Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur E. Rolland |
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Altérations architecturales et neuromusculaires du muscle vastus lateralis chez des patients âgés atteints de gonarthrose unilatérale / S. MAIRET in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 51, n°1 (janvier 2008)
[article]
Titre : Altérations architecturales et neuromusculaires du muscle vastus lateralis chez des patients âgés atteints de gonarthrose unilatérale Type de document : texte imprimé Auteurs : S. MAIRET, Auteur ; O. MAISETTI, Auteur ; E. Rolland, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 16-23 Langues : Français (fre) Mots-clés : Proprioception Gonarthrose Résumé : Objectifs. - L’objectif de ce travail est d’explorer les mécanismes responsables de la faiblesse musculaire chez des sujets âgés atteints de gonarthrose unilatérale. Population. -
Sept patients souffrant de gonarthrose unilatérale symptomatique ont participé à cette étude. Matériel. - L’estimation du sens de position articulaire et les tests de force maximale isométrique (MVC) du quadriceps sont réalisés dans un premier temps. L’activité électromyographique (EMG) du biceps femoris (BF), du rectus femoris (RF), du vastus lateralis (VL) et du vastus medialis (VM) est mesurée pour différents niveaux de contraction (25, 50, 75 et 100% MVC). L’efficience neuromusculaire du quadriceps est également calculée (MVC/EMG). Des clichés échographiques sont réalisés au niveau médian du VL à différents niveaux de contraction (25, 50, 75% MVC) pour l’analyse des paramètres architecturaux. Pour tous les tests effectués, les deux côtés sont comparés (sain versus arthrosique). Résultats. - La MVC des extenseurs du genou arthrosique est diminuée de 30% par rapport au côté sain. L’épaisseur du VL est inférieure de 10% du côté arthrosique. L’activité EMG du VL est similaire des deux côtés. Celle du RF, du VM et du BF est supérieure du côté sain par rapport au côté arthrosique. L’efficience neuromusculaire est supérieure de 26% du côté sain par rapport au côté arthrosique. Enfin, le sens de position articulaire est altéré de 33% du côté arthrosique. Conclusion. - La diminution de la force quadricipitale associée à la gonarthrose s’explique par une diminution de l’efficience neuromusculaire et de la masse musculaire. Les faibles modifications de pennation et de longueur des fascicules musculaires ne semblent pas impliquées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13506
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 51, n°1 (janvier 2008) . - pp. 16-23[article] Altérations architecturales et neuromusculaires du muscle vastus lateralis chez des patients âgés atteints de gonarthrose unilatérale [texte imprimé] / S. MAIRET, Auteur ; O. MAISETTI, Auteur ; E. Rolland, Auteur . - 2008 . - pp. 16-23.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 51, n°1 (janvier 2008) . - pp. 16-23
Mots-clés : Proprioception Gonarthrose Résumé : Objectifs. - L’objectif de ce travail est d’explorer les mécanismes responsables de la faiblesse musculaire chez des sujets âgés atteints de gonarthrose unilatérale. Population. -
Sept patients souffrant de gonarthrose unilatérale symptomatique ont participé à cette étude. Matériel. - L’estimation du sens de position articulaire et les tests de force maximale isométrique (MVC) du quadriceps sont réalisés dans un premier temps. L’activité électromyographique (EMG) du biceps femoris (BF), du rectus femoris (RF), du vastus lateralis (VL) et du vastus medialis (VM) est mesurée pour différents niveaux de contraction (25, 50, 75 et 100% MVC). L’efficience neuromusculaire du quadriceps est également calculée (MVC/EMG). Des clichés échographiques sont réalisés au niveau médian du VL à différents niveaux de contraction (25, 50, 75% MVC) pour l’analyse des paramètres architecturaux. Pour tous les tests effectués, les deux côtés sont comparés (sain versus arthrosique). Résultats. - La MVC des extenseurs du genou arthrosique est diminuée de 30% par rapport au côté sain. L’épaisseur du VL est inférieure de 10% du côté arthrosique. L’activité EMG du VL est similaire des deux côtés. Celle du RF, du VM et du BF est supérieure du côté sain par rapport au côté arthrosique. L’efficience neuromusculaire est supérieure de 26% du côté sain par rapport au côté arthrosique. Enfin, le sens de position articulaire est altéré de 33% du côté arthrosique. Conclusion. - La diminution de la force quadricipitale associée à la gonarthrose s’explique par une diminution de l’efficience neuromusculaire et de la masse musculaire. Les faibles modifications de pennation et de longueur des fascicules musculaires ne semblent pas impliquées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13506 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtDouleurs d'origine tibiale chez le sportif / H. de Labareyre in Journal de traumatologie du sport, vol. 17/3 (2000)
[article]
Titre : Douleurs d'origine tibiale chez le sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : H. de Labareyre ; ROGER B ; E. Rolland ; BOUVAT E Année de publication : 2000 Article en page(s) : P. 163-177 Résumé : Le tibia est fréquemment à l'origine de douleurs de jambe chez le sportif. Plusieurs entités différentes peuvent être distinguées. Elles possèdent chacune des spécificités cliniques et d'imagerie qui permettent de les différencier, bien que certaines zones d'incertitude persistent, en particulier en ce qui concerne les possibilités de passage d'une lésion à l'autre. La « périostite » relève probablement de phénomènes de souffrance, à la fois du périoste et des structures aponévrotiques qui s'insèrent sur le bord postéro-médial du tibia. Les sportifs de bon niveau « débutants» représentent la population la plus exposée. Le diagnostic clinique est fortement influencé par l'interrogatoire alors que l'examen retrouve essentiellement une douleur étendue sur 10 à 15 cm, le long du bord postéro-médial du tibia. L'imagerie n'aide que peu le diagnostic positif mais a un grand intérêt dans le diagnostic différentiel : la radiographie est normale, la scintigraphie peut montrer une hyperfixation modérée et étendue au temps osseux, la TDM et l'IRM sont rarement démonstratives. Le traitement est difficile avec une efficacité relative des orthèses plantaires et des massages périostés. La fracture de fatigue est une maladie d'adaptation de l'os à l'effort. Les contraintes actives musculaires sont à l'origine de phénomènes de tractions et de compressions, alors que la fatigue musculaire diminue la protection de l'os face aux ondes de choc. Il faut différencier les fractures de fatigue du bord postéro-médial du tibia, de bon pronostic, des fractures du bord antérieur, de mauvais pronostic. La douleur est proportionnelle à l'effort et l'examen retrouve une douleur très localisée sur le tibia, parfois un petit cal osseux. L'imagerie doit permettre de mettre en évidence la lésion. La radiographie n'est que rarement positive pour les fractures postéro-médiales mais est très démonstrative pour les fractures antérieures. La scintigraphie montre une hyperfixation intense et très localisée aux trois temps de l'examen. La TDM et l'IRM doivent permettre de visualiser les lésions non vues sur les radiographies. Le traitement des fractures postéro-médiales repose actuellement sur les orthèses jambières et l'évolution est favorable en quelques semaines, alors que les fractures antérieures peuvent conduire à la chirurgie chez les sportifs de bon niveau. Périostite et fracture de fatigue sont à considérer comme deux pathologies bien distinctes. Il existe fréquemment des phénomènes pré-fracturaires ou d'os hyperactif sans traduction clinique, avec des anomalies à l'imagerie. Il existe également des tableaux cliniques douloureux s'accompagnant d'anomalies atypiques à l'imagerie, qui ne rentrent ni dans le cadre des périostites, ni dans celui des fractures de fatigue : le terme d'hyperostose tibiale diffuse d'adaptation est proposé.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14331
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 163-177[article] Douleurs d'origine tibiale chez le sportif [texte imprimé] / H. de Labareyre ; ROGER B ; E. Rolland ; BOUVAT E . - 2000 . - P. 163-177.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 17/3 (2000) . - P. 163-177
Résumé : Le tibia est fréquemment à l'origine de douleurs de jambe chez le sportif. Plusieurs entités différentes peuvent être distinguées. Elles possèdent chacune des spécificités cliniques et d'imagerie qui permettent de les différencier, bien que certaines zones d'incertitude persistent, en particulier en ce qui concerne les possibilités de passage d'une lésion à l'autre. La « périostite » relève probablement de phénomènes de souffrance, à la fois du périoste et des structures aponévrotiques qui s'insèrent sur le bord postéro-médial du tibia. Les sportifs de bon niveau « débutants» représentent la population la plus exposée. Le diagnostic clinique est fortement influencé par l'interrogatoire alors que l'examen retrouve essentiellement une douleur étendue sur 10 à 15 cm, le long du bord postéro-médial du tibia. L'imagerie n'aide que peu le diagnostic positif mais a un grand intérêt dans le diagnostic différentiel : la radiographie est normale, la scintigraphie peut montrer une hyperfixation modérée et étendue au temps osseux, la TDM et l'IRM sont rarement démonstratives. Le traitement est difficile avec une efficacité relative des orthèses plantaires et des massages périostés. La fracture de fatigue est une maladie d'adaptation de l'os à l'effort. Les contraintes actives musculaires sont à l'origine de phénomènes de tractions et de compressions, alors que la fatigue musculaire diminue la protection de l'os face aux ondes de choc. Il faut différencier les fractures de fatigue du bord postéro-médial du tibia, de bon pronostic, des fractures du bord antérieur, de mauvais pronostic. La douleur est proportionnelle à l'effort et l'examen retrouve une douleur très localisée sur le tibia, parfois un petit cal osseux. L'imagerie doit permettre de mettre en évidence la lésion. La radiographie n'est que rarement positive pour les fractures postéro-médiales mais est très démonstrative pour les fractures antérieures. La scintigraphie montre une hyperfixation intense et très localisée aux trois temps de l'examen. La TDM et l'IRM doivent permettre de visualiser les lésions non vues sur les radiographies. Le traitement des fractures postéro-médiales repose actuellement sur les orthèses jambières et l'évolution est favorable en quelques semaines, alors que les fractures antérieures peuvent conduire à la chirurgie chez les sportifs de bon niveau. Périostite et fracture de fatigue sont à considérer comme deux pathologies bien distinctes. Il existe fréquemment des phénomènes pré-fracturaires ou d'os hyperactif sans traduction clinique, avec des anomalies à l'imagerie. Il existe également des tableaux cliniques douloureux s'accompagnant d'anomalies atypiques à l'imagerie, qui ne rentrent ni dans le cadre des périostites, ni dans celui des fractures de fatigue : le terme d'hyperostose tibiale diffuse d'adaptation est proposé.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14331 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLes enthésopathies tendineuses en pathologie du sport. II : Les lésions aigu s des membres inférieurs. III : Les lésions chroniques des membres supérieurs. IV : Les lésions chroniques des membres inférieurs / Jacques Rodineau in Journal de traumatologie du sport, vol. 9/4 (1992)
[article]
Titre : Les enthésopathies tendineuses en pathologie du sport. II : Les lésions aigu s des membres inférieurs. III : Les lésions chroniques des membres supérieurs. IV : Les lésions chroniques des membres inférieurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Rodineau ; BRETON G. ; ROY-CAMILLE R. ; COMBELLES F. ; SABOURIN F. ; DANIEL F. ; G. SAILLANT ; A. DARNAULT ; SEGAL P ; DEPREY F. ; WATIN-AUGOUARD L. ; DUREY A ; A. Griffon ; HEULEU J.-N. ; J.-F. Kouvalchouk ; LEFORT G. ; MERAT E. ; PEYRE M. ; PIERREDON R. ; RAGUET M. ; RIFAI Y. ; BENAZET J. P. ; E. Rolland Année de publication : 1992 Article en page(s) : p. 194 - 221 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14538
in Journal de traumatologie du sport > vol. 9/4 (1992) . - p. 194 - 221[article] Les enthésopathies tendineuses en pathologie du sport. II : Les lésions aigu s des membres inférieurs. III : Les lésions chroniques des membres supérieurs. IV : Les lésions chroniques des membres inférieurs [texte imprimé] / Jacques Rodineau ; BRETON G. ; ROY-CAMILLE R. ; COMBELLES F. ; SABOURIN F. ; DANIEL F. ; G. SAILLANT ; A. DARNAULT ; SEGAL P ; DEPREY F. ; WATIN-AUGOUARD L. ; DUREY A ; A. Griffon ; HEULEU J.-N. ; J.-F. Kouvalchouk ; LEFORT G. ; MERAT E. ; PEYRE M. ; PIERREDON R. ; RAGUET M. ; RIFAI Y. ; BENAZET J. P. ; E. Rolland . - 1992 . - p. 194 - 221.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 9/4 (1992) . - p. 194 - 221
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14538 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtENTORSES GRAVES DU RACHIS CERVICAL INFERIEUR CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS DECINQ CAS / LAPORTE C. in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : ENTORSES GRAVES DU RACHIS CERVICAL INFERIEUR CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS DECINQ CAS Type de document : texte imprimé Auteurs : LAPORTE C. ; E. Rolland ; G. SAILLANT ; RAMARE S. Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 159 - 164 Mots-clés : Rachis cervical Résumé : Les auteurs rapportent 5 cas d'entorses graves du rachis cervical inférieur survenues chez des sportifs traités entre 1980 et 1995 dans le service de chirurgie orthopédique du centre hospitalier de la Pitié. De nombreux sports comportent des risques de traumatisme sévère du rachis cervical (rugby, équitation, sport automobile...). Les entorses graves ne sont néanmoins pas des lésions fréquemment retrouvées. L'entorse grave est une pathologie traumatique rare secondaire à une rupture des éléments disco-ligamentaires intervertébraux. On distingue les entorses en flexion, les plus fréquentes, et les entorses en extension. Leur diagnostic est délicat car uniquement radiologique. Il s'agit d'une "subluxation" vertébrale diagnostiquée sur des radiographies du rachis cervical de profil au repos ou lors de clichés dynamiques réalisés à distance de l'accident. Le risque de méconnaître une telle lésion est de la laisser évoluer vers un cal vicieux car il n'existe aucune tendance à la cicatrisation du ligament longitudinal postérieur. En cas d'entorse grave en flexion sans signe neurologique ou simple irradiation douloureuse aux membres supérieurs, les auteurs proposent une fixation de l'étage lésé par voie postérieure. En revanche, une entorse grave en extension nécessite une stabilisation par voie antérieure.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14341
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 159 - 164[article] ENTORSES GRAVES DU RACHIS CERVICAL INFERIEUR CHEZ LE SPORTIF : A PROPOS DECINQ CAS [texte imprimé] / LAPORTE C. ; E. Rolland ; G. SAILLANT ; RAMARE S. . - 1997 . - p. 159 - 164.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 159 - 164
Mots-clés : Rachis cervical Résumé : Les auteurs rapportent 5 cas d'entorses graves du rachis cervical inférieur survenues chez des sportifs traités entre 1980 et 1995 dans le service de chirurgie orthopédique du centre hospitalier de la Pitié. De nombreux sports comportent des risques de traumatisme sévère du rachis cervical (rugby, équitation, sport automobile...). Les entorses graves ne sont néanmoins pas des lésions fréquemment retrouvées. L'entorse grave est une pathologie traumatique rare secondaire à une rupture des éléments disco-ligamentaires intervertébraux. On distingue les entorses en flexion, les plus fréquentes, et les entorses en extension. Leur diagnostic est délicat car uniquement radiologique. Il s'agit d'une "subluxation" vertébrale diagnostiquée sur des radiographies du rachis cervical de profil au repos ou lors de clichés dynamiques réalisés à distance de l'accident. Le risque de méconnaître une telle lésion est de la laisser évoluer vers un cal vicieux car il n'existe aucune tendance à la cicatrisation du ligament longitudinal postérieur. En cas d'entorse grave en flexion sans signe neurologique ou simple irradiation douloureuse aux membres supérieurs, les auteurs proposent une fixation de l'étage lésé par voie postérieure. En revanche, une entorse grave en extension nécessite une stabilisation par voie antérieure.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14341 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLuxation des tendons fibulaires / F. Khiami ; E. Rolland in EMC : Appareil locomoteur, (Janvier 2008)
[article]
Titre : Luxation des tendons fibulaires Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Khiami ; E. Rolland Année de publication : 2008 Article en page(s) : 14-098-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : rétinaculum traumatisme de la cheville luxation tendons fibulaires tendinoscopie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43951
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2008) . - 14-098-A-10 [Tome 3][article] Luxation des tendons fibulaires [texte imprimé] / F. Khiami ; E. Rolland . - 2008 . - 14-098-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Janvier 2008) . - 14-098-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : rétinaculum traumatisme de la cheville luxation tendons fibulaires tendinoscopie Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43951 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L'ostéotomie de valgisation / E. Rolland in Journal de traumatologie du sport, vol. 18/4 (2001)
PermalinkPathologie traumatique du coude du sportif / E. Rolland in Journal de traumatologie du sport, Vol. 15 supplément 1 (février 1998)
PermalinkRupture récente et ancienne du tendon calcanéen de l'adulte / Sylvie Besch in Journal de traumatologie du sport, vol. 25/2 (juin 2008)
PermalinkLE SYNDROME D'EFFORT CHRONIQUE DES LOGES ANTERO-EXTERNES DE JAMBE / J.-F. Kouvalchouk in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
PermalinkSynostose radio-ulnaire post-traumatique de l’adulte / P. DOHN in Journal de traumatologie du sport, vol. 25/1 (février 2008)
PermalinkTendinopathies achilléennes et fluoroquinolones / E. Rolland in Journal de traumatologie du sport, vol. 10/3 (1993)
PermalinkTraitement chirurgical des tendinites rotuliennes. A propos de 80 cas / G. SAILLANT in Journal de traumatologie du sport, vol. 8/3 (1991)
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