[article] 
inLe Point vétérinaire > Vol.53 N°445 (septembre 2023) . - p. 32-39

Titre :	LES MALADIES RESPIRATOIRES ET DIGESTIVES CHEZ LA POULE
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Graham Zoller
Année de publication :	2023
Article en page(s) :	p. 32-39
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Mycoplasmose  bronchite infectieuse  laryngotrachéite infectieuse  influenza aviaire  coccidiose
Résumé :	Les troubles respiratoires et gastro-intestinaux figurent parmi les affections les plus fréquentes chez la poule, car les agents et les facteurs favorisants sont multiples. Leur contrôle repose sur le respect des mesures d’hygiène et de biosécurité. Les maladies respiratoires et digestives représentent respectivement 27 % et 13 % des diagnostics primaires chez la poule de compagnie, selon une étude canadienne [2]. Ces maladies, qui peuvent avoir de nombreuses causes, affectent directement ou indirectement les tractus respiratoire et digestif. Leur diagnostic repose sur une approche clinique et paraclinique raisonnée et leur prise en charge thérapeutique représente souvent un défimédical, voire réglementaire.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=112946

[article] LES MALADIES RESPIRATOIRES ET DIGESTIVES CHEZ LA POULE [texte imprimé] / Graham Zoller . - 2023 . - p. 32-39.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > Vol.53 N°445 (septembre 2023) . - p. 32-39

Mots-clés :	Mycoplasmose  bronchite infectieuse  laryngotrachéite infectieuse  influenza aviaire  coccidiose
Résumé :	Les troubles respiratoires et gastro-intestinaux figurent parmi les affections les plus fréquentes chez la poule, car les agents et les facteurs favorisants sont multiples. Leur contrôle repose sur le respect des mesures d’hygiène et de biosécurité. Les maladies respiratoires et digestives représentent respectivement 27 % et 13 % des diagnostics primaires chez la poule de compagnie, selon une étude canadienne [2]. Ces maladies, qui peuvent avoir de nombreuses causes, affectent directement ou indirectement les tractus respiratoire et digestif. Leur diagnostic repose sur une approche clinique et paraclinique raisonnée et leur prise en charge thérapeutique représente souvent un défimédical, voire réglementaire.
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