Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Décembre 2009
Paru le : 28/12/2009 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierConcept PNF : facilitation proprioceptive neuromusculaire (concept Kabat-Knott-Voss) / U. Bertinchamps in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Décembre 2009)
[article]
Titre : Concept PNF : facilitation proprioceptive neuromusculaire (concept Kabat-Knott-Voss) Type de document : texte imprimé Auteurs : U. Bertinchamps Année de publication : 2009 Article en page(s) : 26-075-B-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Facilitation proprio- et extéroceptive Apprentissage et comportement moteur Principes de facilitation Stretching Coordination Résumé : Le concept PNF développé par le docteur Kabat, les physiothérapeutes Knott et Voss à partir de 1947, évolue constamment, enrichi par les nouvelles recherches des domaines de neurophysiologie, de l'apprentissage moteur et de l'analyse de mouvement (evidence based practice). Ses multiples principes de facilitation et de traitement ainsi que ses techniques spécifiques permettent les évaluations spécifiques des patients et des traitements physiothérapeutiques en phase aiguë et réhabilitation dans tous les domaines médicaux : médecine du sport, rhumatologie, traumatologie, orthopédie, pédiatrie, neurologie et gériatrie. Note de contenu : Introduction
Définition
Principes de facilitation
Schémas
Stimulation des propriocepteurs
Stimulation des extérocepteurs
Principes de traitement/Philosophie du
Approche positive
Mobilisation du potentiel de réserve
Traitement du patient dans sa globalité
Traitement de manière fonctionnelle : travail au niveau activité et participation
Application d'un programme intensif pendant la séance
Variation des activités et des positions
Traitement sans douleurs
Techniques de traitement
Techniques pour les agonistes
Techniques pour les antagonistes
Techniques de stretching
Démarche de traitement
Applications cliniques
En neurologie
Ergonomie
Orthopédie et traumatologie
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43541
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2009) . - 26-075-B-10[article] Concept PNF : facilitation proprioceptive neuromusculaire (concept Kabat-Knott-Voss) [texte imprimé] / U. Bertinchamps . - 2009 . - 26-075-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2009) . - 26-075-B-10
Mots-clés : Facilitation proprio- et extéroceptive Apprentissage et comportement moteur Principes de facilitation Stretching Coordination Résumé : Le concept PNF développé par le docteur Kabat, les physiothérapeutes Knott et Voss à partir de 1947, évolue constamment, enrichi par les nouvelles recherches des domaines de neurophysiologie, de l'apprentissage moteur et de l'analyse de mouvement (evidence based practice). Ses multiples principes de facilitation et de traitement ainsi que ses techniques spécifiques permettent les évaluations spécifiques des patients et des traitements physiothérapeutiques en phase aiguë et réhabilitation dans tous les domaines médicaux : médecine du sport, rhumatologie, traumatologie, orthopédie, pédiatrie, neurologie et gériatrie. Note de contenu : Introduction
Définition
Principes de facilitation
Schémas
Stimulation des propriocepteurs
Stimulation des extérocepteurs
Principes de traitement/Philosophie du
Approche positive
Mobilisation du potentiel de réserve
Traitement du patient dans sa globalité
Traitement de manière fonctionnelle : travail au niveau activité et participation
Application d'un programme intensif pendant la séance
Variation des activités et des positions
Traitement sans douleurs
Techniques de traitement
Techniques pour les agonistes
Techniques pour les antagonistes
Techniques de stretching
Démarche de traitement
Applications cliniques
En neurologie
Ergonomie
Orthopédie et traumatologie
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43541 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Méthode Mézières / Michaël Nisand in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Décembre 2009)
[article]
Titre : Méthode Mézières Type de document : texte imprimé Auteurs : Michaël Nisand Année de publication : 2009 Article en page(s) : 26-085-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Françoise Mézières Chaîne musculaire Posture Étirement musculaire Morphologie Compensation Résumé : La méthode Mézières est un concept de rééducation conçu par une physiothérapeute française, Françoise Mézières. Les concepts et les techniques ne cessèrent d'évoluer sous l'impulsion de sa conceptrice, jusqu'à sa disparition en 1991. L'absence d'essai clinique, le déficit de publications et de rigueur dans l'enseignement sont responsables d'une diffusion confidentielle et d'une dénaturation précoce des concepts. L'observation princeps qui est à l'origine de ce qu'il est convenu d'appeler la méthode Mézières fut faite en 1947. Les explications du phénomène observé ne furent publiées qu'en 1984 sous forme de lois. Les concepts de Mézières s'inscrivent en faux par rapport à l'hypothèse pathogénique concernant les troubles musculosquelettiques. Ils sont habituellement attribués à une inaptitude à résister à la pesanteur. Mézières incrimine un raccourcissement des muscles dits « érecteurs rachidiens ». Françoise Mézières est à l'origine du concept novateur des « chaînes musculaires ». Au nombre de quatre, ces ensembles de muscles imbriqués se distinguent par leur puissance et leur tendance systématique à la rétraction. Ces raccourcissements provoquent des déformations tridimensionnelles du rachis et des membres. Ces déformations sont à l'origine des algies de l'appareil locomoteur. Elles ont la caractéristique de pouvoir se déplacer sur le corps comme « un anneau sur une tringle à rideaux ». Le principe thérapeutique consiste à réduire les déformations par étirement des chaînes. L'outil thérapeutique est appelé « contraction isométrique excentrique ». Il s'agit de contractions statiques à partir de positions de départ en course externe. Aucune compensation ne doit être tolérée sur l'ensemble corporel. Les séances de posture sont individuelles et longues. Leur rythme est hebdomadaire en début de traitement. Les autopostures sont proscrites. Les indications de cette technologie recouvrent, pour l'essentiel, celles de la rééducation conventionnelle dans le domaine musculosquelettique. Les nombreuses dérives conceptuelles et les divergences techniques existant entre les différentes écoles de la nébuleuse méziériste de deuxième génération obligent à s'interroger sur l'existence d'une entité technologique « méthode Mézières ». Note de contenu : Introduction
Contexte historique
Biographie
Que reste-t-il de son oeuvre ?
Contenu scientifique
Observation princeps
Lois fondamentales
Implications des lois
Corollaires
Normalité biologique et normalité statistique : parangon et morphotypes
Postulat pathogénique
Chaînes musculaires
Principe thérapeutique
Bilan morphologique
Technique thérapeutique
Discussion
Failles et approximations : procédures et concepts
Indigence pédagogique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43543
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2009) . - 26-085-A-10[article] Méthode Mézières [texte imprimé] / Michaël Nisand . - 2009 . - 26-085-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2009) . - 26-085-A-10
Mots-clés : Françoise Mézières Chaîne musculaire Posture Étirement musculaire Morphologie Compensation Résumé : La méthode Mézières est un concept de rééducation conçu par une physiothérapeute française, Françoise Mézières. Les concepts et les techniques ne cessèrent d'évoluer sous l'impulsion de sa conceptrice, jusqu'à sa disparition en 1991. L'absence d'essai clinique, le déficit de publications et de rigueur dans l'enseignement sont responsables d'une diffusion confidentielle et d'une dénaturation précoce des concepts. L'observation princeps qui est à l'origine de ce qu'il est convenu d'appeler la méthode Mézières fut faite en 1947. Les explications du phénomène observé ne furent publiées qu'en 1984 sous forme de lois. Les concepts de Mézières s'inscrivent en faux par rapport à l'hypothèse pathogénique concernant les troubles musculosquelettiques. Ils sont habituellement attribués à une inaptitude à résister à la pesanteur. Mézières incrimine un raccourcissement des muscles dits « érecteurs rachidiens ». Françoise Mézières est à l'origine du concept novateur des « chaînes musculaires ». Au nombre de quatre, ces ensembles de muscles imbriqués se distinguent par leur puissance et leur tendance systématique à la rétraction. Ces raccourcissements provoquent des déformations tridimensionnelles du rachis et des membres. Ces déformations sont à l'origine des algies de l'appareil locomoteur. Elles ont la caractéristique de pouvoir se déplacer sur le corps comme « un anneau sur une tringle à rideaux ». Le principe thérapeutique consiste à réduire les déformations par étirement des chaînes. L'outil thérapeutique est appelé « contraction isométrique excentrique ». Il s'agit de contractions statiques à partir de positions de départ en course externe. Aucune compensation ne doit être tolérée sur l'ensemble corporel. Les séances de posture sont individuelles et longues. Leur rythme est hebdomadaire en début de traitement. Les autopostures sont proscrites. Les indications de cette technologie recouvrent, pour l'essentiel, celles de la rééducation conventionnelle dans le domaine musculosquelettique. Les nombreuses dérives conceptuelles et les divergences techniques existant entre les différentes écoles de la nébuleuse méziériste de deuxième génération obligent à s'interroger sur l'existence d'une entité technologique « méthode Mézières ». Note de contenu : Introduction
Contexte historique
Biographie
Que reste-t-il de son oeuvre ?
Contenu scientifique
Observation princeps
Lois fondamentales
Implications des lois
Corollaires
Normalité biologique et normalité statistique : parangon et morphotypes
Postulat pathogénique
Chaînes musculaires
Principe thérapeutique
Bilan morphologique
Technique thérapeutique
Discussion
Failles et approximations : procédures et concepts
Indigence pédagogique
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43543 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rééducation de l'épaule instable / D. Rifkin in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Décembre 2009)
[article]
Titre : Rééducation de l'épaule instable Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Rifkin Année de publication : 2009 Article en page(s) : 26-209-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rééducation Épaule Instabilité Luxation Proprioception Résumé : Le cahier des charges de l'articulation scapulohumérale nécessite une grande mobilité pour permettre l'orientation de la main dans l'espace lors des activités de la vie courante ou sportives. Cette grande mobilité nécessite une faible congruence articulaire. La stabilité est donc assurée principalement par les systèmes capsuloligamentaire et tendinomusculaire. Elle est donc essentiellement dynamique, avec des ajustements permanents au cours des mouvements et notamment dans les situations à risque. Ces ajustements dépendent des contractions musculaires qui s'adaptent et varient suivant la position du bras dans l'espace et les forces qui lui sont appliquées ; cette régulation est rendue possible grâce à un ensemble de phénomènes de feed-back et feed-forward dont le point de départ sont les afférences proprioceptives en provenance des différents mécanorécepteurs. Le rééducateur devant prendre en charge un patient présentant une instabilité scapulohumérale doit baser son programme de rééducation sur les dernières avancées en matière de connaissances sur l'intégration des afférences proprioceptives. La rééducation doit s'organiser en différentes phases, avec des critères de passage au niveau supérieur, de façon à bien doser la progression et à éviter tout risque de récidive. La première phase a pour but de normaliser la cinématique pour récupérer des amplitudes normales non douloureuses. Lors de la deuxième phase, on recherche une amélioration de la force, de l'endurance et du contrôle neuromusculaire de l'épaule. Bien que le sujet semble avoir récupéré une épaule normale pour la vie de tous les jours, la phase 3 va rechercher une récupération totale des qualités précédentes pour permettre au patient d'affronter les situations à risques. Enfin, une phase de reprise d'activités permet au patient de reprendre ses activités sportives au niveau antérieur de performance sans appréhension et en toute sécurité. La rééducation des épaules instables est en fait une rééducation de la stabilité de l'épaule et ce programme est donc adaptable à tous les types d'instabilités ainsi qu'à la rééducation postopératoire. Note de contenu : Introduction
Notions fondamentales
Systèmes de contention
Organisation neuromotrice de la stabilité
Rééducation
Phase 1
Phase 2
Phase 3
Phase 4
Critères de fin de traitement
Cas particulier des instabilités opérées
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43557
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2009) . - 26-209-A-10[article] Rééducation de l'épaule instable [texte imprimé] / D. Rifkin . - 2009 . - 26-209-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2009) . - 26-209-A-10
Mots-clés : Rééducation Épaule Instabilité Luxation Proprioception Résumé : Le cahier des charges de l'articulation scapulohumérale nécessite une grande mobilité pour permettre l'orientation de la main dans l'espace lors des activités de la vie courante ou sportives. Cette grande mobilité nécessite une faible congruence articulaire. La stabilité est donc assurée principalement par les systèmes capsuloligamentaire et tendinomusculaire. Elle est donc essentiellement dynamique, avec des ajustements permanents au cours des mouvements et notamment dans les situations à risque. Ces ajustements dépendent des contractions musculaires qui s'adaptent et varient suivant la position du bras dans l'espace et les forces qui lui sont appliquées ; cette régulation est rendue possible grâce à un ensemble de phénomènes de feed-back et feed-forward dont le point de départ sont les afférences proprioceptives en provenance des différents mécanorécepteurs. Le rééducateur devant prendre en charge un patient présentant une instabilité scapulohumérale doit baser son programme de rééducation sur les dernières avancées en matière de connaissances sur l'intégration des afférences proprioceptives. La rééducation doit s'organiser en différentes phases, avec des critères de passage au niveau supérieur, de façon à bien doser la progression et à éviter tout risque de récidive. La première phase a pour but de normaliser la cinématique pour récupérer des amplitudes normales non douloureuses. Lors de la deuxième phase, on recherche une amélioration de la force, de l'endurance et du contrôle neuromusculaire de l'épaule. Bien que le sujet semble avoir récupéré une épaule normale pour la vie de tous les jours, la phase 3 va rechercher une récupération totale des qualités précédentes pour permettre au patient d'affronter les situations à risques. Enfin, une phase de reprise d'activités permet au patient de reprendre ses activités sportives au niveau antérieur de performance sans appréhension et en toute sécurité. La rééducation des épaules instables est en fait une rééducation de la stabilité de l'épaule et ce programme est donc adaptable à tous les types d'instabilités ainsi qu'à la rééducation postopératoire. Note de contenu : Introduction
Notions fondamentales
Systèmes de contention
Organisation neuromotrice de la stabilité
Rééducation
Phase 1
Phase 2
Phase 3
Phase 4
Critères de fin de traitement
Cas particulier des instabilités opérées
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43557 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Entraînement physique en réadaptation cardiaque / Michel Lamotte in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Décembre 2009)
[article]
Titre : Entraînement physique en réadaptation cardiaque Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Lamotte, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : 26-509-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réadaptation cardiaque Coronaropathie Insuffisance cardiaque Entraînement dynamique Renforcement musculaire Programmation d'entraînement Réentrainement à l'effort Résumé : Ce texte traite des trois phases classiques de la réadaptation cardiaque, en se focalisant surtout sur les aspects du réentraînement à l'effort. La phase I de la réadaptation cardiaque se déroule en centre hospitalier et vise un retour à l'autonomie de nos patients. Elle fait appel à des techniques de kinésithérapie peu spécifiques : kinésithérapie respiratoire, aérosolthérapie, mobilisation précoce et active, déambulation. En phase II et III, l'entraînement physique est une partie clé de la réadaptation cardiaque. Les effets physiologiques obtenus par cet entraînement influencent la morbidité et la mortalité des patients de manière significative. Ces effets physiologiques sont accompagnés d'effets psychologiques favorables. Pour obtenir ces résultats, l'entraînement doit répondre à certains critères : être fondé sur l'entraînement dynamique, être régulier, calibré par une épreuve d'effort, représenter un volume et une intensité de travail suffisants. Un travail de renforcement musculaire est complémentaire. Il s'agit d'un « challenge » particulièrement efficace et passionnant, résidant essentiellement dans les mains des kinésithérapeutes et entraîneurs physiques. Ce challenge ne peut pas être atteint par un autre agent thérapeutique. Cette approche complète bien évidement l'éducation à la prévention des différents facteurs de risque : sevrage tabagique, diététique, lutte contre la sédentarité, meilleure connaissance de la maladie, etc. La phase III vise à maintenir les bénéfices acquis en phase II et à intégrer toutes ces notions dans la vie courante des patients. Note de contenu : Introduction
Phase I
Phase II
Introduction
Prévention primaire
Prévention secondaire
Réadaptation physique
Programmation de l'entraînement
Durée et fréquence des séances
Cours de gymnastique collectif en réadapation cardiaque
Conditions climatiques et activité physique
Phase III
Quelles activités physiques faut-il proposer ?
Marche
Jogging et course à pied
Natation
Aquagym
Ski
Yoga, tai-chi-chuan, etc.
Travail en salle de fitness
« Spining »
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43609
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2009) . - 26-509-A-10[article] Entraînement physique en réadaptation cardiaque [texte imprimé] / Michel Lamotte, Auteur . - 2009 . - 26-509-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Décembre 2009) . - 26-509-A-10
Mots-clés : Réadaptation cardiaque Coronaropathie Insuffisance cardiaque Entraînement dynamique Renforcement musculaire Programmation d'entraînement Réentrainement à l'effort Résumé : Ce texte traite des trois phases classiques de la réadaptation cardiaque, en se focalisant surtout sur les aspects du réentraînement à l'effort. La phase I de la réadaptation cardiaque se déroule en centre hospitalier et vise un retour à l'autonomie de nos patients. Elle fait appel à des techniques de kinésithérapie peu spécifiques : kinésithérapie respiratoire, aérosolthérapie, mobilisation précoce et active, déambulation. En phase II et III, l'entraînement physique est une partie clé de la réadaptation cardiaque. Les effets physiologiques obtenus par cet entraînement influencent la morbidité et la mortalité des patients de manière significative. Ces effets physiologiques sont accompagnés d'effets psychologiques favorables. Pour obtenir ces résultats, l'entraînement doit répondre à certains critères : être fondé sur l'entraînement dynamique, être régulier, calibré par une épreuve d'effort, représenter un volume et une intensité de travail suffisants. Un travail de renforcement musculaire est complémentaire. Il s'agit d'un « challenge » particulièrement efficace et passionnant, résidant essentiellement dans les mains des kinésithérapeutes et entraîneurs physiques. Ce challenge ne peut pas être atteint par un autre agent thérapeutique. Cette approche complète bien évidement l'éducation à la prévention des différents facteurs de risque : sevrage tabagique, diététique, lutte contre la sédentarité, meilleure connaissance de la maladie, etc. La phase III vise à maintenir les bénéfices acquis en phase II et à intégrer toutes ces notions dans la vie courante des patients. Note de contenu : Introduction
Phase I
Phase II
Introduction
Prévention primaire
Prévention secondaire
Réadaptation physique
Programmation de l'entraînement
Durée et fréquence des séances
Cours de gymnastique collectif en réadapation cardiaque
Conditions climatiques et activité physique
Phase III
Quelles activités physiques faut-il proposer ?
Marche
Jogging et course à pied
Natation
Aquagym
Ski
Yoga, tai-chi-chuan, etc.
Travail en salle de fitness
« Spining »
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43609 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire