Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur CANNY-VERRIER F. |
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Vécu des enfants dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire / OPPENHEIM-GLUCKMAN H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°8 (novembre 2003)
[article]
Titre : Vécu des enfants dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire Type de document : texte imprimé Auteurs : OPPENHEIM-GLUCKMAN H. ; Marie-Thérèse AESCHBACHER ; CANNY-VERRIER F. ; MARIONI G. ; VIROLE B. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 525-538 Résumé : Objectifs.-Explorer le retentissement de la lésion cérébrale d'un parent par la recherche des symptômes psycho-affectifs de l'enfant et par l'étude de son vécu subjectif. Patients.-Dix-neuf enfants entre six et 12 ans au moment de la recherche ayant un parent cérébrolésé avec des séquelles cognitives vivant à domicile. Méthode.-Analyse de cas. Passation d'un autoquestionnaire d'anxiété, le R-CMAS et analyse qualitative des données d'un entretien semi-directif et du dessin de la famille. Résultats.-Quatre enfants (21 %) présentaient une anxiété pathologique identifiée par le R-CMAS. L'entretien semi-directif montrait que 16 enfants (84 %) avaient une représentation de la lésion cérébrale. La place symbolique du parent cérébrolésé était maintenue dans tous les cas. Un enfant présentait des conduites impulsives. L'analyse du dessin de la famille montrait des personnages sans interaction entre eux dans 16 cas (84 %). Trois enfants (15 %) représentaient le handicap réel, et dix-sept (89 %) des anomalies de la représentation picturale du corps des personnages qui concernaient le parent cérébrolésé et d'autres membres de la famille. Un signe " pathognomonique " était l'absence de main ou la représentation de mains amputées dans 14 cas (73 %). Un autre était la présence de personnages vacillants, " dans les airs " ou représentés comme des fantômes dans 13 cas (68 %). Conclusion.-Malgré la présence de peu de symptômes psycho-affectifs et derrière une relative adaptation, il existe un impact fort du handicap du parent sur le vécu de l'enfant et sur sa perception du " corps familial".
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13496
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°8 (novembre 2003) . - p. 525-538[article] Vécu des enfants dont l'un des parents est cérébrolésé : étude préliminaire [texte imprimé] / OPPENHEIM-GLUCKMAN H. ; Marie-Thérèse AESCHBACHER ; CANNY-VERRIER F. ; MARIONI G. ; VIROLE B. . - 2003 . - p. 525-538.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°8 (novembre 2003) . - p. 525-538
Résumé : Objectifs.-Explorer le retentissement de la lésion cérébrale d'un parent par la recherche des symptômes psycho-affectifs de l'enfant et par l'étude de son vécu subjectif. Patients.-Dix-neuf enfants entre six et 12 ans au moment de la recherche ayant un parent cérébrolésé avec des séquelles cognitives vivant à domicile. Méthode.-Analyse de cas. Passation d'un autoquestionnaire d'anxiété, le R-CMAS et analyse qualitative des données d'un entretien semi-directif et du dessin de la famille. Résultats.-Quatre enfants (21 %) présentaient une anxiété pathologique identifiée par le R-CMAS. L'entretien semi-directif montrait que 16 enfants (84 %) avaient une représentation de la lésion cérébrale. La place symbolique du parent cérébrolésé était maintenue dans tous les cas. Un enfant présentait des conduites impulsives. L'analyse du dessin de la famille montrait des personnages sans interaction entre eux dans 16 cas (84 %). Trois enfants (15 %) représentaient le handicap réel, et dix-sept (89 %) des anomalies de la représentation picturale du corps des personnages qui concernaient le parent cérébrolésé et d'autres membres de la famille. Un signe " pathognomonique " était l'absence de main ou la représentation de mains amputées dans 14 cas (73 %). Un autre était la présence de personnages vacillants, " dans les airs " ou représentés comme des fantômes dans 13 cas (68 %). Conclusion.-Malgré la présence de peu de symptômes psycho-affectifs et derrière une relative adaptation, il existe un impact fort du handicap du parent sur le vécu de l'enfant et sur sa perception du " corps familial".
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13496 Exemplaires (1)
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