Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur LOUIS F. |
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Déficits endocriniens post-traumatiques : analyse d'une série de 93 traumatismes craniens graves / I. Richard in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°1 (février 2001)
[article]
Titre : Déficits endocriniens post-traumatiques : analyse d'une série de 93 traumatismes craniens graves Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Richard ; LEMENE B. ; LOUIS F. ; Jean-François Mathé ; Brigitte Perrouin-Verbe ; ROME J. Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 19-25 Mots-clés : Hormone Traumatisme crânien Résumé : Objectifs : Mesurer dans une population de traumatisés crâniens graves l'incidence des déficits endocriniens, notamment chez les hommes l'incidence des hypotestostéronémies. Matériels et méthodes : Analyse rétrospective d'une série consécutive de 115 dossiers de traumatisés crâniens graves hospitalisés dans une unité de rééducation. Le bilan endocrinien est réalisé en routine lors de l'admission et comprend les dosages radio-immunologiques de T3, T4, TSH, testostérone ou oestradiol et progestérone, FSH, LH, cortisol. Vingt-deux dossiers sont incomplets et ont été exclus. L'analyse porte donc sur 93 dossiers (78 hommes). Résultats : Cette série retrouve un déficit thyroïdien partiel d'origine hypophysaire (T3 et T4 basses, TSH à la limite inférieure de la normale et s'élevant peu après test au TRH), et un diabète insipide. Il n'est retrouvé aucun panhypopituitarisme. L'incidence des hypogonadismes est de 28 %. Tous sont d'origine haute (testostérone basse, LH normale ou basse). Dans un cas l'origine hypothalamique est prouvée par une réponse explosive au test au GnRH, Aucune corrélation n'est retrouvée avec le score de Glasgow ou l'existence d'une fracture de la base. Discussion-Conclusion : Ces résultats prouvent que les déficits endocriniens post-traumatiques ne sont pas exceptionnels et que les hypotestostéronémies isolées sont fréquentes. Le mécanisme n'est sans doute pas seulement fonctionnel mais d'autres études incluant un suivi longitudinal et des prélèvements après un délai post-traumatique supérieur sont nécessaires pour l'affirmer. L'intérêt d'une substitution chez certains de ces patients devra faire l'objet de travaux.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 19-25[article] Déficits endocriniens post-traumatiques : analyse d'une série de 93 traumatismes craniens graves [texte imprimé] / I. Richard ; LEMENE B. ; LOUIS F. ; Jean-François Mathé ; Brigitte Perrouin-Verbe ; ROME J. . - 2001 . - p. 19-25.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°1 (février 2001) . - p. 19-25
Mots-clés : Hormone Traumatisme crânien Résumé : Objectifs : Mesurer dans une population de traumatisés crâniens graves l'incidence des déficits endocriniens, notamment chez les hommes l'incidence des hypotestostéronémies. Matériels et méthodes : Analyse rétrospective d'une série consécutive de 115 dossiers de traumatisés crâniens graves hospitalisés dans une unité de rééducation. Le bilan endocrinien est réalisé en routine lors de l'admission et comprend les dosages radio-immunologiques de T3, T4, TSH, testostérone ou oestradiol et progestérone, FSH, LH, cortisol. Vingt-deux dossiers sont incomplets et ont été exclus. L'analyse porte donc sur 93 dossiers (78 hommes). Résultats : Cette série retrouve un déficit thyroïdien partiel d'origine hypophysaire (T3 et T4 basses, TSH à la limite inférieure de la normale et s'élevant peu après test au TRH), et un diabète insipide. Il n'est retrouvé aucun panhypopituitarisme. L'incidence des hypogonadismes est de 28 %. Tous sont d'origine haute (testostérone basse, LH normale ou basse). Dans un cas l'origine hypothalamique est prouvée par une réponse explosive au test au GnRH, Aucune corrélation n'est retrouvée avec le score de Glasgow ou l'existence d'une fracture de la base. Discussion-Conclusion : Ces résultats prouvent que les déficits endocriniens post-traumatiques ne sont pas exceptionnels et que les hypotestostéronémies isolées sont fréquentes. Le mécanisme n'est sans doute pas seulement fonctionnel mais d'autres études incluant un suivi longitudinal et des prélèvements après un délai post-traumatique supérieur sont nécessaires pour l'affirmer. L'intérêt d'une substitution chez certains de ces patients devra faire l'objet de travaux.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13079 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtÉpilepsie post-traumatique : analyse rétrospective d'une série de 90traumatismes crâniens graves / I. Richard in Annales de réadaptation et de médecine physique, vol. 41/7 (novembre 1998)
[article]
Titre : Épilepsie post-traumatique : analyse rétrospective d'une série de 90traumatismes crâniens graves Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Richard ; François ; GREVE I. M. de la ; LOUIS F. ; J. F. MATHE ; Brigitte Perrouin-Verbe Année de publication : 1998 Article en page(s) : p.409 - 415 Résumé : L'objectif de l'étude était de définir dans une population de TC graves non traités, et suivis en moyenne 4,4 années, l'incidence et les facteurs de Risque de l'épilepsie post-traumatique (EPT). À partir de l'analyse de leur série et d'une revue de la littérature, les auteurs ont proposé les commentaires suivants: l'incidence de l'EPT au décours de TC fermés graves observés en pratique civile est de l'ordre de 20 %. L'existence de lésions intracérébrales focales est le principal facteur de risque indépendant. L'existence d'une embarrure, de crises précoces sont des facteurs associés. Aucune étude randomisée à double insu ne conclut à l'efficacité dans la prévention de l'EPT d'un traitement systématique. Toutes les substances anticomitiales ont potentiellement des effets cognitifs délétères. Les auteurs ont proposé donc l'abstention thérapeutique dans tous les cas jusqu'à la survenue éventuelle d'au moins une crise comitiale au-delà de la première semaine d'évolution.
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in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 41/7 (novembre 1998) . - p.409 - 415[article] Épilepsie post-traumatique : analyse rétrospective d'une série de 90traumatismes crâniens graves [texte imprimé] / I. Richard ; François ; GREVE I. M. de la ; LOUIS F. ; J. F. MATHE ; Brigitte Perrouin-Verbe . - 1998 . - p.409 - 415.
in Annales de réadaptation et de médecine physique > vol. 41/7 (novembre 1998) . - p.409 - 415
Résumé : L'objectif de l'étude était de définir dans une population de TC graves non traités, et suivis en moyenne 4,4 années, l'incidence et les facteurs de Risque de l'épilepsie post-traumatique (EPT). À partir de l'analyse de leur série et d'une revue de la littérature, les auteurs ont proposé les commentaires suivants: l'incidence de l'EPT au décours de TC fermés graves observés en pratique civile est de l'ordre de 20 %. L'existence de lésions intracérébrales focales est le principal facteur de risque indépendant. L'existence d'une embarrure, de crises précoces sont des facteurs associés. Aucune étude randomisée à double insu ne conclut à l'efficacité dans la prévention de l'EPT d'un traitement systématique. Toutes les substances anticomitiales ont potentiellement des effets cognitifs délétères. Les auteurs ont proposé donc l'abstention thérapeutique dans tous les cas jusqu'à la survenue éventuelle d'au moins une crise comitiale au-delà de la première semaine d'évolution.
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