[article] 
inLe Concours Médical > HS (juin 2012) . - p. 19-23

Titre :	Le contrôle de l'asthme : un défi pour le médecin généraliste
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	2012
Article en page(s) :	p. 19-23
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	ASTHME  TRAITEMENT  MALADIES RESPIRATOIRES
Résumé :	Touchant près de 10% des enfants et 5% des adultes, l'asthme est une des maladies chroniques les plus fréquentes. Selon la Société française de médecine générale (SFMG), l'asthme représenterait 2,56% des consultations en médecine générale. Le principal objectif du traitement est l'obtention d'un bon contrôle de la maladie afin de permettre aux patients de maintenir une bonne qualité de vie. Avec un traitement simple associant anti-inflammatoires et bronchodilatateurs, un "contrôle acceptable" de la maladie peut être obtenu chez deux tiers à trois quarts des patients, et un "contrôle parfait" chez un tiers des patients. Pourtant, en pratique, la situation est loin d'être aussi satisfaisante : plusieurs études s'accordent, en effet, sur le constat que l'asthme reste insuffisamment contrôlé, entraînant des répercussions importantes sur le plan clinique, la qualité de vie des patients et sur les coûts directs et indirects de la maladie.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=107475

[article] Le contrôle de l'asthme : un défi pour le médecin généraliste [texte imprimé] . - 2012 . - p. 19-23.
Langues : Français (fre)
in Le Concours Médical > HS (juin 2012) . - p. 19-23

Mots-clés :	ASTHME  TRAITEMENT  MALADIES RESPIRATOIRES
Résumé :	Touchant près de 10% des enfants et 5% des adultes, l'asthme est une des maladies chroniques les plus fréquentes. Selon la Société française de médecine générale (SFMG), l'asthme représenterait 2,56% des consultations en médecine générale. Le principal objectif du traitement est l'obtention d'un bon contrôle de la maladie afin de permettre aux patients de maintenir une bonne qualité de vie. Avec un traitement simple associant anti-inflammatoires et bronchodilatateurs, un "contrôle acceptable" de la maladie peut être obtenu chez deux tiers à trois quarts des patients, et un "contrôle parfait" chez un tiers des patients. Pourtant, en pratique, la situation est loin d'être aussi satisfaisante : plusieurs études s'accordent, en effet, sur le constat que l'asthme reste insuffisamment contrôlé, entraînant des répercussions importantes sur le plan clinique, la qualité de vie des patients et sur les coûts directs et indirects de la maladie.
Permalink :	./index.php?lvl=notice_display&id=107475