Titre :	Les méthodes ergothérapeutiques misent en place dans les milieux carcéraux pour limiter les restrictions de participation du détenu après sa sortie de prison
Type de document :	TFE / Mémoire
Auteurs :	Lucie Lecomte, Auteur ; Sophie Gigounon, Promoteur du mémoire
Editeur :	Montignies-sur-Sambre : Helha. Agronomie
Année de publication :	2022
Importance :	69p.
Note générale :	Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues :	Français (fre)
Index. décimale :	TFE Ergo TFE Ergothérapie
Résumé :	C’est près de 80 000 détenus qui sont incarcérés dans les prisons belges et française. La prison a pour rôle de punir l’individu mais également de le réinsérer correctement dans la société. En effet la peine d’enfermement a de multiples conséquences (physiques et/ou psychologiques) dues au changement d’environnement. Lors de son incarcération, le détenu est en état de privation occupationnelle. De plus, la société est en évolution constante, un détenu privé de toutes informations sur les divers changements sociaux et technologiques, rencontrera assurément, à sa sortie, de grandes difficultés pour s’approprier toutes les nouveautés rentrées dans la normalité et le quotidien de tous. Il semble alors important, en temps qu’ergothérapeute, d’anticiper et d’éviter les difficultés ainsi que les restrictions de participations que le détenu peut rencontrer à sa sortie. A travers ce travail, nous avons tenté de mettre en évidences les méthodes utiliser par les ergothérapeutes, pour pallier les éventuelles restrictions de participations grâce à un questionnaire. L’objectif de celui-ci était de mettre en évidence le rôle de l’ergothérapeute en milieu carcéral et la place qu’il avait pour préparer la réinsertion des détenus. Trois questionnaires ont été complétés. Ayant récolté un nombre insuffisant de réponses concernant le questionnaire, il a été judicieux de faire le lien avec la littérature concernant les méthodes centrées sur l’Occupation employées à l’étranger et de comparer les résultats. Nous avons pu mettre en évidence a travers ce travail, que la profession d’ergothérapeute est très peu représentée dans les milieux carcéraux en Belgique, en France et ailleurs, pourtant nous avons également constaté que les prisons utilisant des méthodes centrées sur l’occupation humaine favorisaient la réinsertion des détenus quand elle était pratiquée. L’ergothérapeute étant un professionnel spécialiste de l’Occupation humaine, il aurait tout à fait sa place dans le milieu carcéral, notamment concernant l’accompagnement dans la réinsertion du détenu pour limiter les effets néfastes de la privation occupationnelle imposée par l’environnement carcéral.
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Les méthodes ergothérapeutiques misent en place dans les milieux carcéraux pour limiter les restrictions de participation du détenu après sa sortie de prison [TFE / Mémoire] / Lucie Lecomte, Auteur ; Sophie Gigounon, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Helha. Agronomie, 2022 . - 69p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues : Français (fre)

Index. décimale :	TFE Ergo TFE Ergothérapie
Résumé :	C’est près de 80 000 détenus qui sont incarcérés dans les prisons belges et française. La prison a pour rôle de punir l’individu mais également de le réinsérer correctement dans la société. En effet la peine d’enfermement a de multiples conséquences (physiques et/ou psychologiques) dues au changement d’environnement. Lors de son incarcération, le détenu est en état de privation occupationnelle. De plus, la société est en évolution constante, un détenu privé de toutes informations sur les divers changements sociaux et technologiques, rencontrera assurément, à sa sortie, de grandes difficultés pour s’approprier toutes les nouveautés rentrées dans la normalité et le quotidien de tous. Il semble alors important, en temps qu’ergothérapeute, d’anticiper et d’éviter les difficultés ainsi que les restrictions de participations que le détenu peut rencontrer à sa sortie. A travers ce travail, nous avons tenté de mettre en évidences les méthodes utiliser par les ergothérapeutes, pour pallier les éventuelles restrictions de participations grâce à un questionnaire. L’objectif de celui-ci était de mettre en évidence le rôle de l’ergothérapeute en milieu carcéral et la place qu’il avait pour préparer la réinsertion des détenus. Trois questionnaires ont été complétés. Ayant récolté un nombre insuffisant de réponses concernant le questionnaire, il a été judicieux de faire le lien avec la littérature concernant les méthodes centrées sur l’Occupation employées à l’étranger et de comparer les résultats. Nous avons pu mettre en évidence a travers ce travail, que la profession d’ergothérapeute est très peu représentée dans les milieux carcéraux en Belgique, en France et ailleurs, pourtant nous avons également constaté que les prisons utilisant des méthodes centrées sur l’occupation humaine favorisaient la réinsertion des détenus quand elle était pratiquée. L’ergothérapeute étant un professionnel spécialiste de l’Occupation humaine, il aurait tout à fait sa place dans le milieu carcéral, notamment concernant l’accompagnement dans la réinsertion du détenu pour limiter les effets néfastes de la privation occupationnelle imposée par l’environnement carcéral.
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