Centre de Documentation Campus Montignies
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[article]
Titre : |
Conduite à tenir devant une recrudescence de spasticité chez un patient porteur d'une pompe à baclofène |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
N. Roche, Auteur ; BUSSEL B. ; EVEN-SCHNEIDER A., Auteur |
Année de publication : |
2007 |
Article en page(s) : |
p.93-99 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Spasticité Complication |
Résumé : |
Introduction
L'incidence des complications dans les suites de l'implantation d'une pompe à baclofène est relativement élevée. Leur diagnostic peut parfois s'avérer difficile. L'élaboration d'un arbre diagnostique paraît nécessaire afin d'avoir une attitude standardisée face à toute suspicion de dysfonctionnement du système d'infusion intrathécale de baclofène.
Méthode
Élaboration d'un arbre décisionnel destiné à établir un diagnostic étiologique d'une recrudescence de spasticité chez des patients porteurs d'une pompe à baclofène à partir des résultats de la littérature et de l'expérience de notre service.
Résultats
Les différentes causes pouvant être à l'origine d'une recrudescence de la spasticité sont évoquées et un cheminement diagnostique est proposé.
Discussion
Une attitude diagnostique standardisée et hiérarchisée a pour objectif un gain de temps pour la mise en évidence et la prise en charge de l'anomalie responsable d'une majoration de la spasticité chez un patient porteur d'un dispositif à infusion intrathécale de baclofène. Cela doit permettre d'améliorer la prise en charge thérapeutique du patient en restaurant rapidement une infusion IT de baclofène adéquate et de réduire la durée de l'hospitalisation et par conséquent le coût occasionné par ces dysfonctionnements de pompe. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=13514 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°2 (mars 2007) . - p.93-99
[article] Conduite à tenir devant une recrudescence de spasticité chez un patient porteur d'une pompe à baclofène [texte imprimé] / N. Roche, Auteur ; BUSSEL B. ; EVEN-SCHNEIDER A., Auteur . - 2007 . - p.93-99. Langues : Français ( fre) in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°2 (mars 2007) . - p.93-99
Mots-clés : |
Spasticité Complication |
Résumé : |
Introduction
L'incidence des complications dans les suites de l'implantation d'une pompe à baclofène est relativement élevée. Leur diagnostic peut parfois s'avérer difficile. L'élaboration d'un arbre diagnostique paraît nécessaire afin d'avoir une attitude standardisée face à toute suspicion de dysfonctionnement du système d'infusion intrathécale de baclofène.
Méthode
Élaboration d'un arbre décisionnel destiné à établir un diagnostic étiologique d'une recrudescence de spasticité chez des patients porteurs d'une pompe à baclofène à partir des résultats de la littérature et de l'expérience de notre service.
Résultats
Les différentes causes pouvant être à l'origine d'une recrudescence de la spasticité sont évoquées et un cheminement diagnostique est proposé.
Discussion
Une attitude diagnostique standardisée et hiérarchisée a pour objectif un gain de temps pour la mise en évidence et la prise en charge de l'anomalie responsable d'une majoration de la spasticité chez un patient porteur d'un dispositif à infusion intrathécale de baclofène. Cela doit permettre d'améliorer la prise en charge thérapeutique du patient en restaurant rapidement une infusion IT de baclofène adéquate et de réduire la durée de l'hospitalisation et par conséquent le coût occasionné par ces dysfonctionnements de pompe. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=13514 |
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Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Radiculalgie après implantation de pompe à baclofène |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
N. Roche ; BEN SMAIL D. ; F. Genêt ; SCHNITZLER A. |
Année de publication : |
2006 |
Article en page(s) : |
p.248-251 |
Résumé : |
Introduction. - Le baclofène intrathécal est utilisé depuis 1984 pour traiter les spasticités diffuses fonctionnellement gênantes. Après une phase de test répondant aux attentes du patient, de son entourage et du personnel soignant, une pompe à infusion intrathécale chronique de baclofène est implantée. Plusieurs complications postopératoires précoces peuvent survenir (infection, hématome, anomalies cicatricielles...). Objectif. - Description d'une complication méconnue consécutive à l'implantation d'une pompe à infusion intrathécale de baclofène. Méthodes. - Nous rapportons deux cas de radiculalgies isolées survenus dans les suites de l'implantation d'un système à infusion intrathécale de baclofène. La symptomatologie clinique est décrite ainsi que les résultats des examens radiologiques qui ont permis de déterminer l'étiologie de la radiculalgie. Résultats. - L'examen clinique était en faveur d'une radiculalgie de topographie SI gauche chez le premier patient et L5 gauche chez le second. La douleur évaluée par l'EVA était en moyenne de 7,5/10 (4 à 9/10). La tomodensitométrie rachidienne réalisée chez les deux patients montrait un conflit entre le cathéter et la racine concernée et éliminait toute autre cause de compression radiculaire. Devant la survenue d'une autre complication (déconnexion proximale du cathéter) un changement de cathéter a été réalisé chez le premier patient, permettant une disparition des douleurs. Chez le second patient, le traitement antalgique per os a permis de contrôler la symptomatologie douloureuse. Conclusion. - L'implantation d'une pompe à infusion intrathécale de baclofène peut être compliquée par l'apparition de radiculalgie secondaire à un conflit entre le cathéter et une racine nerveuse. Le diagnostic repose sur la tomodensitométrie rachidienne. Le traitement médical n'est pas toujours suffisant et une reprise chirurgicale du cathéter peut être nécessaire.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=13412 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°5 (juin 2006) . - p.248-251
[article] Radiculalgie après implantation de pompe à baclofène [texte imprimé] / N. Roche ; BEN SMAIL D. ; F. Genêt ; SCHNITZLER A. . - 2006 . - p.248-251. in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°5 (juin 2006) . - p.248-251
Résumé : |
Introduction. - Le baclofène intrathécal est utilisé depuis 1984 pour traiter les spasticités diffuses fonctionnellement gênantes. Après une phase de test répondant aux attentes du patient, de son entourage et du personnel soignant, une pompe à infusion intrathécale chronique de baclofène est implantée. Plusieurs complications postopératoires précoces peuvent survenir (infection, hématome, anomalies cicatricielles...). Objectif. - Description d'une complication méconnue consécutive à l'implantation d'une pompe à infusion intrathécale de baclofène. Méthodes. - Nous rapportons deux cas de radiculalgies isolées survenus dans les suites de l'implantation d'un système à infusion intrathécale de baclofène. La symptomatologie clinique est décrite ainsi que les résultats des examens radiologiques qui ont permis de déterminer l'étiologie de la radiculalgie. Résultats. - L'examen clinique était en faveur d'une radiculalgie de topographie SI gauche chez le premier patient et L5 gauche chez le second. La douleur évaluée par l'EVA était en moyenne de 7,5/10 (4 à 9/10). La tomodensitométrie rachidienne réalisée chez les deux patients montrait un conflit entre le cathéter et la racine concernée et éliminait toute autre cause de compression radiculaire. Devant la survenue d'une autre complication (déconnexion proximale du cathéter) un changement de cathéter a été réalisé chez le premier patient, permettant une disparition des douleurs. Chez le second patient, le traitement antalgique per os a permis de contrôler la symptomatologie douloureuse. Conclusion. - L'implantation d'une pompe à infusion intrathécale de baclofène peut être compliquée par l'apparition de radiculalgie secondaire à un conflit entre le cathéter et une racine nerveuse. Le diagnostic repose sur la tomodensitométrie rachidienne. Le traitement médical n'est pas toujours suffisant et une reprise chirurgicale du cathéter peut être nécessaire.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=13412 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Les travailleurs handicapés par une déficience neuromotrice en milieu ordinaire de travail. données d'un service interentreprises de santé au travail |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
SCHNITZLER A. ; J. AMEILLE ; Philippe Azouvi ; D'APOLITO A. C. ; F. Genêt ; N. Roche |
Année de publication : |
2006 |
Article en page(s) : |
p.119 - 124 |
Résumé : |
Introduction. - Mediclen est un service de médecine du travail en charge du suivi de 36 736 salariés (répartis dans 1770 entreprises) dans trois villes du département 92. Le taux d'emploi des personnes handicapées dans la population active française est mal connu (estimé à 4,4 %) et peu d'études font état de la particularité des salariés ayant une déficience neuromotrice. Sujet et méthode. - La récente informatisation du dossier médical,nous a permis d'isoler les 195 salariés reconnus travailleurs handicapés par la COTOREP (soit 0,55 % des 36 736 salariés suivis en 2002). Parmi ces derniers,26 avaient un déficit neuromoteur. Résultats. - Vingt et une atteintes neurologiques étaient centrales et cinq étaient périphériques ou neuromusculaires. L'âge moyen était de 44 ans,ils étaient employés dans des entreprises dont la médiane de l'effectif était de 43 salariés. Il n'y avait que deux salariés classés catégories C (handicap sévère). Les médecins du travail ont émis des restrictions d'aptitude pour la moitié des salariés. Pour cela les médecins du travail ont été conseillés par des neurologues (sept avis sur les dix donnés) et une seule fois par des médecins de médecine physique (MPR). Discussion-conclusion. - L'insertion professionnelle des personnes handicapées motrices est rare et difficile. Cette expérience de terrain montre les difficultés rencontrées,dans le monde du travail,par les patients handicapés moteurs et leur médecin du travail. Une collaboration étroite est nécessaire entre les services de santé au travail et les services de MPR pour améliorer l'insertion professionnelle de cette population de patients.
|
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=13318 |
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°3 (avril 2006) . - p.119 - 124
[article] Les travailleurs handicapés par une déficience neuromotrice en milieu ordinaire de travail. données d'un service interentreprises de santé au travail [texte imprimé] / SCHNITZLER A. ; J. AMEILLE ; Philippe Azouvi ; D'APOLITO A. C. ; F. Genêt ; N. Roche . - 2006 . - p.119 - 124. in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°3 (avril 2006) . - p.119 - 124
Résumé : |
Introduction. - Mediclen est un service de médecine du travail en charge du suivi de 36 736 salariés (répartis dans 1770 entreprises) dans trois villes du département 92. Le taux d'emploi des personnes handicapées dans la population active française est mal connu (estimé à 4,4 %) et peu d'études font état de la particularité des salariés ayant une déficience neuromotrice. Sujet et méthode. - La récente informatisation du dossier médical,nous a permis d'isoler les 195 salariés reconnus travailleurs handicapés par la COTOREP (soit 0,55 % des 36 736 salariés suivis en 2002). Parmi ces derniers,26 avaient un déficit neuromoteur. Résultats. - Vingt et une atteintes neurologiques étaient centrales et cinq étaient périphériques ou neuromusculaires. L'âge moyen était de 44 ans,ils étaient employés dans des entreprises dont la médiane de l'effectif était de 43 salariés. Il n'y avait que deux salariés classés catégories C (handicap sévère). Les médecins du travail ont émis des restrictions d'aptitude pour la moitié des salariés. Pour cela les médecins du travail ont été conseillés par des neurologues (sept avis sur les dix donnés) et une seule fois par des médecins de médecine physique (MPR). Discussion-conclusion. - L'insertion professionnelle des personnes handicapées motrices est rare et difficile. Cette expérience de terrain montre les difficultés rencontrées,dans le monde du travail,par les patients handicapés moteurs et leur médecin du travail. Une collaboration étroite est nécessaire entre les services de santé au travail et les services de MPR pour améliorer l'insertion professionnelle de cette population de patients.
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Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=13318 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Réserve | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |