
Étiopathogénie
Facteurs génétiques
Facteurs endocriniens
Facteurs histologiques
Facteurs neurologiques
Scolioses infantiles
Définition
Étiopathogénie
Histoire naturelle
Caractéristiques cliniques
Caractéristiques radiologiques
Conclusion
Annexe. Équilibre sagittal normal du rachis
Équilibre sagittal du rachis et centre de gravité
Relations entre le bassin et le rachis. Paramètres pelvirachidiens de profil |
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