Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur E. MARCHAND |
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Auscultation pulmonaire et kinésithérapie / E. MARCHAND in Motricité cérébrale, vol.32, 01 (Mars 2011)
[article]
Titre : Auscultation pulmonaire et kinésithérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : E. MARCHAND, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 25-31 Résumé : Pour faire progresser la nomenclature d’auscultation pulmonaire sur des bases objectives, la définition physicoacoustique du bruit respiratoire doit précéder sa définition psychoacoustique. Le répertoire physique des signaux acoustiques n’identifie que quatre types de vibrations : des vibrations périodiques simples et complexes, et des vibrations apériodiques impulsionnelles et continues auxquelles doivent nécessairement correspondre tous les bruits ventilatoires. Les phonopneumographies temporelles et spectrales autorisent une classification objective des bruits respiratoires et des bruits adventices et une simplification au sein de la nomenclature qui comporte quatre sortes de bruits repris dans ces deux catégories : (1) les bruits respiratoires comprennent les bruits respiratoires normaux et les bruits respiratoires bronchiques ; (2) les bruits adventices comprennent les craquements (pour tout bruit discontinu) et les sibilances (pour tout bruit continu). Des paramètres objectifs viennent ensuite préciser leurs caractéristiques propres en termes de timbre, de complexité, de fréquence hertzienne, de situation dans le cycle respiratoire et de durée. L’action de la kinésithérapie sur les bruits respiratoires est décrite à partir des paramètres objectifs qui les caractérisent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101819
in Motricité cérébrale > vol.32, 01 (Mars 2011) . - 25-31[article] Auscultation pulmonaire et kinésithérapie [texte imprimé] / E. MARCHAND, Auteur . - 2011 . - 25-31.
in Motricité cérébrale > vol.32, 01 (Mars 2011) . - 25-31
Résumé : Pour faire progresser la nomenclature d’auscultation pulmonaire sur des bases objectives, la définition physicoacoustique du bruit respiratoire doit précéder sa définition psychoacoustique. Le répertoire physique des signaux acoustiques n’identifie que quatre types de vibrations : des vibrations périodiques simples et complexes, et des vibrations apériodiques impulsionnelles et continues auxquelles doivent nécessairement correspondre tous les bruits ventilatoires. Les phonopneumographies temporelles et spectrales autorisent une classification objective des bruits respiratoires et des bruits adventices et une simplification au sein de la nomenclature qui comporte quatre sortes de bruits repris dans ces deux catégories : (1) les bruits respiratoires comprennent les bruits respiratoires normaux et les bruits respiratoires bronchiques ; (2) les bruits adventices comprennent les craquements (pour tout bruit discontinu) et les sibilances (pour tout bruit continu). Des paramètres objectifs viennent ensuite préciser leurs caractéristiques propres en termes de timbre, de complexité, de fréquence hertzienne, de situation dans le cycle respiratoire et de durée. L’action de la kinésithérapie sur les bruits respiratoires est décrite à partir des paramètres objectifs qui les caractérisent. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101819 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtEffets de la kinésithérapie respiratoire associant Expiration Lente Prolongée et Toux Provoquée dans la bronchiolite du nourrisson / Guy Postiaux in Kinésithérapie, la revue, 55 (juillet 2006)
[article]
Titre : Effets de la kinésithérapie respiratoire associant Expiration Lente Prolongée et Toux Provoquée dans la bronchiolite du nourrisson Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Postiaux, Auteur ; M. DEMAY ; E. MARCHAND ; M. MANGIARACINA ; J. JACQUY ; DUBOIS R, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p.35-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : Nourrisson Bronchiolite Bronche Expectoration Rééducation respiratoire Résumé : But de l’étude. Évaluer l’efficacité et l’innocuité de la séance de kinésithérapie respiratoire (KR) associant Expiration Lente Prolongée et Toux Provoquée chez des nourrissons hospitalisés pour bronchiolite aiguë modérée.
Matériel et Méthode. Étude prospective longitudinale de 19 nourrissons (7,75 + 6,6 mois, moyenne + SD). Les patients sont évalués avant et après 57 séances de kinésithérapie comprenant ELPr : Expiration Lente Prolongée et TP : Toux Provoquée. Le score de sévérité clinique de Wang (CS), l’oxymétrie pulsée (SpO2), la fréquence cardiaque (FC), les épisodes antérieurs de bronchiolite (AB), la prématurité (AP) et la présence d’anomalies radiologiques (RX) ont été calculés pour l’effet séance et l’effet jour aux premier (J1), deuxième (J2) et dernier jours (JD).
Résultats. CS (n = 19) : 4,3 + 2 (moy + SD), 3,7 + 1,8, 2,1 + 1,3 avant KR comparé à : 2,1 + 0,8, 1,8 + 1,1, 0,9 + 0,6 respectivement après KR (p ≪ 0,001). SpO2 (n = 18) : 96,2 + 2,2, 96,8 + 2,4 et 97,1 + 1,4, comparé à : 97,67 + 1,57, 98,28 + 1,56, 98,67 + 1,27 (p ≪ 0,001). FC (n = 16) : 149,4 + 17,4, 148,7 + 17,4, 145,1 + 16,4, comparé à : 142,2 + 16,4, 138,7 + 14,4, 134,4 + 13,1 (p ≪ 0,001). Nombre moyen de séances (NS) : 3,8 + 1,7. Un effet jour est observé sur CS (p ≪ 0,028), et l’effet séance diffère à J1 et JD pour AB sur CS (p = 0,020) et sur SpO2 (p ≪ 0,039). Le coefficient de corrélation entre CS et SpO2 est exprimé par Y = – 0,4716 X + 98,55, r = – 0,407, p ≪ 0,001. Un seul effet adverse est observé.
Conclusion. Le protocole de kinésithérapie respiratoire associant Expiration Lente Prolongée et Toux provoquée peut contribuer à l’amélioration clinique des symptômes de l’obstruction bronchique dans la bronchiolite aiguë modérée du nourrisson et ne présente pas de risque.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15034
in Kinésithérapie, la revue > 55 (juillet 2006) . - p.35-41[article] Effets de la kinésithérapie respiratoire associant Expiration Lente Prolongée et Toux Provoquée dans la bronchiolite du nourrisson [texte imprimé] / Guy Postiaux, Auteur ; M. DEMAY ; E. MARCHAND ; M. MANGIARACINA ; J. JACQUY ; DUBOIS R, Auteur . - 2006 . - p.35-41.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 55 (juillet 2006) . - p.35-41
Mots-clés : Nourrisson Bronchiolite Bronche Expectoration Rééducation respiratoire Résumé : But de l’étude. Évaluer l’efficacité et l’innocuité de la séance de kinésithérapie respiratoire (KR) associant Expiration Lente Prolongée et Toux Provoquée chez des nourrissons hospitalisés pour bronchiolite aiguë modérée.
Matériel et Méthode. Étude prospective longitudinale de 19 nourrissons (7,75 + 6,6 mois, moyenne + SD). Les patients sont évalués avant et après 57 séances de kinésithérapie comprenant ELPr : Expiration Lente Prolongée et TP : Toux Provoquée. Le score de sévérité clinique de Wang (CS), l’oxymétrie pulsée (SpO2), la fréquence cardiaque (FC), les épisodes antérieurs de bronchiolite (AB), la prématurité (AP) et la présence d’anomalies radiologiques (RX) ont été calculés pour l’effet séance et l’effet jour aux premier (J1), deuxième (J2) et dernier jours (JD).
Résultats. CS (n = 19) : 4,3 + 2 (moy + SD), 3,7 + 1,8, 2,1 + 1,3 avant KR comparé à : 2,1 + 0,8, 1,8 + 1,1, 0,9 + 0,6 respectivement après KR (p ≪ 0,001). SpO2 (n = 18) : 96,2 + 2,2, 96,8 + 2,4 et 97,1 + 1,4, comparé à : 97,67 + 1,57, 98,28 + 1,56, 98,67 + 1,27 (p ≪ 0,001). FC (n = 16) : 149,4 + 17,4, 148,7 + 17,4, 145,1 + 16,4, comparé à : 142,2 + 16,4, 138,7 + 14,4, 134,4 + 13,1 (p ≪ 0,001). Nombre moyen de séances (NS) : 3,8 + 1,7. Un effet jour est observé sur CS (p ≪ 0,028), et l’effet séance diffère à J1 et JD pour AB sur CS (p = 0,020) et sur SpO2 (p ≪ 0,039). Le coefficient de corrélation entre CS et SpO2 est exprimé par Y = – 0,4716 X + 98,55, r = – 0,407, p ≪ 0,001. Un seul effet adverse est observé.
Conclusion. Le protocole de kinésithérapie respiratoire associant Expiration Lente Prolongée et Toux provoquée peut contribuer à l’amélioration clinique des symptômes de l’obstruction bronchique dans la bronchiolite aiguë modérée du nourrisson et ne présente pas de risque.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15034 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRéhabilitation du malade atteint de bronchopneumopathie chronique obstructive / E. DEROM in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 50, n°7 (octobre 2007)
[article]
Titre : Réhabilitation du malade atteint de bronchopneumopathie chronique obstructive Type de document : texte imprimé Auteurs : E. DEROM, Auteur ; E. MARCHAND, Auteur ; T. TROOSTERS, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 602-14 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) Rééducation respiratoire Résumé : La réhabilitation pulmonaire est une intervention transdisciplinaire et structurée destinée aux patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), qui peut réduire la dyspnée et améliorer l'intolérance à l'exercice et la qualité de vie. Cette intervention présente un rapport de coût/efficacité favorable ; elle diminue en effet l'utilisation des soins de santé. Le réentraînement à l'effort est un élément essentiel dans tout programme de réhabilitation pulmonaire. Pour obtenir des effets substantiels, on recommande de prescrire un réentraînement supervisé, à haute intensité, trois à cinq fois par semaine, avec des sessions ayant une durée de 30 à 45 minutes. Un minimum de 20 sessions est recommandé. Des programmes comprenant un nombre plus important de sessions mènent à des effets plus prononcés et prolongés. Un programme d'éducation visant une meilleure connaissance de la maladie et de la prise en charge par le patient même d'une exacerbation de BPCO, peut diminuer le nombre d'hospitalisations. Une intervention nutritionnelle doit être prise en considération chez les patients présentant une dénutrition ou une diminution de la masse musculaire. Les patients anxieux peuvent bénéficier d'un support psychosocial, tandis que l'intégration d'une prise en charge ergothérapeutique peut promouvoir l'autonomie du patient dans ses activités quotidiennes et réduire son isolement. Tout programme de réhabilitation pulmonaire devrait être de préférence ambulatoire. Les programmes en hospitalisation doivent être réservés aux patients présentant des problèmes de transports ou un déconditionnement sévère. Les effets les plus convaincants d'un programme de réhabilitation pulmonaire organisé au domicile du patient ont été observés dans le contexte d'une maintenance des bénéfices obtenus après un programme ambulatoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13608
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°7 (octobre 2007) . - p. 602-14[article] Réhabilitation du malade atteint de bronchopneumopathie chronique obstructive [texte imprimé] / E. DEROM, Auteur ; E. MARCHAND, Auteur ; T. TROOSTERS, Auteur . - 2007 . - p. 602-14.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°7 (octobre 2007) . - p. 602-14
Mots-clés : Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) Rééducation respiratoire Résumé : La réhabilitation pulmonaire est une intervention transdisciplinaire et structurée destinée aux patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), qui peut réduire la dyspnée et améliorer l'intolérance à l'exercice et la qualité de vie. Cette intervention présente un rapport de coût/efficacité favorable ; elle diminue en effet l'utilisation des soins de santé. Le réentraînement à l'effort est un élément essentiel dans tout programme de réhabilitation pulmonaire. Pour obtenir des effets substantiels, on recommande de prescrire un réentraînement supervisé, à haute intensité, trois à cinq fois par semaine, avec des sessions ayant une durée de 30 à 45 minutes. Un minimum de 20 sessions est recommandé. Des programmes comprenant un nombre plus important de sessions mènent à des effets plus prononcés et prolongés. Un programme d'éducation visant une meilleure connaissance de la maladie et de la prise en charge par le patient même d'une exacerbation de BPCO, peut diminuer le nombre d'hospitalisations. Une intervention nutritionnelle doit être prise en considération chez les patients présentant une dénutrition ou une diminution de la masse musculaire. Les patients anxieux peuvent bénéficier d'un support psychosocial, tandis que l'intégration d'une prise en charge ergothérapeutique peut promouvoir l'autonomie du patient dans ses activités quotidiennes et réduire son isolement. Tout programme de réhabilitation pulmonaire devrait être de préférence ambulatoire. Les programmes en hospitalisation doivent être réservés aux patients présentant des problèmes de transports ou un déconditionnement sévère. Les effets les plus convaincants d'un programme de réhabilitation pulmonaire organisé au domicile du patient ont été observés dans le contexte d'une maintenance des bénéfices obtenus après un programme ambulatoire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13608 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt