Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur R. JOASSIN |
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Intérêt du bilan fonctionnel et de la rééducation dans la fasciite à éosinophile / R. JOASSIN in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 49, n°8 (novembre 2006)
[article]
Titre : Intérêt du bilan fonctionnel et de la rééducation dans la fasciite à éosinophile Type de document : texte imprimé Auteurs : R. JOASSIN, Auteur ; J. HUGE ; JP. BRASSEUR ; M. DONNAY, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p.577-580 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bilan fonctionnel Résumé : Objectif
Évaluer l'intérêt d'un bilan fonctionnel et de la rééducation dans la prise en charge de la fasciite à éosinophile.
Méthode
Description d'un cas clinique de fasciite à éosinophile incluant l'évolution du bilan fonctionnel après un traitement associant corticothérapie et rééducation.
Cas clinique
Patiente de 33 ans avec impotence fonctionnelle majeure à la marche et douleur au mollet gauche. Les examens biologiques et d'imagerie incluant une résonance magnétique nucléaire et scintigraphie osseuse objectivent une inflammation des tissus graisseux et musculaires de la région postérieure de la jambe. Une biopsie cutanéomusculaire confirme le diagnostic de fasciite avec éosinophiles. Une corticothérapie est alors instituée en parallèle à une prise en charge en rééducation afin de limiter les déficiences et incapacités fonctionnelles.
Discussion-conclusion
Le bilan fonctionnel utilisé comme indicateur objectif pourrait, en association avec le suivi du syndrome inflammatoire biologique permettre de conduire la décroissance des corticoïdes. En outre, une prise en charge en rééducation pourrait limiter les déficiences et l'incapacité fonctionnelle résultant de la fasciite à éosinophile.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13567
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°8 (novembre 2006) . - p.577-580[article] Intérêt du bilan fonctionnel et de la rééducation dans la fasciite à éosinophile [texte imprimé] / R. JOASSIN, Auteur ; J. HUGE ; JP. BRASSEUR ; M. DONNAY, Auteur . - 2006 . - p.577-580.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°8 (novembre 2006) . - p.577-580
Mots-clés : Bilan fonctionnel Résumé : Objectif
Évaluer l'intérêt d'un bilan fonctionnel et de la rééducation dans la prise en charge de la fasciite à éosinophile.
Méthode
Description d'un cas clinique de fasciite à éosinophile incluant l'évolution du bilan fonctionnel après un traitement associant corticothérapie et rééducation.
Cas clinique
Patiente de 33 ans avec impotence fonctionnelle majeure à la marche et douleur au mollet gauche. Les examens biologiques et d'imagerie incluant une résonance magnétique nucléaire et scintigraphie osseuse objectivent une inflammation des tissus graisseux et musculaires de la région postérieure de la jambe. Une biopsie cutanéomusculaire confirme le diagnostic de fasciite avec éosinophiles. Une corticothérapie est alors instituée en parallèle à une prise en charge en rééducation afin de limiter les déficiences et incapacités fonctionnelles.
Discussion-conclusion
Le bilan fonctionnel utilisé comme indicateur objectif pourrait, en association avec le suivi du syndrome inflammatoire biologique permettre de conduire la décroissance des corticoïdes. En outre, une prise en charge en rééducation pourrait limiter les déficiences et l'incapacité fonctionnelle résultant de la fasciite à éosinophile.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13567 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtTroubles vésicosphinctériens comme principale séquelle d'une maladie de décompression / Pierre Decavel in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 50, n°3 (avril 2007)
[article]
Titre : Troubles vésicosphinctériens comme principale séquelle d'une maladie de décompression : à propos d'un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Decavel, Auteur ; Dominic Pérennou ; R. JOASSIN ; BONNIAUD V., Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p.174-178 Langues : Français (fre) Mots-clés : Neurologie Vessie Sphincter Résumé : Introduction
Les troubles sphinctériens sont classiques à la phase aiguë de la maladie de décompression, précédant souvent les troubles moteurs. Leur persistance à distance de l'accident a été peu étudiée, et n'a jamais été rapportée comme principale séquelle.
Observation
Nous rapportons le cas d'une plongeuse expérimentée de 21 ans sans antécédent médical connu qui présente une myélite dysbarique au décours immédiat de deux plongées profondes successives. Les facteurs de risque en cause étaient un foramen ovale perméable et un profil de plongées dangereux. Le tableau clinique initial comprend une tétraparésie évoluant rapidement vers une paraparésie de niveau thoracique 10 associée à une rétention urinaire complète. Le traitement comprend une oxygénothérapie hyperbare en urgence, de l'aspirine, et un drainage continu des urines par une sonde à demeure. Deux IRM (imagerie par résonance magnétique) spinales et encéphaliques ainsi que les PES (potentiels évoqués sensitifs) étaient normales. Un allongement des temps de conduction motrice était retrouvé sur les PEM (potentiels évoqués moteurs). L'exploration neuro-urodynamique objectivait une hyperactivité du détrusor avec dyssynergie vésicosphinctérienne. La récupération motrice a été rapide et complète en quelques semaines permettant une reprise de la vie professionnelle et sportive (sauf plongée). À un an persistent cependant des urgenturies et des impériosités fécales mal maîtrisées par les médications et altérant la qualité de vie.
Conclusion
La myélite dysbarique représente 50% des troubles neurologiques secondaires à une maladie de décompression. L'hypothèse d'une ischémie veineuse semble la plus vraisemblable actuellement. L'existence d'un foramen ovale perméable est un facteur de risque important, de physiopathologie mal comprise. Les troubles sphinctériens, classiques à la phase aiguë, n'ont jamais été décrits comme principale séquelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13617
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°3 (avril 2007) . - p.174-178[article] Troubles vésicosphinctériens comme principale séquelle d'une maladie de décompression : à propos d'un cas [texte imprimé] / Pierre Decavel, Auteur ; Dominic Pérennou ; R. JOASSIN ; BONNIAUD V., Auteur . - 2007 . - p.174-178.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°3 (avril 2007) . - p.174-178
Mots-clés : Neurologie Vessie Sphincter Résumé : Introduction
Les troubles sphinctériens sont classiques à la phase aiguë de la maladie de décompression, précédant souvent les troubles moteurs. Leur persistance à distance de l'accident a été peu étudiée, et n'a jamais été rapportée comme principale séquelle.
Observation
Nous rapportons le cas d'une plongeuse expérimentée de 21 ans sans antécédent médical connu qui présente une myélite dysbarique au décours immédiat de deux plongées profondes successives. Les facteurs de risque en cause étaient un foramen ovale perméable et un profil de plongées dangereux. Le tableau clinique initial comprend une tétraparésie évoluant rapidement vers une paraparésie de niveau thoracique 10 associée à une rétention urinaire complète. Le traitement comprend une oxygénothérapie hyperbare en urgence, de l'aspirine, et un drainage continu des urines par une sonde à demeure. Deux IRM (imagerie par résonance magnétique) spinales et encéphaliques ainsi que les PES (potentiels évoqués sensitifs) étaient normales. Un allongement des temps de conduction motrice était retrouvé sur les PEM (potentiels évoqués moteurs). L'exploration neuro-urodynamique objectivait une hyperactivité du détrusor avec dyssynergie vésicosphinctérienne. La récupération motrice a été rapide et complète en quelques semaines permettant une reprise de la vie professionnelle et sportive (sauf plongée). À un an persistent cependant des urgenturies et des impériosités fécales mal maîtrisées par les médications et altérant la qualité de vie.
Conclusion
La myélite dysbarique représente 50% des troubles neurologiques secondaires à une maladie de décompression. L'hypothèse d'une ischémie veineuse semble la plus vraisemblable actuellement. L'existence d'un foramen ovale perméable est un facteur de risque important, de physiopathologie mal comprise. Les troubles sphinctériens, classiques à la phase aiguë, n'ont jamais été décrits comme principale séquelle.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13617 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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