Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur BEN SMAIL D. |
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Effet de la toxine botulique A intradétrusorienne pour le traitement de l'hyperactivité vésicale d'origine neurologique / P. DENYS in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Effet de la toxine botulique A intradétrusorienne pour le traitement de l'hyperactivité vésicale d'origine neurologique Type de document : texte imprimé Auteurs : P. DENYS ; AYOUB N. ; BEN SMAIL D. ; CHARTIER-KASTLER E. ; ESCUDIE I. Thiry ; EVEN-SCHNEIDER A. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 326-328 Résumé : Objectif.-L'objectif de cet article est de déterminer la place de la toxine botulique dans l'arsenal thérapeutique des hyperactivités du détrusor neurologique. Méthode.-Il a été effectué une analyse de la littérature internationale à partire des banques de données PubMed et Medline. Résultat.-Huit articles ont été retenus traitant soit de l'utilisation de la toxine botulique A dans le traitement de l'hyperactivité neurologique sur des populations variées, soit de son utilisation dans un autre muscle lisse qui est le sphincter inférieur de l'oesophage. Discussion.-Les traitements habituels de l'hyperactivité de vessie d'origine neurologique font appel aux anticholinergiques par voie orale ou bien en cas d'inefficacité ou d'intolérance aux interventions chirurgicales de type entérocystoplastie. La toxine botulique intradétrusorienne à la dose de 300 unités semble permettre chez des patients candidats à une intervention chirurgicale une efficacité excellente sur les paramètres cliniques et urodynamiques tant en termes de capacité vésicale que de pression intradétrusorienne. En revanche, aucune étude contre placebo n'est à ce jour publiée, de même que des données sur les mécanismes d'action de la toxine sur le détrusor permettant d'envisager des modifications techniques telles que dose, dilution, nombre de points d'injection. Enfin la littérature ne permet pas de statuer sur la tolérance et l'efficacité à long terme de ce nouveau traitement pourtant extrêmement prometteur dans cette indication. Conclusion.-La toxine botulique injectée sous contrôle endoscopique permet une nette diminution de l'hyperactivité de vessie à court terme chez des patients résistants aux parasympathicolytiques. Les mécanismes d'action de la toxine ainsi que son efficacité à long terme ne sont pas actuellement rapportés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13098
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 326-328[article] Effet de la toxine botulique A intradétrusorienne pour le traitement de l'hyperactivité vésicale d'origine neurologique [texte imprimé] / P. DENYS ; AYOUB N. ; BEN SMAIL D. ; CHARTIER-KASTLER E. ; ESCUDIE I. Thiry ; EVEN-SCHNEIDER A. . - 2003 . - p. 326-328.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 326-328
Résumé : Objectif.-L'objectif de cet article est de déterminer la place de la toxine botulique dans l'arsenal thérapeutique des hyperactivités du détrusor neurologique. Méthode.-Il a été effectué une analyse de la littérature internationale à partire des banques de données PubMed et Medline. Résultat.-Huit articles ont été retenus traitant soit de l'utilisation de la toxine botulique A dans le traitement de l'hyperactivité neurologique sur des populations variées, soit de son utilisation dans un autre muscle lisse qui est le sphincter inférieur de l'oesophage. Discussion.-Les traitements habituels de l'hyperactivité de vessie d'origine neurologique font appel aux anticholinergiques par voie orale ou bien en cas d'inefficacité ou d'intolérance aux interventions chirurgicales de type entérocystoplastie. La toxine botulique intradétrusorienne à la dose de 300 unités semble permettre chez des patients candidats à une intervention chirurgicale une efficacité excellente sur les paramètres cliniques et urodynamiques tant en termes de capacité vésicale que de pression intradétrusorienne. En revanche, aucune étude contre placebo n'est à ce jour publiée, de même que des données sur les mécanismes d'action de la toxine sur le détrusor permettant d'envisager des modifications techniques telles que dose, dilution, nombre de points d'injection. Enfin la littérature ne permet pas de statuer sur la tolérance et l'efficacité à long terme de ce nouveau traitement pourtant extrêmement prometteur dans cette indication. Conclusion.-La toxine botulique injectée sous contrôle endoscopique permet une nette diminution de l'hyperactivité de vessie à court terme chez des patients résistants aux parasympathicolytiques. Les mécanismes d'action de la toxine ainsi que son efficacité à long terme ne sont pas actuellement rapportés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13098 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRadiculalgie après implantation de pompe à baclofène / N. Roche in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 49, n°5 (juin 2006)
[article]
Titre : Radiculalgie après implantation de pompe à baclofène Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Roche ; BEN SMAIL D. ; F. Genêt ; SCHNITZLER A. Année de publication : 2006 Article en page(s) : p.248-251 Résumé : Introduction. - Le baclofène intrathécal est utilisé depuis 1984 pour traiter les spasticités diffuses fonctionnellement gênantes. Après une phase de test répondant aux attentes du patient, de son entourage et du personnel soignant, une pompe à infusion intrathécale chronique de baclofène est implantée. Plusieurs complications postopératoires précoces peuvent survenir (infection, hématome, anomalies cicatricielles...). Objectif. - Description d'une complication méconnue consécutive à l'implantation d'une pompe à infusion intrathécale de baclofène. Méthodes. - Nous rapportons deux cas de radiculalgies isolées survenus dans les suites de l'implantation d'un système à infusion intrathécale de baclofène. La symptomatologie clinique est décrite ainsi que les résultats des examens radiologiques qui ont permis de déterminer l'étiologie de la radiculalgie. Résultats. - L'examen clinique était en faveur d'une radiculalgie de topographie SI gauche chez le premier patient et L5 gauche chez le second. La douleur évaluée par l'EVA était en moyenne de 7,5/10 (4 à 9/10). La tomodensitométrie rachidienne réalisée chez les deux patients montrait un conflit entre le cathéter et la racine concernée et éliminait toute autre cause de compression radiculaire. Devant la survenue d'une autre complication (déconnexion proximale du cathéter) un changement de cathéter a été réalisé chez le premier patient, permettant une disparition des douleurs. Chez le second patient, le traitement antalgique per os a permis de contrôler la symptomatologie douloureuse. Conclusion. - L'implantation d'une pompe à infusion intrathécale de baclofène peut être compliquée par l'apparition de radiculalgie secondaire à un conflit entre le cathéter et une racine nerveuse. Le diagnostic repose sur la tomodensitométrie rachidienne. Le traitement médical n'est pas toujours suffisant et une reprise chirurgicale du cathéter peut être nécessaire.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°5 (juin 2006) . - p.248-251[article] Radiculalgie après implantation de pompe à baclofène [texte imprimé] / N. Roche ; BEN SMAIL D. ; F. Genêt ; SCHNITZLER A. . - 2006 . - p.248-251.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°5 (juin 2006) . - p.248-251
Résumé : Introduction. - Le baclofène intrathécal est utilisé depuis 1984 pour traiter les spasticités diffuses fonctionnellement gênantes. Après une phase de test répondant aux attentes du patient, de son entourage et du personnel soignant, une pompe à infusion intrathécale chronique de baclofène est implantée. Plusieurs complications postopératoires précoces peuvent survenir (infection, hématome, anomalies cicatricielles...). Objectif. - Description d'une complication méconnue consécutive à l'implantation d'une pompe à infusion intrathécale de baclofène. Méthodes. - Nous rapportons deux cas de radiculalgies isolées survenus dans les suites de l'implantation d'un système à infusion intrathécale de baclofène. La symptomatologie clinique est décrite ainsi que les résultats des examens radiologiques qui ont permis de déterminer l'étiologie de la radiculalgie. Résultats. - L'examen clinique était en faveur d'une radiculalgie de topographie SI gauche chez le premier patient et L5 gauche chez le second. La douleur évaluée par l'EVA était en moyenne de 7,5/10 (4 à 9/10). La tomodensitométrie rachidienne réalisée chez les deux patients montrait un conflit entre le cathéter et la racine concernée et éliminait toute autre cause de compression radiculaire. Devant la survenue d'une autre complication (déconnexion proximale du cathéter) un changement de cathéter a été réalisé chez le premier patient, permettant une disparition des douleurs. Chez le second patient, le traitement antalgique per os a permis de contrôler la symptomatologie douloureuse. Conclusion. - L'implantation d'une pompe à infusion intrathécale de baclofène peut être compliquée par l'apparition de radiculalgie secondaire à un conflit entre le cathéter et une racine nerveuse. Le diagnostic repose sur la tomodensitométrie rachidienne. Le traitement médical n'est pas toujours suffisant et une reprise chirurgicale du cathéter peut être nécessaire.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13412 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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