Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Janvier 2005
Paru le : 01/01/2005 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierPoignet et main : bilan articulaire / Jean Delprat in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Poignet et main : bilan articulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Delprat ; S. Ehrler ; J.-C. Meyer Année de publication : 2005 Article en page(s) : 26-008-D-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Main Poignet Bilan articulaire Amplitude Résumé : Dans un monde où les notions d'évaluation, de bilan, de score s'imposent pratiquement dans toutes les activités, le bilan articulaire apparaît au rééducateur comme un geste courant, simple, un peu fastidieux par le nombre de ces « petites articulations de la main, quel qu'en soit le nombre ». En réalité, un bilan articulaire exige tout d'abord une parfaite connaissance de l'anatomie articulaire mais aussi neuromusculaire correspondante. Compte tenu des exigences actuelles de qualité, un bilan doit être validé et pour cela répondre à un certain nombre de critères. Pour être utilisé par le plus grand nombre il doit être accepté, standardisé. Cependant, profitant des progrès informatiques, il est en pleine évolution, en pleine recherche, tant au niveau de la saisie des données qu'à celui de leur traitement ou de la présentation des résultats. La multiplicité des possibilités offre un choix précieux en face de demandes, de contextes différents. En effet, un bilan postchirurgical n'a pas le même objectif qu'un suivi rééducatif ou une expertise en vue de réparation du dommage corporel. Le bilan « classique » au goniomètre conserve une place privilégiée, que nous lui laisserons dans ce rappel des techniques. Classiques aussi mais hélas encore trop nombreuses pour que l'on puisse dire qu'aucune ne se soit imposée, les fiches, numérisées ou non, visualisant, outre les résultats, les secteurs de mobilité, et « normaux » restent pour l'instant encore le moyen le plus simple de présenter les résultats. Cependant, les techniques de saisie directement numérisée et de traitement informatique après avoir ouvert des perspectives nouvelles à la recherche, semblent promises à révolutionner la pratique courante. Note de contenu : Introduction
Poignet, Main
Entités anatomiques complexes
Rappel anatomique
Bilan
Généralités
Saisie des données
Traitement des données, présentation des résultats
Quel bilan ? Pour quel objectif ?
Résultats « goniométriques » : les fiches
Poignet
Carpométacarpiennes
Métacarpophalangiennes
Interphalangiennes proximales
Interphalangiennes distales
Évaluation digitale globale
Pouce
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43521
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Janvier 2005) . - 26-008-D-10[article] Poignet et main : bilan articulaire [texte imprimé] / Jean Delprat ; S. Ehrler ; J.-C. Meyer . - 2005 . - 26-008-D-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Janvier 2005) . - 26-008-D-10
Mots-clés : Main Poignet Bilan articulaire Amplitude Résumé : Dans un monde où les notions d'évaluation, de bilan, de score s'imposent pratiquement dans toutes les activités, le bilan articulaire apparaît au rééducateur comme un geste courant, simple, un peu fastidieux par le nombre de ces « petites articulations de la main, quel qu'en soit le nombre ». En réalité, un bilan articulaire exige tout d'abord une parfaite connaissance de l'anatomie articulaire mais aussi neuromusculaire correspondante. Compte tenu des exigences actuelles de qualité, un bilan doit être validé et pour cela répondre à un certain nombre de critères. Pour être utilisé par le plus grand nombre il doit être accepté, standardisé. Cependant, profitant des progrès informatiques, il est en pleine évolution, en pleine recherche, tant au niveau de la saisie des données qu'à celui de leur traitement ou de la présentation des résultats. La multiplicité des possibilités offre un choix précieux en face de demandes, de contextes différents. En effet, un bilan postchirurgical n'a pas le même objectif qu'un suivi rééducatif ou une expertise en vue de réparation du dommage corporel. Le bilan « classique » au goniomètre conserve une place privilégiée, que nous lui laisserons dans ce rappel des techniques. Classiques aussi mais hélas encore trop nombreuses pour que l'on puisse dire qu'aucune ne se soit imposée, les fiches, numérisées ou non, visualisant, outre les résultats, les secteurs de mobilité, et « normaux » restent pour l'instant encore le moyen le plus simple de présenter les résultats. Cependant, les techniques de saisie directement numérisée et de traitement informatique après avoir ouvert des perspectives nouvelles à la recherche, semblent promises à révolutionner la pratique courante. Note de contenu : Introduction
Poignet, Main
Entités anatomiques complexes
Rappel anatomique
Bilan
Généralités
Saisie des données
Traitement des données, présentation des résultats
Quel bilan ? Pour quel objectif ?
Résultats « goniométriques » : les fiches
Poignet
Carpométacarpiennes
Métacarpophalangiennes
Interphalangiennes proximales
Interphalangiennes distales
Évaluation digitale globale
Pouce
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43521 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fonctions motrices / B. Bioulac in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Fonctions motrices Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Bioulac ; P. Burbaud ; Jean-René Cazalets Année de publication : 2005 Article en page(s) : 26-012-A-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Programmation motrice Régulation centrale du mouvement volontaire Cortex Sous-cortex Moelle Résumé : Le chapitre « Fonctions motrices » traite de l'ensemble des structures, réseaux et voies qui interviennent dans le contrôle et la régulation du mouvement et/ou de la locomotion. Ainsi sont impliqués les grands secteurs à compétence motrice : cortex, sous-cortex, cervelet et moelle épinière. La distinction entre motricité centrale et périphérique conduit à inclure la physiologie de l'appareil neuromusculaire. En respectant, au plan des structures et de l'organisation hodologique, une hiérarchie jacksonienne ascendante, de la moelle épinière au cortex, on s'attache à faire émerger une vision dynamique tant de la physiologie neuronale unitaire que de celle des réseaux et circuits cortico-sous-corticaux. L'accent est mis sur des points saillants tels : les générateurs de la locomotion au niveau spinal, la kinesthésie, le codage des messages à compétence motrice dans les territoires corticaux primaires (cortex moteur et somesthésique) et associatifs (cortex prémoteur et aire motrice supplémentaire, cortex préfrontal et cortex pariétal postérieur), l'intervention des réseaux formés au sein des noyaux gris centraux dans le contrôle du mouvement, le rôle de la « circuiterie » cérébelleuse dans l'apprentissage moteur. Note de contenu : Introduction
Origine et nature des mouvements
Système effecteur du mouvement
Le muscle et son appareil de contrôle
Réflexes spinaux
Fonctions motrices de la moelle épinière
Réalisation d'un mouvement dépendant du contexte postural
Organisation du mouvement et planification de l'action
Critique de la conception hiérarchisée
Cortex moteur
Motricité pyramidale et motricité extrapyramidale
Kinesthésie
Récepteurs et messages
Kinesthésie et mouvement dirigé vers une cible
Thalamus
Cortex somesthésique
Cortex pariétal postérieur
Déafférentation, activité corticale et programmes moteurs
Aires frontales à fonction prémotrice
Cortex prémoteur
Cortex prémoteur latéral
Aire motrice supplémentaire
Cortex préfrontaux associatifs et planification de l'action
Aire frontale oculocéphalogyre
Cortex préfrontal dorsolatéral
Cortex cingulaire antérieur
Cortex orbitofrontal
Modulation dopaminergique du cortex préfrontal
Ganglions de la base
Rappel anatomique
Modèles animaux de pathologie humaine
Modélisation théorique
Bases fonctionnelles : physiologie et physiopathologie
Cervelet
Anatomie fonctionnelle
MicrophysiologiePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43531
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Janvier 2005) . - 26-012-A-10[article] Fonctions motrices [texte imprimé] / B. Bioulac ; P. Burbaud ; Jean-René Cazalets . - 2005 . - 26-012-A-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Janvier 2005) . - 26-012-A-10
Mots-clés : Programmation motrice Régulation centrale du mouvement volontaire Cortex Sous-cortex Moelle Résumé : Le chapitre « Fonctions motrices » traite de l'ensemble des structures, réseaux et voies qui interviennent dans le contrôle et la régulation du mouvement et/ou de la locomotion. Ainsi sont impliqués les grands secteurs à compétence motrice : cortex, sous-cortex, cervelet et moelle épinière. La distinction entre motricité centrale et périphérique conduit à inclure la physiologie de l'appareil neuromusculaire. En respectant, au plan des structures et de l'organisation hodologique, une hiérarchie jacksonienne ascendante, de la moelle épinière au cortex, on s'attache à faire émerger une vision dynamique tant de la physiologie neuronale unitaire que de celle des réseaux et circuits cortico-sous-corticaux. L'accent est mis sur des points saillants tels : les générateurs de la locomotion au niveau spinal, la kinesthésie, le codage des messages à compétence motrice dans les territoires corticaux primaires (cortex moteur et somesthésique) et associatifs (cortex prémoteur et aire motrice supplémentaire, cortex préfrontal et cortex pariétal postérieur), l'intervention des réseaux formés au sein des noyaux gris centraux dans le contrôle du mouvement, le rôle de la « circuiterie » cérébelleuse dans l'apprentissage moteur. Note de contenu : Introduction
Origine et nature des mouvements
Système effecteur du mouvement
Le muscle et son appareil de contrôle
Réflexes spinaux
Fonctions motrices de la moelle épinière
Réalisation d'un mouvement dépendant du contexte postural
Organisation du mouvement et planification de l'action
Critique de la conception hiérarchisée
Cortex moteur
Motricité pyramidale et motricité extrapyramidale
Kinesthésie
Récepteurs et messages
Kinesthésie et mouvement dirigé vers une cible
Thalamus
Cortex somesthésique
Cortex pariétal postérieur
Déafférentation, activité corticale et programmes moteurs
Aires frontales à fonction prémotrice
Cortex prémoteur
Cortex prémoteur latéral
Aire motrice supplémentaire
Cortex préfrontaux associatifs et planification de l'action
Aire frontale oculocéphalogyre
Cortex préfrontal dorsolatéral
Cortex cingulaire antérieur
Cortex orbitofrontal
Modulation dopaminergique du cortex préfrontal
Ganglions de la base
Rappel anatomique
Modèles animaux de pathologie humaine
Modélisation théorique
Bases fonctionnelles : physiologie et physiopathologie
Cervelet
Anatomie fonctionnelle
MicrophysiologiePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43531 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kinésithérapie à la phase aiguë des pathologies respiratoires / G. Cottereau in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Janvier 2005)
[article]
Titre : Kinésithérapie à la phase aiguë des pathologies respiratoires Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Cottereau, Auteur ; F. Piton, Auteur ; Marc Antonello, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : 26-500-G-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Décompensation BPCO Insuffisance respiratoire aiguë Chirurgie thoracique ou abdominale haute Pleurésie Kinésithérapie respiratoire Complications alitement Résumé : L'insuffisance respiratoire aiguë (IRA) des insuffisants respiratoires chroniques (IRC) regroupe sous un même vocable les accidents évolutifs des insuffisants respiratoires chroniques obstructifs (IRCO) et des insuffisants respiratoires chroniques restrictifs (IRCR). C'est la survenue d'un épisode aigu sur fond de maladie chronique, associant anomalies primaires et anomalies compensatrices, qui explique l'essentiel des différences cliniques entre une détresse respiratoire aiguë survenant chez un IRC et une détresse respiratoire aiguë sur poumons antérieurement sains. Lorsque survient une IRA, la priorité est de participer à son traitement et à la prise en charge de ses complications éventuelles, quelle que soit la pathologie à l'origine de l'IRA. L'analyse physiopathologique de l'IRA et le contexte étiologique sont fondamentaux pour construire une démarche diagnostique kinésithérapique pertinente afin que la kinésithérapie prenne toute sa place dans le traitement. Les données du problème sont très différentes entre la décompensation d'une maladie respiratoire obstructive où la kinésithérapie aide à soulager la charge de travail des muscles inspirateurs et la période postopératoire d'une chirurgie thoracique ou abdominale haute où la kinésithérapie s'attache d'abord à prévenir l'hypoventilation, cause potentielle d'IRA. Au-delà de la problématique de l'IRA, la kinésithérapie doit anticiper et prévenir d'éventuelles complications à moyen ou long terme liées à l'évolution naturelle de la maladie respiratoire ou à un alitement prolongé, risque de grabatisation et de désocialisation. Sont donc abordés dans ce chapitre, à titre d'exemple pour les maladies respiratoires obstructives, la décompensation d'une bronchopneumopathie chronique obstructive puis la période postopératoire d'une chirurgie thoracique ou abdominale haute, que le patient soit porteur ou non d'une pathologie pulmonaire chronique et la phase aiguë d'une pleurésie comme approches de la prévention de séquelles respiratoires prévisibles. Note de contenu : Introduction
Insuffisance respiratoire aiguë
Définition de l'IRA
Mécanismes de l'hypoxémie
Mécanismes de l'hypercapnie
Prévention et traitement de l'IRA
Décompensation d'une maladie respiratoire chronique
Phase postopératoire de chirurgie thoracique ou abdominale haute
Prévention des complications à moyen terme liées à la maladie et au contexte clinique
Prévention de complications potentielles liées à l'évolution de la pathologie respiratoire
Prévention de complications potentielles liées a l'alitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43605
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Janvier 2005) . - 26-500-G-10[article] Kinésithérapie à la phase aiguë des pathologies respiratoires [texte imprimé] / G. Cottereau, Auteur ; F. Piton, Auteur ; Marc Antonello, Auteur . - 2005 . - 26-500-G-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Janvier 2005) . - 26-500-G-10
Mots-clés : Décompensation BPCO Insuffisance respiratoire aiguë Chirurgie thoracique ou abdominale haute Pleurésie Kinésithérapie respiratoire Complications alitement Résumé : L'insuffisance respiratoire aiguë (IRA) des insuffisants respiratoires chroniques (IRC) regroupe sous un même vocable les accidents évolutifs des insuffisants respiratoires chroniques obstructifs (IRCO) et des insuffisants respiratoires chroniques restrictifs (IRCR). C'est la survenue d'un épisode aigu sur fond de maladie chronique, associant anomalies primaires et anomalies compensatrices, qui explique l'essentiel des différences cliniques entre une détresse respiratoire aiguë survenant chez un IRC et une détresse respiratoire aiguë sur poumons antérieurement sains. Lorsque survient une IRA, la priorité est de participer à son traitement et à la prise en charge de ses complications éventuelles, quelle que soit la pathologie à l'origine de l'IRA. L'analyse physiopathologique de l'IRA et le contexte étiologique sont fondamentaux pour construire une démarche diagnostique kinésithérapique pertinente afin que la kinésithérapie prenne toute sa place dans le traitement. Les données du problème sont très différentes entre la décompensation d'une maladie respiratoire obstructive où la kinésithérapie aide à soulager la charge de travail des muscles inspirateurs et la période postopératoire d'une chirurgie thoracique ou abdominale haute où la kinésithérapie s'attache d'abord à prévenir l'hypoventilation, cause potentielle d'IRA. Au-delà de la problématique de l'IRA, la kinésithérapie doit anticiper et prévenir d'éventuelles complications à moyen ou long terme liées à l'évolution naturelle de la maladie respiratoire ou à un alitement prolongé, risque de grabatisation et de désocialisation. Sont donc abordés dans ce chapitre, à titre d'exemple pour les maladies respiratoires obstructives, la décompensation d'une bronchopneumopathie chronique obstructive puis la période postopératoire d'une chirurgie thoracique ou abdominale haute, que le patient soit porteur ou non d'une pathologie pulmonaire chronique et la phase aiguë d'une pleurésie comme approches de la prévention de séquelles respiratoires prévisibles. Note de contenu : Introduction
Insuffisance respiratoire aiguë
Définition de l'IRA
Mécanismes de l'hypoxémie
Mécanismes de l'hypercapnie
Prévention et traitement de l'IRA
Décompensation d'une maladie respiratoire chronique
Phase postopératoire de chirurgie thoracique ou abdominale haute
Prévention des complications à moyen terme liées à la maladie et au contexte clinique
Prévention de complications potentielles liées à l'évolution de la pathologie respiratoire
Prévention de complications potentielles liées a l'alitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43605 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire