Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur MONNIER G. |
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Dyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique / PARRATTE B. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Dyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : PARRATTE B. ; BONNIAUD V. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; MONNIER G. ; TATU L. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 319-325 Résumé : Introduction.-Les injections de toxine botulique (TB) dans le sphincter strié urétral représentent un traitement en expansion de la dyssynergie vésico-sphinctérienne (DVS), mais il reste pourtant mal codifié. Méthodologie.-Une revue de la littérature par recherche informatique PubMed, complétée par une recherche dans les Annales de réadaptation et de médecine physique et dans les compte-rendus de la Société internationale francophone d'urodynamique et de l'International Continence Society a permis de sélectionner 12 références avec PubMed, deux articles dans les Annales et deux rapports de congrès. Notre analyse s'est focalisée sur les indications, les protocoles d'utilisation et d'évaluation de TB. Résultats.-Utilisées pour la première fois en 1988 chez des patients blessés médullaires afin de lever un obstacle fonctionnel secondaire à une DSV, les injections de TB ont été dès lors une alternative thérapeutique efficace dans la prise en charge des troubles urinaires avec DSV. Elles ont été proposées chez des patients neurologiques incapables de réaliser des sondages intermittents, après échec des traitements médicamenteux et avant d'envisager une intervention chirurgicale. Les critères d'évaluation sont cliniques (augmentation de l'intervalle intermictionnel, diminution des résidus post-mictionnels), urodynamiques (amélioration de la vidange vésicale, augmentation de la capacité vésicale fonctionnelle et diminution des pressions urétrales) et électromyographiques (dénervation du sphincter strié urétral). Type, doses et méthodologie d'utilisation de TB restent cependant très hétérogènes. La durée d'action diffère de 2 à 12 mois selon les protocoles utilisés. Les injections transurétrales, réalisés sous cystoscopie ou transpérinéales, sous contrôle EMG, sont équivalentes en terme d'efficacité. Conclusion.-Devant des effets indésirables négligeables et des résultats satisfaisants, à moyen terme, nous encourageons l'utilisation de la TB comme un traitement de la DVS. Nous proposons une méthodologie pratique d'utilisation.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 319-325[article] Dyssynergie vésico-sphinctérienne et toxine botulique [texte imprimé] / PARRATTE B. ; BONNIAUD V. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; MONNIER G. ; TATU L. . - 2003 . - p. 319-325.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 319-325
Résumé : Introduction.-Les injections de toxine botulique (TB) dans le sphincter strié urétral représentent un traitement en expansion de la dyssynergie vésico-sphinctérienne (DVS), mais il reste pourtant mal codifié. Méthodologie.-Une revue de la littérature par recherche informatique PubMed, complétée par une recherche dans les Annales de réadaptation et de médecine physique et dans les compte-rendus de la Société internationale francophone d'urodynamique et de l'International Continence Society a permis de sélectionner 12 références avec PubMed, deux articles dans les Annales et deux rapports de congrès. Notre analyse s'est focalisée sur les indications, les protocoles d'utilisation et d'évaluation de TB. Résultats.-Utilisées pour la première fois en 1988 chez des patients blessés médullaires afin de lever un obstacle fonctionnel secondaire à une DSV, les injections de TB ont été dès lors une alternative thérapeutique efficace dans la prise en charge des troubles urinaires avec DSV. Elles ont été proposées chez des patients neurologiques incapables de réaliser des sondages intermittents, après échec des traitements médicamenteux et avant d'envisager une intervention chirurgicale. Les critères d'évaluation sont cliniques (augmentation de l'intervalle intermictionnel, diminution des résidus post-mictionnels), urodynamiques (amélioration de la vidange vésicale, augmentation de la capacité vésicale fonctionnelle et diminution des pressions urétrales) et électromyographiques (dénervation du sphincter strié urétral). Type, doses et méthodologie d'utilisation de TB restent cependant très hétérogènes. La durée d'action diffère de 2 à 12 mois selon les protocoles utilisés. Les injections transurétrales, réalisés sous cystoscopie ou transpérinéales, sous contrôle EMG, sont équivalentes en terme d'efficacité. Conclusion.-Devant des effets indésirables négligeables et des résultats satisfaisants, à moyen terme, nous encourageons l'utilisation de la TB comme un traitement de la DVS. Nous proposons une méthodologie pratique d'utilisation.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtHypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique / MONNIER G. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°6 (juillet 2003)
[article]
Titre : Hypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique Type de document : texte imprimé Auteurs : MONNIER G. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; PARRATTE B. ; TATU L. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 338-345 Résumé : Objectif-Les premières études cliniques font penser que la toxine botulique est efficace dans le traitement de l'hypersudation et de l'hypersialorrhée. Le but de ce travail est de faire le point sur l'évaluation actuelle d'une telle utilisation. Méthode.-Une revue de la littérature a été effectuée sur la base de données informatique Pub Med, complétée par la lecture de chapitres d'ouvrages. Les articles nous paraissant les plus attractifs en fonction de notre expérience personnelle, ont été sélectionnés. Résultats.-Malgré l'introduction récente de la toxine botulique dans le traitement de l'hyperhidrose focale, les parutions sont déjà nombreuses à ce sujet depuis 1997. Néanmoins les régions injectées ne sont pas recensées avec la même fréquence. L'hyperhidrose axillaire est le sujet le plus abondamment traité ; c'est aussi dans ce cadre et dans le syndrome de Frey que les meilleurs résultats sont obtenus. Les publications consacrées à l'hyperhidrose palmaire et surtout plantaire sont beaucoup plus rares, voire anecdotiques. L'efficacité des injections de toxine botulique y est moins affirmée. La littérature consacrée à l'hypersialorrhée est encore balbutiante. La réduction de la production de salive consécutive à l'injection intraparenchymateuse de toxine dans les glandes parotide et ou submandibulaire, raréfiant du même coup les phénomènes de bavage, a toutefois été démontrée. Dans l'une et l'autre indications, les techniques d'injection comme les doses optimales restent à préciser. Discussion.-Dans la mesure où la toxine botulique bloque toute transmission cholinergique, y compris du système nerveux autonome, il était plausible d'attendre un effet réducteur de la sudation et de la salivation provoqué par l'injection locale du produit. De fait, les premières publications ont démontré une telle efficacité sans effets secondaires graves. Pour l'hyperhidrose, l'attitude presque consensuelle qui se dégage, consiste à pratiquer des infiltrations strictement intra-épidermiques. Des injections réalisées au niveau des régions axillaires, des paumes de main, des soles plantaires, de la face ou d'autres territoires cutanés, c'est certainement l'hyperhidrose palmoplantaire qui est la moins accessible, en tout cas qui pose le plus de problèmes techniques en raison des difficultés à obtenir une bonne analgésie. Contre la sialorrhée et les phénomènes de bavage qui accompagnent certaines maladies neurologiques chroniques, la toxine botulique paraît avoir des effets très prometteurs. Toutefois l'objectif précis n'a pas encore été déterminé entre la glande parotide, la glande submandibulaire, ou les deux ? Les moyens de ciblage nécessaires et suffisants sont encore imprécis. Le nombre de sites par glande et les doses à injecter restent aussi à déterminer.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13213
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 338-345[article] Hypersialorrhée, hypersudation et toxine botulique [texte imprimé] / MONNIER G. ; COSSON A. ; METTON G. ; MICHEL F. ; PARRATTE B. ; TATU L. . - 2003 . - p. 338-345.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°6 (juillet 2003) . - p. 338-345
Résumé : Objectif-Les premières études cliniques font penser que la toxine botulique est efficace dans le traitement de l'hypersudation et de l'hypersialorrhée. Le but de ce travail est de faire le point sur l'évaluation actuelle d'une telle utilisation. Méthode.-Une revue de la littérature a été effectuée sur la base de données informatique Pub Med, complétée par la lecture de chapitres d'ouvrages. Les articles nous paraissant les plus attractifs en fonction de notre expérience personnelle, ont été sélectionnés. Résultats.-Malgré l'introduction récente de la toxine botulique dans le traitement de l'hyperhidrose focale, les parutions sont déjà nombreuses à ce sujet depuis 1997. Néanmoins les régions injectées ne sont pas recensées avec la même fréquence. L'hyperhidrose axillaire est le sujet le plus abondamment traité ; c'est aussi dans ce cadre et dans le syndrome de Frey que les meilleurs résultats sont obtenus. Les publications consacrées à l'hyperhidrose palmaire et surtout plantaire sont beaucoup plus rares, voire anecdotiques. L'efficacité des injections de toxine botulique y est moins affirmée. La littérature consacrée à l'hypersialorrhée est encore balbutiante. La réduction de la production de salive consécutive à l'injection intraparenchymateuse de toxine dans les glandes parotide et ou submandibulaire, raréfiant du même coup les phénomènes de bavage, a toutefois été démontrée. Dans l'une et l'autre indications, les techniques d'injection comme les doses optimales restent à préciser. Discussion.-Dans la mesure où la toxine botulique bloque toute transmission cholinergique, y compris du système nerveux autonome, il était plausible d'attendre un effet réducteur de la sudation et de la salivation provoqué par l'injection locale du produit. De fait, les premières publications ont démontré une telle efficacité sans effets secondaires graves. Pour l'hyperhidrose, l'attitude presque consensuelle qui se dégage, consiste à pratiquer des infiltrations strictement intra-épidermiques. Des injections réalisées au niveau des régions axillaires, des paumes de main, des soles plantaires, de la face ou d'autres territoires cutanés, c'est certainement l'hyperhidrose palmoplantaire qui est la moins accessible, en tout cas qui pose le plus de problèmes techniques en raison des difficultés à obtenir une bonne analgésie. Contre la sialorrhée et les phénomènes de bavage qui accompagnent certaines maladies neurologiques chroniques, la toxine botulique paraît avoir des effets très prometteurs. Toutefois l'objectif précis n'a pas encore été déterminé entre la glande parotide, la glande submandibulaire, ou les deux ? Les moyens de ciblage nécessaires et suffisants sont encore imprécis. Le nombre de sites par glande et les doses à injecter restent aussi à déterminer.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
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