[article]
Titre : |
Corrélation entre neurotracker et syndrome post-commotionnel |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
A. Radafy ; et al. |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p.94-98 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Commotion, Neurotracker, Sport |
Résumé : |
Introduction
L’objectif de cette étude était d’analyser une éventuelle corrélation entre la performance réalisée au neurotracker et la durée du syndrome post-commotionnel sur une population plus importante. Puis, nous avons aussi étudié l’influence de l’apparition ou non de symptômes lors du neurotracker sur la performance réalisée et sur la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Nous avons analysé rétrospectivement, sur une série de patients victimes de commotion, la corrélation de la performance au neurotracker lors de la 1re consultation post-commotion et la durée du syndrome post-commotionnel, et le fait de présenter ou non des symptômes lors du test avec la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Au total, 314 patients ont été inclus. Il existait une corrélation significative inverse entre la performance au neurotracker et la durée du syndrome post-commotionnel, R=?0,41 (p<0,001). Cette corrélation était de ?0,53 (p<0,001) chez les 126 patients ayant pu être vus à 48–72h. Les patients présentant des symptômes lors de la réalisation du test avaient significativement un syndrome post-commotionnel plus long, 53 [16,5–89,5] vs 14,3 [2–26,6] jours (p<0,001), et établissaient un moins bon score, 0,87 [0,64–1,1] vs 1,3 [0,9-1,7] (p<0,001).
Conclusion
Cette étude confirmait une corrélation entre le neurotracker et la sévérité du syndrome post-commotionnel. Afin de guider au mieux le délai de récupération, une consultation précoce est recommandée pour une prise en charge optimale.
Commotion, Neurotracker, Sport |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=111807 |
in Journal de traumatologie du sport > Vol 40, n°2 (juin 2023) . - p.94-98
[article] Corrélation entre neurotracker et syndrome post-commotionnel [texte imprimé] / A. Radafy ; et al. . - 2023 . - p.94-98. Langues : Français ( fre) in Journal de traumatologie du sport > Vol 40, n°2 (juin 2023) . - p.94-98
Mots-clés : |
Commotion, Neurotracker, Sport |
Résumé : |
Introduction
L’objectif de cette étude était d’analyser une éventuelle corrélation entre la performance réalisée au neurotracker et la durée du syndrome post-commotionnel sur une population plus importante. Puis, nous avons aussi étudié l’influence de l’apparition ou non de symptômes lors du neurotracker sur la performance réalisée et sur la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Nous avons analysé rétrospectivement, sur une série de patients victimes de commotion, la corrélation de la performance au neurotracker lors de la 1re consultation post-commotion et la durée du syndrome post-commotionnel, et le fait de présenter ou non des symptômes lors du test avec la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Au total, 314 patients ont été inclus. Il existait une corrélation significative inverse entre la performance au neurotracker et la durée du syndrome post-commotionnel, R=?0,41 (p<0,001). Cette corrélation était de ?0,53 (p<0,001) chez les 126 patients ayant pu être vus à 48–72h. Les patients présentant des symptômes lors de la réalisation du test avaient significativement un syndrome post-commotionnel plus long, 53 [16,5–89,5] vs 14,3 [2–26,6] jours (p<0,001), et établissaient un moins bon score, 0,87 [0,64–1,1] vs 1,3 [0,9-1,7] (p<0,001).
Conclusion
Cette étude confirmait une corrélation entre le neurotracker et la sévérité du syndrome post-commotionnel. Afin de guider au mieux le délai de récupération, une consultation précoce est recommandée pour une prise en charge optimale.
Commotion, Neurotracker, Sport |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=111807 |
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