Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur TORTELLIER L. |
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Conséquences professionnelles des algodystrophies / M. Dauty in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 44, n°2 (mars 2001)
[article]
Titre : Conséquences professionnelles des algodystrophies Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Dauty ; DENIAUD C. ; DUBOIS A ; RENAUD P. ; TORTELLIER L. Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 89-94 Mots-clés : Prévention Algoneurodystrophie Métier Résumé : Objectif : L'algoneurodystrophie secondaire à un traumatisme ostéo-articulaire est responsable, malgré les soins de médecine physique et réadaptation, de déficiences articulaires qui diminuent la capacité à reprendre un emploi. A partir de ce constat, cette étude a pour but de connaître le devenir professionnel des patients atteints d'algoneurodystrophie post-traumatique. Matériel et méthode : Étude prospective de 18 mois, réalisée à partir de patients en âge de travailler, hospitalisés en service de médecine physique et réadaptation pour traumatisme ostéo-articulaire compliqué d'algoneurodystrophie. Description de la population et des facteurs de comorbidité empêchant la reprise professionnelle. Détermination de la durée d'arrêt de travail et des modalités de reprise professionnelle. Résultats : A partir de 16 patients susceptibles de retrouver un emploi, seulement 12 d'entre eux, ont pu reprendre à temps plein une profession avec un délai moyen de 10,5 mois + 5. L'importance du traumatisme en cause (polytraumatisme et multitraumatisme), la localisation articulaire distale de l'algodystrophie (poignet-main, cheville-pied), l'association à une comorbidité telle que l'alcoolisme chronique représentent des facteurs péjoratifs de reprise de travail. Des aménagements du poste de travail ont souvent été nécessaires six fois sur huit, en cas de professions non sédentaires. Dans les cas les plus compliqués, des inaptitudes au travail ont été prononcées avec demande de reclassement professionnel. Conclusion : L'algodystrophie post-traumatique représente un véritable défi pour le médecin de médecine physique et réadaptation, afin de minimiser les déficiences, pour aider le patient à redevenir un travailleur.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°2 (mars 2001) . - p. 89-94[article] Conséquences professionnelles des algodystrophies [texte imprimé] / M. Dauty ; DENIAUD C. ; DUBOIS A ; RENAUD P. ; TORTELLIER L. . - 2001 . - p. 89-94.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 44, n°2 (mars 2001) . - p. 89-94
Mots-clés : Prévention Algoneurodystrophie Métier Résumé : Objectif : L'algoneurodystrophie secondaire à un traumatisme ostéo-articulaire est responsable, malgré les soins de médecine physique et réadaptation, de déficiences articulaires qui diminuent la capacité à reprendre un emploi. A partir de ce constat, cette étude a pour but de connaître le devenir professionnel des patients atteints d'algoneurodystrophie post-traumatique. Matériel et méthode : Étude prospective de 18 mois, réalisée à partir de patients en âge de travailler, hospitalisés en service de médecine physique et réadaptation pour traumatisme ostéo-articulaire compliqué d'algoneurodystrophie. Description de la population et des facteurs de comorbidité empêchant la reprise professionnelle. Détermination de la durée d'arrêt de travail et des modalités de reprise professionnelle. Résultats : A partir de 16 patients susceptibles de retrouver un emploi, seulement 12 d'entre eux, ont pu reprendre à temps plein une profession avec un délai moyen de 10,5 mois + 5. L'importance du traumatisme en cause (polytraumatisme et multitraumatisme), la localisation articulaire distale de l'algodystrophie (poignet-main, cheville-pied), l'association à une comorbidité telle que l'alcoolisme chronique représentent des facteurs péjoratifs de reprise de travail. Des aménagements du poste de travail ont souvent été nécessaires six fois sur huit, en cas de professions non sédentaires. Dans les cas les plus compliqués, des inaptitudes au travail ont été prononcées avec demande de reclassement professionnel. Conclusion : L'algodystrophie post-traumatique représente un véritable défi pour le médecin de médecine physique et réadaptation, afin de minimiser les déficiences, pour aider le patient à redevenir un travailleur.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRéentraînement à l'effort entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT : comparaison de la pratique de la bicyclette et de la pratique du footing avec un groupe témoin non réentraîné / M. Dauty in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 49, n°5 (juin 2006)
[article]
Titre : Réentraînement à l'effort entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT : comparaison de la pratique de la bicyclette et de la pratique du footing avec un groupe témoin non réentraîné Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Dauty ; DUBOIS C. ; HUGUET D. ; M. Potiron-Josse ; TORTELLIER L. Année de publication : 2006 Article en page(s) : p.218-225 Mots-clés : Ligamentoplastie Réadaptation à l'effort Résumé : Objectif. - Étudier l'intérêt de la pratique de la bicyclette ou du footing par rapport à un groupe non réentraîné entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT (droit inteme-demi-tendineux). Méthode. - Tous les patients sportifs qui ont bénéficié d'une ligamentoplastie du genou par le même chirurgien selon la technique au DIDT (quatre brins) ont été inclus si le genou opéré était indolore à quatre mois postopératoires. Après consentement, les patients ont été tirés au sort afin de réaliser ou non un réentraînement à l'effort contrôlé et fondé, soit sur la pratique de la bicyclette, soit sur la pratique du footing, à raison de trois fois par semaine. L'effet du réentraînement a été évalué à partir de l'évolution de la force isocinétique (60 et 180°/s) des genoux à six mois postopératoires. Résultats. - Quinze patients ont pratiqué la bicyclette (groupe I [GI]), 17 patients le footing (groupe II [GII]) et 15 patients n'ont pas réalisé de réentraînement (groupe III [GIII]). Avant réentraînement, les trois groupes étaient comparables pour le déficit de force, mesuré aux vitesses angulaires de 60 et 180°/s, des extenseurs (GI : 33 % + 11 et 27 % + 8, GII : 30 % + 13 et 24 % + 10, GIII : 31 % + 15 et 24 % + 13) et des fléchisseurs (GI : 26 % + 11 et 20 % + 13, GII : 20 % + 14 et 17 % + 13, GIII : 19 % + 15 et 14 % + 15). Après réentrainement, les progrès mesurés à 60°/s des extenseurs et des fléchisseurs du genou opéré sont respectivement de 18 % + 9 et 16 % + 10 pour GI, 16 % + 9 et 11 % + 11 pour GII et 12 % + 15 et 8 % + 12 pour GIII. Les progrès mesurés à 180°/s suivent une évolution semblable. Après comparaison des trois groupes, aucune différence significative n'a été mise en évidence en fonction du type de réentraînement à l'effort. Conclusion. - Le réentraînement à l'effort d'un genou opéré d'une ligamentoplastie est nécessaire afin que le patient retrouve la possibilité de pratiquer son sport antérieur. Selon notre étude, la pratique aérobie de la bicyclette ou du footing du quatrième au sixième mois postopératoire n'améliore pas significativement la force des extenseurs et des fléchisseurs du genou opéré. Ces types de réntrainements sont bien tolérés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13420
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°5 (juin 2006) . - p.218-225[article] Réentraînement à l'effort entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT : comparaison de la pratique de la bicyclette et de la pratique du footing avec un groupe témoin non réentraîné [texte imprimé] / M. Dauty ; DUBOIS C. ; HUGUET D. ; M. Potiron-Josse ; TORTELLIER L. . - 2006 . - p.218-225.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°5 (juin 2006) . - p.218-225
Mots-clés : Ligamentoplastie Réadaptation à l'effort Résumé : Objectif. - Étudier l'intérêt de la pratique de la bicyclette ou du footing par rapport à un groupe non réentraîné entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT (droit inteme-demi-tendineux). Méthode. - Tous les patients sportifs qui ont bénéficié d'une ligamentoplastie du genou par le même chirurgien selon la technique au DIDT (quatre brins) ont été inclus si le genou opéré était indolore à quatre mois postopératoires. Après consentement, les patients ont été tirés au sort afin de réaliser ou non un réentraînement à l'effort contrôlé et fondé, soit sur la pratique de la bicyclette, soit sur la pratique du footing, à raison de trois fois par semaine. L'effet du réentraînement a été évalué à partir de l'évolution de la force isocinétique (60 et 180°/s) des genoux à six mois postopératoires. Résultats. - Quinze patients ont pratiqué la bicyclette (groupe I [GI]), 17 patients le footing (groupe II [GII]) et 15 patients n'ont pas réalisé de réentraînement (groupe III [GIII]). Avant réentraînement, les trois groupes étaient comparables pour le déficit de force, mesuré aux vitesses angulaires de 60 et 180°/s, des extenseurs (GI : 33 % + 11 et 27 % + 8, GII : 30 % + 13 et 24 % + 10, GIII : 31 % + 15 et 24 % + 13) et des fléchisseurs (GI : 26 % + 11 et 20 % + 13, GII : 20 % + 14 et 17 % + 13, GIII : 19 % + 15 et 14 % + 15). Après réentrainement, les progrès mesurés à 60°/s des extenseurs et des fléchisseurs du genou opéré sont respectivement de 18 % + 9 et 16 % + 10 pour GI, 16 % + 9 et 11 % + 11 pour GII et 12 % + 15 et 8 % + 12 pour GIII. Les progrès mesurés à 180°/s suivent une évolution semblable. Après comparaison des trois groupes, aucune différence significative n'a été mise en évidence en fonction du type de réentraînement à l'effort. Conclusion. - Le réentraînement à l'effort d'un genou opéré d'une ligamentoplastie est nécessaire afin que le patient retrouve la possibilité de pratiquer son sport antérieur. Selon notre étude, la pratique aérobie de la bicyclette ou du footing du quatrième au sixième mois postopératoire n'améliore pas significativement la force des extenseurs et des fléchisseurs du genou opéré. Ces types de réntrainements sont bien tolérés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13420 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt