[article] 
inKinésithérapie, la revue > 257 (Mai 2023) . - p. 52-58

Titre :	Fracture de matériel d’ostéosynthèse : mise en cause de la responsabilité professionnelle d’un kinésithérapeute. Expertise judiciaire
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Roland Rocton
Année de publication :	2023
Article en page(s) :	p. 52-58
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Ostéosynthèse  Responsabilité professionnelle  Accident de rééducation, Analyse scientifique des faits, Expertise, Faute, Kinésithérapeute, Raisonnement, Responsabilité professionnelle, Rupture d’une plaque d’ostéosynthèse
Résumé :	La reconnaissance d’une responsabilité repose sur 3 éléments : une faute, un dommage, et un lien de causalité direct et certain entre les deux. Dans la recherche de ces éléments, l’expert doit faire abstraction de ses premières impressions, et analyser précisément les éléments qui pourraient paraître évidents en l’absence de cette analyse. Dans cette affaire, un retour aux connaissances basiques de physique et de trigonométrie a permis de mettre en évidence l’impossibilité de lien entre la kinésithérapie réalisée et la rupture du matériel. La responsabilité du kinésithérapeute n’a donc pas été retenue, ce qui a permis de chercher ailleurs les causes d’une rupture de plaque d’ostéosynthèse.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=110616

[article] Fracture de matériel d’ostéosynthèse : mise en cause de la responsabilité professionnelle d’un kinésithérapeute. Expertise judiciaire [texte imprimé] / Roland Rocton . - 2023 . - p. 52-58.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 257 (Mai 2023) . - p. 52-58

Mots-clés :	Ostéosynthèse  Responsabilité professionnelle  Accident de rééducation, Analyse scientifique des faits, Expertise, Faute, Kinésithérapeute, Raisonnement, Responsabilité professionnelle, Rupture d’une plaque d’ostéosynthèse
Résumé :	La reconnaissance d’une responsabilité repose sur 3 éléments : une faute, un dommage, et un lien de causalité direct et certain entre les deux. Dans la recherche de ces éléments, l’expert doit faire abstraction de ses premières impressions, et analyser précisément les éléments qui pourraient paraître évidents en l’absence de cette analyse. Dans cette affaire, un retour aux connaissances basiques de physique et de trigonométrie a permis de mettre en évidence l’impossibilité de lien entre la kinésithérapie réalisée et la rupture du matériel. La responsabilité du kinésithérapeute n’a donc pas été retenue, ce qui a permis de chercher ailleurs les causes d’une rupture de plaque d’ostéosynthèse.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=110616