Titre : |
Les périodes de variations hormonales chez la femme et leur impact sur les lombalgies : Cas de la puberté, la maternité, la ménopause et la prise d’hormones |
Type de document : |
TFE / Mémoire |
Auteurs : |
Pauline Mubu, Auteur ; Cécile Defroidmont, Promoteur du mémoire |
Editeur : |
Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut |
Année de publication : |
2022 |
Importance : |
110p. |
Note générale : |
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
Résumé : |
Objectif : Ce mémoire a pour objectif de vérifier l’hypothèse selon laquelle les différentes périodes de fluctuations hormonales chez la femme ont une influence sur la genèse et le développement de lombalgies.
Méthodes : La recherche bibliographique a été réalisée grâce à la base de données PubMed et aux bibliographies des différents articles de la littérature scientifique. Au terme de la recherche, 27 études ont été retenues pour la réalisation de ce mémoire et leur fiabilité a été évaluée via la pyramide méthodologique des niveaux de preuves, proposée par le Oxford Centre for Evidence-Based Medicine (OCEBM).
Résultats : Malgré le manque d’unanimité entre les auteurs, on observe tout de même une tendance à travers les études. La puberté, la grossesse, la période post-partum et la ménopause seraient toutes des périodes plus enclines aux lombalgies, notamment suite aux variations hormonales qui les constituent mais la sphère bio-psycho-sociale jouerait également un rôle non négligeable. En effet, le surpoids, la sédentarité et la perception psychologique sont les facteurs de risque communs à chaque période. Pour ce qui est de la prise de contraception hormonale, les résultats tendent à démontrer qu’elle n’aurait pas d’influence sur les lombalgies. La prise d’un traitement hormonal substitutif lors de la périménopause montre des résultats plus disparates, qui divergent selon les études.
Conclusion : Les niveaux de preuve étant relativement peu élevés, ce mémoire ne permet pas de tirer des conclusions probantes quant à l’impact des différentes périodes de variations hormonales chez la femme sur les lombalgies. Il serait intéressant de réaliser des études supplémentaires afin de déterminer plus précisément s’il existe réellement une relation de causalité. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=105931 |
Les périodes de variations hormonales chez la femme et leur impact sur les lombalgies : Cas de la puberté, la maternité, la ménopause et la prise d’hormones [TFE / Mémoire] / Pauline Mubu, Auteur ; Cécile Defroidmont, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2022 . - 110p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
Résumé : |
Objectif : Ce mémoire a pour objectif de vérifier l’hypothèse selon laquelle les différentes périodes de fluctuations hormonales chez la femme ont une influence sur la genèse et le développement de lombalgies.
Méthodes : La recherche bibliographique a été réalisée grâce à la base de données PubMed et aux bibliographies des différents articles de la littérature scientifique. Au terme de la recherche, 27 études ont été retenues pour la réalisation de ce mémoire et leur fiabilité a été évaluée via la pyramide méthodologique des niveaux de preuves, proposée par le Oxford Centre for Evidence-Based Medicine (OCEBM).
Résultats : Malgré le manque d’unanimité entre les auteurs, on observe tout de même une tendance à travers les études. La puberté, la grossesse, la période post-partum et la ménopause seraient toutes des périodes plus enclines aux lombalgies, notamment suite aux variations hormonales qui les constituent mais la sphère bio-psycho-sociale jouerait également un rôle non négligeable. En effet, le surpoids, la sédentarité et la perception psychologique sont les facteurs de risque communs à chaque période. Pour ce qui est de la prise de contraception hormonale, les résultats tendent à démontrer qu’elle n’aurait pas d’influence sur les lombalgies. La prise d’un traitement hormonal substitutif lors de la périménopause montre des résultats plus disparates, qui divergent selon les études.
Conclusion : Les niveaux de preuve étant relativement peu élevés, ce mémoire ne permet pas de tirer des conclusions probantes quant à l’impact des différentes périodes de variations hormonales chez la femme sur les lombalgies. Il serait intéressant de réaliser des études supplémentaires afin de déterminer plus précisément s’il existe réellement une relation de causalité. |
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