Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur REBEYROTTE I. |
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La desmopressine dans la prise en charge des vessies neurologiques : efficacité et tolérance / REBEYROTTE I. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 43, n°9 (décembre 2000)
[article]
Titre : La desmopressine dans la prise en charge des vessies neurologiques : efficacité et tolérance Type de document : texte imprimé Auteurs : REBEYROTTE I. ; BORIE M. J. ; Jean-Christophe Daviet ; P.J. Dudognon ; M. Munoz ; Jean-Yves Salle Année de publication : 2000 Article en page(s) : p. 498-506 Mots-clés : Neurologie Vessie Résumé : Objectifs : Évaluer l'efficacité et la tolérance de la desmopressine dans la prise en charge de la nycturie des vessies neurologiques d'étiologies diverses. Matériel et méthode : Notre étude rétrospective inclut six patients, atteints d'affections neurologiques diverses, qui présentent des troubles mictionnels à prédominance nocturne: pollakiurie, polyurie, fuites. L'exploration urodynamique a systématiquement révélé une instabilité vésicale, avec parfois une dyssynergie vésico-sphinctérienne. Le suivi a comporté l'analyse du catalogue mictionnel et la surveillance de la natrémie avant introduction de la desmopressine et ensuite tous les deux jours. Le traitement a été arrêté en cas d'hyponatrémie inférieure à 130 mmol L. La desmopressine a été utilisée sous forme de Minirin(r) spray nasal ou Minirin(r) Rhinyle tube nasal gradué, avec des doses de 5 à 10 g. Résultats : La polyurie et la pollakiurie nocturnes diminuent d'au moins 50 %, avec disparition des fuites chez tous les patients. Néanmoins, la diurèse nocturne reste supérieure à la diurèse diurne. Cinq patients sur six ont présenté une hyponatrémie inférieure à 130 mmol L entre le troisième et le sixième jour. Leur traitement a été arrêté. Deux patients ont souhaité le reprendre dès la normalisation de la natrémie. Les contrôles ultérieurs ont montré un maintien à la normale de la natrémie. Conclusion : Notre étude a confirmé l'efficacité de la desmopressine dans le traitement de la nycturie des vessies neurologiques. La surveillance biologique stricte a montré la survenue quasi-constante d'une hyponatrémie précoce, même aux faibles doses, modérée le plus souvent, réversible sous maintien de la restriction hydrique relative, et non récidivante malgré la reprise ou la poursuite du traitement.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 43, n°9 (décembre 2000) . - p. 498-506[article] La desmopressine dans la prise en charge des vessies neurologiques : efficacité et tolérance [texte imprimé] / REBEYROTTE I. ; BORIE M. J. ; Jean-Christophe Daviet ; P.J. Dudognon ; M. Munoz ; Jean-Yves Salle . - 2000 . - p. 498-506.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 43, n°9 (décembre 2000) . - p. 498-506
Mots-clés : Neurologie Vessie Résumé : Objectifs : Évaluer l'efficacité et la tolérance de la desmopressine dans la prise en charge de la nycturie des vessies neurologiques d'étiologies diverses. Matériel et méthode : Notre étude rétrospective inclut six patients, atteints d'affections neurologiques diverses, qui présentent des troubles mictionnels à prédominance nocturne: pollakiurie, polyurie, fuites. L'exploration urodynamique a systématiquement révélé une instabilité vésicale, avec parfois une dyssynergie vésico-sphinctérienne. Le suivi a comporté l'analyse du catalogue mictionnel et la surveillance de la natrémie avant introduction de la desmopressine et ensuite tous les deux jours. Le traitement a été arrêté en cas d'hyponatrémie inférieure à 130 mmol L. La desmopressine a été utilisée sous forme de Minirin(r) spray nasal ou Minirin(r) Rhinyle tube nasal gradué, avec des doses de 5 à 10 g. Résultats : La polyurie et la pollakiurie nocturnes diminuent d'au moins 50 %, avec disparition des fuites chez tous les patients. Néanmoins, la diurèse nocturne reste supérieure à la diurèse diurne. Cinq patients sur six ont présenté une hyponatrémie inférieure à 130 mmol L entre le troisième et le sixième jour. Leur traitement a été arrêté. Deux patients ont souhaité le reprendre dès la normalisation de la natrémie. Les contrôles ultérieurs ont montré un maintien à la normale de la natrémie. Conclusion : Notre étude a confirmé l'efficacité de la desmopressine dans le traitement de la nycturie des vessies neurologiques. La surveillance biologique stricte a montré la survenue quasi-constante d'une hyponatrémie précoce, même aux faibles doses, modérée le plus souvent, réversible sous maintien de la restriction hydrique relative, et non récidivante malgré la reprise ou la poursuite du traitement.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtÉpidémiologie des pieds varus et/ou équin un an après un premier accident vasculaire cérébral hémisphérique / VERDIE C. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 47, n°2 (mars 2004)
[article]
Titre : Épidémiologie des pieds varus et/ou équin un an après un premier accident vasculaire cérébral hémisphérique : à propos d'une cohorte de 86 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : VERDIE C. ; Jean-Yves Salle ; REBEYROTTE I. ; POPIELARZ S. ; M. Munoz ; P.J. Dudognon ; Jean-Christophe Daviet ; BORIE M. J. Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 81-86 Langues : Français (fre) Mots-clés : Epidémiologie Pied bot Locomotion Accident cérébrovasculaire démarche Résumé : Objectif.-Déterminer la fréquence des pieds varus et ou équin séquellaires et ses conséquences fonctionnelles dans les hémiplégies vasculaires stabilisées . Matériel et méthodes.-Étude prospective de suivi de cohorte, sur un an, de 86 hémiplégiques. Tous les patients ayant fait un premier AVC hémisphérique entre juillet 2001 et janvier 2002 ont été inclus. Nous avons procédé à un examen clinique et à une étude descriptive de la marche. Nous avons comparé les capacités fonctionnelles des patients porteurs d'un pied varus et ou équin à celles des patients n'en présentant pas à l'aide de l'indice de Barthel, la New Functional Ambulation Classification (NFAC), la vitesse de marche confortable sur dix mètres et le périmètre de marche. Résultats.-Une fréquence de 18 % de pieds varus et ou équin a été trouvée. Il n'y avait pas de différence de vitesse de marche (0,8 m s), sur la NFAC (5,6 vs 6.6 ; p > 0,05) et sur l'indice de Barthel (81 vs 88; p > 0,05) entre les patients avec et sans dysfonctionnement de pied. Aucun facteur pronostique n'a pu être dégagé en dehors du déficit moteur et de la spasticité. Discussion.-Les mécanismes physiopathologiques impliqués seraient la prédominance des muscles gastrocnémiens et soléaire sur le muscle tibial antérieur, associée à la faiblesse des muscles fibulaires. Le muscle tibial postérieur ne jouerait pas un rôle déterminant. La fréquence était faible à un an (18 %) et ses conséquences fonctionnelles semblaient limitées. La prise en charge spécialisée précoce et prolongée dont il bénéficie pourrait en être responsable.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°2 (mars 2004) . - p. 81-86[article] Épidémiologie des pieds varus et/ou équin un an après un premier accident vasculaire cérébral hémisphérique : à propos d'une cohorte de 86 patients [texte imprimé] / VERDIE C. ; Jean-Yves Salle ; REBEYROTTE I. ; POPIELARZ S. ; M. Munoz ; P.J. Dudognon ; Jean-Christophe Daviet ; BORIE M. J. . - 2004 . - p. 81-86.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°2 (mars 2004) . - p. 81-86
Mots-clés : Epidémiologie Pied bot Locomotion Accident cérébrovasculaire démarche Résumé : Objectif.-Déterminer la fréquence des pieds varus et ou équin séquellaires et ses conséquences fonctionnelles dans les hémiplégies vasculaires stabilisées . Matériel et méthodes.-Étude prospective de suivi de cohorte, sur un an, de 86 hémiplégiques. Tous les patients ayant fait un premier AVC hémisphérique entre juillet 2001 et janvier 2002 ont été inclus. Nous avons procédé à un examen clinique et à une étude descriptive de la marche. Nous avons comparé les capacités fonctionnelles des patients porteurs d'un pied varus et ou équin à celles des patients n'en présentant pas à l'aide de l'indice de Barthel, la New Functional Ambulation Classification (NFAC), la vitesse de marche confortable sur dix mètres et le périmètre de marche. Résultats.-Une fréquence de 18 % de pieds varus et ou équin a été trouvée. Il n'y avait pas de différence de vitesse de marche (0,8 m s), sur la NFAC (5,6 vs 6.6 ; p > 0,05) et sur l'indice de Barthel (81 vs 88; p > 0,05) entre les patients avec et sans dysfonctionnement de pied. Aucun facteur pronostique n'a pu être dégagé en dehors du déficit moteur et de la spasticité. Discussion.-Les mécanismes physiopathologiques impliqués seraient la prédominance des muscles gastrocnémiens et soléaire sur le muscle tibial antérieur, associée à la faiblesse des muscles fibulaires. Le muscle tibial postérieur ne jouerait pas un rôle déterminant. La fréquence était faible à un an (18 %) et ses conséquences fonctionnelles semblaient limitées. La prise en charge spécialisée précoce et prolongée dont il bénéficie pourrait en être responsable.
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Exclu du prêtÉvaluation de la reproductibilité de la mesure transcutanée de la pression partielle d'oxygène (TcPO2) au niveau de la main / Jean-Christophe Daviet in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°3 (mars 2001)
[article]
Titre : Évaluation de la reproductibilité de la mesure transcutanée de la pression partielle d'oxygène (TcPO2) au niveau de la main Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Christophe Daviet ; BORIE M. J. ; P.J. Dudognon ; LACROIX P. ; M. Munoz ; REBEYROTTE I. ; Jean-Yves Salle ; VERDIE C. Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 143-149 Mots-clés : Hémiplégie Algoneurodystrophie Résumé : Introduction : La mesure transcutanée de la pression partielle d'oxygène (TcPO) a été utilisée au membre supérieur par différentes équipes pour l'évaluation de l'algodystrophie de l'hémiplégique. Les résultats sont très disparates et aucune de ces études n'a vérifié la reproductibilité de cette technique dans cette indication. Notre travail avait pour but de contrôler la reproductibilité de la mesure de TcPO au membre supérieur chez des sujets témoins et de déterminer les manoeuvres les plus pertinentes pour l'évaluation de la réactivité vasculaire. Matériel et méthodes : Ont été inclus 18 sujets volontaires ne présentant pas de pathologie pouvant entraîner de variations de TcPO. Les mesures ont été réalisées à la face dorsale de la première commissure des deux mains deux jours de suite pour vérifier la reproductibilité avec un appareil utilisant une électrode polarographique. L'examen comprenait une mesure de la TcPO de base puis un test de déclivité, un test d'ischémie et un test d'inhalation d'oxygène. La reproductibilité a été évaluée par le calcul du coefficient de corrélation intra-classe. Résultats : Trente-six membres supérieurs ont été explorés. La mesure de base de TcPO et les paramètres étudiés lors des tests de provocation n'étaient pas reproductibles. Pour la TcPO de base, le coefficient de corrélation intra-classe était de 0,51 (0,23-0,72). La moyenne des différences entre deux mesures était de 7,89 + 7,6 mmHg, le coefficient de variation de 96 % et la précision de la mesure de 15,2 mmHg. Conclusion : La TcPO mesurée au dos de la main ne semble pas être suffisamment reproductible pour être appliquée en situation pathologique comme dans l'algodystrophie. Les travaux déjà publiés devront être validés par de nouvelles études de reproductibilité.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°3 (mars 2001) . - p. 143-149[article] Évaluation de la reproductibilité de la mesure transcutanée de la pression partielle d'oxygène (TcPO2) au niveau de la main [texte imprimé] / Jean-Christophe Daviet ; BORIE M. J. ; P.J. Dudognon ; LACROIX P. ; M. Munoz ; REBEYROTTE I. ; Jean-Yves Salle ; VERDIE C. . - 2001 . - p. 143-149.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°3 (mars 2001) . - p. 143-149
Mots-clés : Hémiplégie Algoneurodystrophie Résumé : Introduction : La mesure transcutanée de la pression partielle d'oxygène (TcPO) a été utilisée au membre supérieur par différentes équipes pour l'évaluation de l'algodystrophie de l'hémiplégique. Les résultats sont très disparates et aucune de ces études n'a vérifié la reproductibilité de cette technique dans cette indication. Notre travail avait pour but de contrôler la reproductibilité de la mesure de TcPO au membre supérieur chez des sujets témoins et de déterminer les manoeuvres les plus pertinentes pour l'évaluation de la réactivité vasculaire. Matériel et méthodes : Ont été inclus 18 sujets volontaires ne présentant pas de pathologie pouvant entraîner de variations de TcPO. Les mesures ont été réalisées à la face dorsale de la première commissure des deux mains deux jours de suite pour vérifier la reproductibilité avec un appareil utilisant une électrode polarographique. L'examen comprenait une mesure de la TcPO de base puis un test de déclivité, un test d'ischémie et un test d'inhalation d'oxygène. La reproductibilité a été évaluée par le calcul du coefficient de corrélation intra-classe. Résultats : Trente-six membres supérieurs ont été explorés. La mesure de base de TcPO et les paramètres étudiés lors des tests de provocation n'étaient pas reproductibles. Pour la TcPO de base, le coefficient de corrélation intra-classe était de 0,51 (0,23-0,72). La moyenne des différences entre deux mesures était de 7,89 + 7,6 mmHg, le coefficient de variation de 96 % et la précision de la mesure de 15,2 mmHg. Conclusion : La TcPO mesurée au dos de la main ne semble pas être suffisamment reproductible pour être appliquée en situation pathologique comme dans l'algodystrophie. Les travaux déjà publiés devront être validés par de nouvelles études de reproductibilité.
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Exclu du prêtFacteurs cliniques associés à la subluxation de l'épaule chez l'hémiplégique vasculaire / Jean-Christophe Daviet in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 45, n°9 (novembre 2002)
[article]
Titre : Facteurs cliniques associés à la subluxation de l'épaule chez l'hémiplégique vasculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Christophe Daviet ; BORIE M. J. ; P.J. Dudognon ; M. Munoz ; REBEYROTTE I. ; Jean-Yves Salle Année de publication : 2002 Article en page(s) : p. 505-509 Mots-clés : Hémiplégie Douleur Résumé : Objectifs : Déterminer les facteurs cliniques liés à la présence d'une subluxation de l'épaule dans une population d'hémiplégiques vasculaires. Matériel et méthode : Étude prospective portant sur 57 hémiplégiques vasculaires. L'évaluation clinique a été réalisée à l'entrée dans le service soit en moyenne 15 jours après l'accident vasculaire cérébral. La subluxation a été dépistée systématiquement par radiographie et quantifiée selon le score de de Bats. Le bilan clinique complet du membre supérieur évaluait la commande (index moteur), la spasticité des adducteurs d'épaule et du biceps (Ashworth), la sensibilité superficielle et profonde, l'héminégligence, la dépression (échelle MADRS). L'âge, l'hémisphère lésé et l'étiologie étaient également notés. Nous avons évalué la présence de ces différents facteurs en fonction de la présence d'une subluxation d'épaule. Les comparaisons ont été réalisées par le test U de Mann-Whitney et le test de X. Les coefficients de corrélation ont été estimés entre deux variables quantitatives. Une analyse multivariée par régression multiple pas à pas descendant a été effectuée en incluant l'ensemble des paramètres significatifs en univarié, la variable dépendante étant la SIGH. Résultats : Une subluxation était observée chez 32 % des hémiplégiques. Sa présence était liée à la gravité du déficit moteur (p < 0,0001), à la spasticité des adducteurs d'épaule (p = 0.028) et à l'âge (p = 0,036). Ces trois variables permettaient de prévoir l'existence d'une subluxation dans 78 % des cas et son absence dans 90 %. Statistiquement, le risque de subluxation était divisé par 1,62 (1.07-2.43) lorsque l'âge augmentait de 5 ans et par deux (1.33-2.94) lorsque l'index moteur augmentait de dix points. La sensibilité superficielle était à la limite de la significativité (p = 0,06). Conclusion : À côté des facteurs de risque classiques de subluxation qui sont l'importance du déficit moteur et la spasticité, cette étude montre que l'âge pourrait jouer un rôle indépendant. La perte d'élasticité des structures périarticulaires rencontrée au cours du vieillissement pourrait améliorer la coaptation passive de l'épaule.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13197
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 505-509[article] Facteurs cliniques associés à la subluxation de l'épaule chez l'hémiplégique vasculaire [texte imprimé] / Jean-Christophe Daviet ; BORIE M. J. ; P.J. Dudognon ; M. Munoz ; REBEYROTTE I. ; Jean-Yves Salle . - 2002 . - p. 505-509.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 45, n°9 (novembre 2002) . - p. 505-509
Mots-clés : Hémiplégie Douleur Résumé : Objectifs : Déterminer les facteurs cliniques liés à la présence d'une subluxation de l'épaule dans une population d'hémiplégiques vasculaires. Matériel et méthode : Étude prospective portant sur 57 hémiplégiques vasculaires. L'évaluation clinique a été réalisée à l'entrée dans le service soit en moyenne 15 jours après l'accident vasculaire cérébral. La subluxation a été dépistée systématiquement par radiographie et quantifiée selon le score de de Bats. Le bilan clinique complet du membre supérieur évaluait la commande (index moteur), la spasticité des adducteurs d'épaule et du biceps (Ashworth), la sensibilité superficielle et profonde, l'héminégligence, la dépression (échelle MADRS). L'âge, l'hémisphère lésé et l'étiologie étaient également notés. Nous avons évalué la présence de ces différents facteurs en fonction de la présence d'une subluxation d'épaule. Les comparaisons ont été réalisées par le test U de Mann-Whitney et le test de X. Les coefficients de corrélation ont été estimés entre deux variables quantitatives. Une analyse multivariée par régression multiple pas à pas descendant a été effectuée en incluant l'ensemble des paramètres significatifs en univarié, la variable dépendante étant la SIGH. Résultats : Une subluxation était observée chez 32 % des hémiplégiques. Sa présence était liée à la gravité du déficit moteur (p < 0,0001), à la spasticité des adducteurs d'épaule (p = 0.028) et à l'âge (p = 0,036). Ces trois variables permettaient de prévoir l'existence d'une subluxation dans 78 % des cas et son absence dans 90 %. Statistiquement, le risque de subluxation était divisé par 1,62 (1.07-2.43) lorsque l'âge augmentait de 5 ans et par deux (1.33-2.94) lorsque l'index moteur augmentait de dix points. La sensibilité superficielle était à la limite de la significativité (p = 0,06). Conclusion : À côté des facteurs de risque classiques de subluxation qui sont l'importance du déficit moteur et la spasticité, cette étude montre que l'âge pourrait jouer un rôle indépendant. La perte d'élasticité des structures périarticulaires rencontrée au cours du vieillissement pourrait améliorer la coaptation passive de l'épaule.
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