Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h-16h30
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Titre : |
Sommeil et performance : L’impact de la privation partielle de sommeil d’une nuit sur les performances physiques d’un sportif confirmé la journée suivante |
Type de document : |
TFE / Mémoire |
Auteurs : |
Julian Presse, Auteur ; Véronique Vandercam, Promoteur du mémoire |
Editeur : |
Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut |
Année de publication : |
2022 |
Importance : |
107p. |
Note générale : |
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
Résumé : |
Objectif : Ce mémoire a pour but de voir si la privation partielle de sommeil peut avoir un impact sur les performances sportives d’un sujet sportif au lendemain de cette nuit difficile. Pour cela, nous ferons le point sur la littérature pour expliquer ce qu’est le sommeil, et sa place dans le bon fonctionnement du corps humain. Puis nous verrons l’impact que peut avoir le manque de sommeil d’une nuit sur deux types de performances : d’endurance et de force. Nous énoncerons aussi quelques méthodes qui pourraient permettre de pallier ce manque de sommeil.
Méthodes : La recherche bibliographique a été effectuée sur deux bases de données : PubMed et PEDro. Des critères de sélection ont été mis en place, tel qu’un score PEDro supérieur ou égale à 5/10 et une date de parution des articles datant d’au moins 2007. Ces différents critères et la recherche méthodologique nous ont permis d’en sélectionner 8.
Résultats : 8 études ont été sélectionnées et analysées sur l’impact de la privation partielle de sommeil sur les performances physiques aérobie et anaérobie chez les sportifs confirmés. Les résultats tendent à montrer une diminution des performances anaérobies l’après-midi après une privation partielle de sommeil la fin de nuit suivante. Aucun résultat significatif n’a été relevé sur l’impact de celle-ci en début de nuit, sur les performances de force pure, qu’elle soit réalisée le matin ou l’après-midi le jour suivant. Concernant les performances d’endurances, la privation partielle de sommeil n’avait aucun impact lorsqu’elles étaient réalisées le lendemain matin, et avait un impact significatif si elles étaient effectuées l’après-midi. Cet impact était majoré dans le cas d’une privation en fin de nuit.
Conclusion : Ces résultats semblent montrer un réel impact de la privation de sommeil sur les performances physiques d’un sportif confirmé le lendemain. Cependant, le manque d’études sur ce sujet précis, ainsi que le peu de sujets utilisés dans ces 8 études ne nous permettent pas d’objectiver ces résultats. D’autres études sur ce sujet seraient nécessaires. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=105898 |
Sommeil et performance : L’impact de la privation partielle de sommeil d’une nuit sur les performances physiques d’un sportif confirmé la journée suivante [TFE / Mémoire] / Julian Presse, Auteur ; Véronique Vandercam, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2022 . - 107p. Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
MK Mémoire Kinésithérapie |
Résumé : |
Objectif : Ce mémoire a pour but de voir si la privation partielle de sommeil peut avoir un impact sur les performances sportives d’un sujet sportif au lendemain de cette nuit difficile. Pour cela, nous ferons le point sur la littérature pour expliquer ce qu’est le sommeil, et sa place dans le bon fonctionnement du corps humain. Puis nous verrons l’impact que peut avoir le manque de sommeil d’une nuit sur deux types de performances : d’endurance et de force. Nous énoncerons aussi quelques méthodes qui pourraient permettre de pallier ce manque de sommeil.
Méthodes : La recherche bibliographique a été effectuée sur deux bases de données : PubMed et PEDro. Des critères de sélection ont été mis en place, tel qu’un score PEDro supérieur ou égale à 5/10 et une date de parution des articles datant d’au moins 2007. Ces différents critères et la recherche méthodologique nous ont permis d’en sélectionner 8.
Résultats : 8 études ont été sélectionnées et analysées sur l’impact de la privation partielle de sommeil sur les performances physiques aérobie et anaérobie chez les sportifs confirmés. Les résultats tendent à montrer une diminution des performances anaérobies l’après-midi après une privation partielle de sommeil la fin de nuit suivante. Aucun résultat significatif n’a été relevé sur l’impact de celle-ci en début de nuit, sur les performances de force pure, qu’elle soit réalisée le matin ou l’après-midi le jour suivant. Concernant les performances d’endurances, la privation partielle de sommeil n’avait aucun impact lorsqu’elles étaient réalisées le lendemain matin, et avait un impact significatif si elles étaient effectuées l’après-midi. Cet impact était majoré dans le cas d’une privation en fin de nuit.
Conclusion : Ces résultats semblent montrer un réel impact de la privation de sommeil sur les performances physiques d’un sportif confirmé le lendemain. Cependant, le manque d’études sur ce sujet précis, ainsi que le peu de sujets utilisés dans ces 8 études ne nous permettent pas d’objectiver ces résultats. D’autres études sur ce sujet seraient nécessaires. |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=105898 |
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