[article] 
inLe Sociographe > 83 (Septembre 2023) . - p. 9-12

Titre :	L’art et la manière de faire des mondes
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Michael Pouteyo
Année de publication :	2023
Article en page(s) :	p. 9-12
Note générale :	Issu du dossier "Fin du monde ? "
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Monde  Perception de l'espace  Sociologie - Anthropologie
Résumé :	D’une manière ou d’une autre, le monde est un nom à adjectifs. Du Nouveau Monde que les navigateurs découvraient à la fin du XVe siècle et que les conquistadors mettaient à sac au Siècle d’Or, jusqu’aux mondes perdus, qu’ils soient d’hier ou engloutis sous les flots comme de légendaires Atlantide, en passant par les mondes à venir, qu’ils soient meilleurs ou apocalyptiques. Si le monde est un thème sociologiquement contestable, pour la littérature et la philosophie en revanche, il relève d’un véritable questionnement où la conscience que l’homme a de lui s’accompagne souvent de la menace de la perte. Qu’il s’agisse de la grande peur de l’an mille, inventée à la Renaissance ou du bug de l’an deux mille qui a plus affolé les conversations que les informaticiens, au-delà des constats ou des réalités sur l’état ou la fin du monde – jamais bien loin d’un « c’était mieux avant » – ce que l’idée de monde engage, c’est un questionnement sur la place de l’homme en son sein.
En ligne :	https://doi.org/10.3917/graph1.083.0009
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=113323

[article] L’art et la manière de faire des mondes [texte imprimé] / Michael Pouteyo . - 2023 . - p. 9-12.
Issu du dossier "Fin du monde ? "
Langues : Français (fre)
in Le Sociographe > 83 (Septembre 2023) . - p. 9-12

Mots-clés :	Monde  Perception de l'espace  Sociologie - Anthropologie
Résumé :	D’une manière ou d’une autre, le monde est un nom à adjectifs. Du Nouveau Monde que les navigateurs découvraient à la fin du XVe siècle et que les conquistadors mettaient à sac au Siècle d’Or, jusqu’aux mondes perdus, qu’ils soient d’hier ou engloutis sous les flots comme de légendaires Atlantide, en passant par les mondes à venir, qu’ils soient meilleurs ou apocalyptiques. Si le monde est un thème sociologiquement contestable, pour la littérature et la philosophie en revanche, il relève d’un véritable questionnement où la conscience que l’homme a de lui s’accompagne souvent de la menace de la perte. Qu’il s’agisse de la grande peur de l’an mille, inventée à la Renaissance ou du bug de l’an deux mille qui a plus affolé les conversations que les informaticiens, au-delà des constats ou des réalités sur l’état ou la fin du monde – jamais bien loin d’un « c’était mieux avant » – ce que l’idée de monde engage, c’est un questionnement sur la place de l’homme en son sein.
En ligne :	https://doi.org/10.3917/graph1.083.0009
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=113323