[article] 
inKinésithérapie, la revue > 254 (février 2023) . - p. 1-2

Titre :	Améliorer les pratiques rééducatives et réadaptatives pour aider les personnes diagnostiquées de paralysie cérébrale
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Michel Gedda
Année de publication :	2023
Article en page(s) :	p. 1-2
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Paralysie cérébrale  Haute Autorité de la Santé  Ergothérapie
Résumé :	La Paralysie cérébrale (PC) est la première cause de handicap moteur de l’enfance. Les séquelles de la lésion cérébrale néo-natale affectent la plupart des grandes fonctions, et perdurent durant toute la vie de ces enfants, de ces adolescents, de ces adultes, de ces personnes âgées.Si ce sont des « séquelles » selon la terminologie purement médicale, les conséquences de la paralysie cérébrale deviennent des caractéristiques individuelles, toujours différentes, qui marquent un être vivant, dans sa façon de se présenter, de bouger, d’évoluer et même de s’identifier au sein de la communauté humaine dans laquelle chacun est égal en droit et en liberté, en droit de vivre et de bâtir – dans ce temps unique – son expérience existentielle. Plus qu’ailleurs, la rééducation est une éducation puisque les lésions cérébrales altèrent un cerveau non-mâture. Il s’agit alors de se construire, d’évoluer ensemble – avec les rééducateurs – selon les possibilités et limitations à repousser.Plus qu’ailleurs, la rééducation est un respect de cet être riche de ses différences.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=110588

[article] Améliorer les pratiques rééducatives et réadaptatives pour aider les personnes diagnostiquées de paralysie cérébrale [texte imprimé] / Michel Gedda . - 2023 . - p. 1-2.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 254 (février 2023) . - p. 1-2

Mots-clés :	Paralysie cérébrale  Haute Autorité de la Santé  Ergothérapie
Résumé :	La Paralysie cérébrale (PC) est la première cause de handicap moteur de l’enfance. Les séquelles de la lésion cérébrale néo-natale affectent la plupart des grandes fonctions, et perdurent durant toute la vie de ces enfants, de ces adolescents, de ces adultes, de ces personnes âgées.Si ce sont des « séquelles » selon la terminologie purement médicale, les conséquences de la paralysie cérébrale deviennent des caractéristiques individuelles, toujours différentes, qui marquent un être vivant, dans sa façon de se présenter, de bouger, d’évoluer et même de s’identifier au sein de la communauté humaine dans laquelle chacun est égal en droit et en liberté, en droit de vivre et de bâtir – dans ce temps unique – son expérience existentielle. Plus qu’ailleurs, la rééducation est une éducation puisque les lésions cérébrales altèrent un cerveau non-mâture. Il s’agit alors de se construire, d’évoluer ensemble – avec les rééducateurs – selon les possibilités et limitations à repousser.Plus qu’ailleurs, la rééducation est un respect de cet être riche de ses différences.
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