Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur M. Potiron-Josse |
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Désentraînement et réentraînement du cycliste de haut niveau immobilisé par blessure / M. Dauty in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 48, n°2 (mars 2005)
[article]
Titre : Désentraînement et réentraînement du cycliste de haut niveau immobilisé par blessure Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Dauty ; DUBOIS A ; LOUVET S. ; M. Potiron-Josse Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 93-100 Mots-clés : Cyclisme Entraînement aérobie Réadaptation à l'effort Résumé : Objectif.-Définir le réentraînement à l'effort après blessure du cycliste de haut niveau en tenant compte des conséquences du désentraînement. Méthode.-À partir de trois cas cliniques et de l'analyse des conséquences du désentraînement, trois principes de réentraînement à l'effort ont été déterminés. Résultats,-1. Le cycliste de haut niveau n'est pas protégé et perd ses aptitudes à l'effort après quatre semaines d'inactivité. Le délai de récupération est d'autant plus important que les adaptations étaient importantes. 2. La récupération des aptitudes à l'effort est fondée sur des exercices réalisés de préférence à bicyclette en privilégiant l'intensité plutôt que le volume, tout en tenant compte des délais de consolidation de la blessure. 3. Le réentraînement à l'effort nécessite de connaître le niveau physiologique de l'individu par une évaluation de la force et de l'endurance avant d'envisager la reprise de l'entraînement et de la compétition. Conclusion.-La blessure du cycliste de haut niveau est à l'origine d'un déconditionnement à l'effort qui doit être évalué, afin que les soins de réadaptation sportive lui permettent de retrouver son état antérieur sans rechute, complication ou surentraînement.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13083
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°2 (mars 2005) . - p. 93-100[article] Désentraînement et réentraînement du cycliste de haut niveau immobilisé par blessure [texte imprimé] / M. Dauty ; DUBOIS A ; LOUVET S. ; M. Potiron-Josse . - 2005 . - p. 93-100.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 48, n°2 (mars 2005) . - p. 93-100
Mots-clés : Cyclisme Entraînement aérobie Réadaptation à l'effort Résumé : Objectif.-Définir le réentraînement à l'effort après blessure du cycliste de haut niveau en tenant compte des conséquences du désentraînement. Méthode.-À partir de trois cas cliniques et de l'analyse des conséquences du désentraînement, trois principes de réentraînement à l'effort ont été déterminés. Résultats,-1. Le cycliste de haut niveau n'est pas protégé et perd ses aptitudes à l'effort après quatre semaines d'inactivité. Le délai de récupération est d'autant plus important que les adaptations étaient importantes. 2. La récupération des aptitudes à l'effort est fondée sur des exercices réalisés de préférence à bicyclette en privilégiant l'intensité plutôt que le volume, tout en tenant compte des délais de consolidation de la blessure. 3. Le réentraînement à l'effort nécessite de connaître le niveau physiologique de l'individu par une évaluation de la force et de l'endurance avant d'envisager la reprise de l'entraînement et de la compétition. Conclusion.-La blessure du cycliste de haut niveau est à l'origine d'un déconditionnement à l'effort qui doit être évalué, afin que les soins de réadaptation sportive lui permettent de retrouver son état antérieur sans rechute, complication ou surentraînement.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPeut-on proposer la suppression des cannes anglaises en fonction de la vitesse de marche chez les patients porteurs d'une prothèse totale de genou ? / M. Dauty in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 46, n°2 (mars 2003)
[article]
Titre : Peut-on proposer la suppression des cannes anglaises en fonction de la vitesse de marche chez les patients porteurs d'une prothèse totale de genou ? Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Dauty ; BAZIN P. ; DUBOIS A ; GRANDET M. J. ; M. Potiron-Josse ; PRIOUX J. Année de publication : 2003 Article en page(s) : p. 91-96 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rééducation fonctionnelle Locomotion démarche Résumé : Résumé Objectif.-Déterminer l'arrêt des cannes anglaises à la marche chez un patient porteur d'une prothèse de genou à partir du test de vitesse maximale de marche. Méthode.-Quarante-six patients (73,6 + 4,6 ans) ont réalisé un test de vitesse maximale de marche sur 10 m, à l'aide de deux cannes anglaises, à la 3 semaine postopératoire de la mise en place d'une prothèse de genou pour gonarthrose. Deux groupes ont été individualisés en fonction de la nécessité du port des cannes anglaises pour marcher. Différentes valeurs seuil de vitesse maximale de marche ont ensuite été déterminées (courbe ROC) afin de savoir si ce paramètre pouvait définir l'abandon des cannes pour marcher (valeur prédictive). Résultats.-Les patients capables de stopper les cannes anglaises (n = 27) marchent plus vite, que les patients qui en ont encore besoin (n = 19), (0,86 +0,17 m s vs 0,65 + 0,14 m s ; p <0,01). À partir de la courbe ROC, 2 vitesses seuil ont été choisies: 1,11 m s (9 s) et 0.55 m s s (18 s). La vitesse supérieure ou égale à 1,11 m s présente une valeur prédictive positive de 86 % pour autoriser l'abandon des cannes à la marche. En dessous de 0,55 m s, la valeur prédictive positive est de 83 % pour faire garder les cannes à la marche. Entre ces deux vitesses, le test de vitesse de marche n'aide pas le clinicien à prendre la décision de faire abandonner les cannes anglaises. Conclusion.-Le test de vitesse maximale de marche apporte une aide à la prise de décision de faire abandonner les aides techniques à la marche d'un patient uniquement pour des vitesses de marche supérieures à 1,11m s.
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in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°2 (mars 2003) . - p. 91-96[article] Peut-on proposer la suppression des cannes anglaises en fonction de la vitesse de marche chez les patients porteurs d'une prothèse totale de genou ? [texte imprimé] / M. Dauty ; BAZIN P. ; DUBOIS A ; GRANDET M. J. ; M. Potiron-Josse ; PRIOUX J. . - 2003 . - p. 91-96.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 46, n°2 (mars 2003) . - p. 91-96
Mots-clés : Rééducation fonctionnelle Locomotion démarche Résumé : Résumé Objectif.-Déterminer l'arrêt des cannes anglaises à la marche chez un patient porteur d'une prothèse de genou à partir du test de vitesse maximale de marche. Méthode.-Quarante-six patients (73,6 + 4,6 ans) ont réalisé un test de vitesse maximale de marche sur 10 m, à l'aide de deux cannes anglaises, à la 3 semaine postopératoire de la mise en place d'une prothèse de genou pour gonarthrose. Deux groupes ont été individualisés en fonction de la nécessité du port des cannes anglaises pour marcher. Différentes valeurs seuil de vitesse maximale de marche ont ensuite été déterminées (courbe ROC) afin de savoir si ce paramètre pouvait définir l'abandon des cannes pour marcher (valeur prédictive). Résultats.-Les patients capables de stopper les cannes anglaises (n = 27) marchent plus vite, que les patients qui en ont encore besoin (n = 19), (0,86 +0,17 m s vs 0,65 + 0,14 m s ; p <0,01). À partir de la courbe ROC, 2 vitesses seuil ont été choisies: 1,11 m s (9 s) et 0.55 m s s (18 s). La vitesse supérieure ou égale à 1,11 m s présente une valeur prédictive positive de 86 % pour autoriser l'abandon des cannes à la marche. En dessous de 0,55 m s, la valeur prédictive positive est de 83 % pour faire garder les cannes à la marche. Entre ces deux vitesses, le test de vitesse de marche n'aide pas le clinicien à prendre la décision de faire abandonner les cannes anglaises. Conclusion.-Le test de vitesse maximale de marche apporte une aide à la prise de décision de faire abandonner les aides techniques à la marche d'un patient uniquement pour des vitesses de marche supérieures à 1,11m s.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtRéentraînement à l'effort entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT : comparaison de la pratique de la bicyclette et de la pratique du footing avec un groupe témoin non réentraîné / M. Dauty in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 49, n°5 (juin 2006)
[article]
Titre : Réentraînement à l'effort entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT : comparaison de la pratique de la bicyclette et de la pratique du footing avec un groupe témoin non réentraîné Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Dauty ; DUBOIS C. ; HUGUET D. ; M. Potiron-Josse ; TORTELLIER L. Année de publication : 2006 Article en page(s) : p.218-225 Mots-clés : Ligamentoplastie Réadaptation à l'effort Résumé : Objectif. - Étudier l'intérêt de la pratique de la bicyclette ou du footing par rapport à un groupe non réentraîné entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT (droit inteme-demi-tendineux). Méthode. - Tous les patients sportifs qui ont bénéficié d'une ligamentoplastie du genou par le même chirurgien selon la technique au DIDT (quatre brins) ont été inclus si le genou opéré était indolore à quatre mois postopératoires. Après consentement, les patients ont été tirés au sort afin de réaliser ou non un réentraînement à l'effort contrôlé et fondé, soit sur la pratique de la bicyclette, soit sur la pratique du footing, à raison de trois fois par semaine. L'effet du réentraînement a été évalué à partir de l'évolution de la force isocinétique (60 et 180°/s) des genoux à six mois postopératoires. Résultats. - Quinze patients ont pratiqué la bicyclette (groupe I [GI]), 17 patients le footing (groupe II [GII]) et 15 patients n'ont pas réalisé de réentraînement (groupe III [GIII]). Avant réentraînement, les trois groupes étaient comparables pour le déficit de force, mesuré aux vitesses angulaires de 60 et 180°/s, des extenseurs (GI : 33 % + 11 et 27 % + 8, GII : 30 % + 13 et 24 % + 10, GIII : 31 % + 15 et 24 % + 13) et des fléchisseurs (GI : 26 % + 11 et 20 % + 13, GII : 20 % + 14 et 17 % + 13, GIII : 19 % + 15 et 14 % + 15). Après réentrainement, les progrès mesurés à 60°/s des extenseurs et des fléchisseurs du genou opéré sont respectivement de 18 % + 9 et 16 % + 10 pour GI, 16 % + 9 et 11 % + 11 pour GII et 12 % + 15 et 8 % + 12 pour GIII. Les progrès mesurés à 180°/s suivent une évolution semblable. Après comparaison des trois groupes, aucune différence significative n'a été mise en évidence en fonction du type de réentraînement à l'effort. Conclusion. - Le réentraînement à l'effort d'un genou opéré d'une ligamentoplastie est nécessaire afin que le patient retrouve la possibilité de pratiquer son sport antérieur. Selon notre étude, la pratique aérobie de la bicyclette ou du footing du quatrième au sixième mois postopératoire n'améliore pas significativement la force des extenseurs et des fléchisseurs du genou opéré. Ces types de réntrainements sont bien tolérés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13420
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°5 (juin 2006) . - p.218-225[article] Réentraînement à l'effort entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT : comparaison de la pratique de la bicyclette et de la pratique du footing avec un groupe témoin non réentraîné [texte imprimé] / M. Dauty ; DUBOIS C. ; HUGUET D. ; M. Potiron-Josse ; TORTELLIER L. . - 2006 . - p.218-225.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 49, n°5 (juin 2006) . - p.218-225
Mots-clés : Ligamentoplastie Réadaptation à l'effort Résumé : Objectif. - Étudier l'intérêt de la pratique de la bicyclette ou du footing par rapport à un groupe non réentraîné entre le quatrième et le sixième mois après ligamentoplastie de genou au DIDT (droit inteme-demi-tendineux). Méthode. - Tous les patients sportifs qui ont bénéficié d'une ligamentoplastie du genou par le même chirurgien selon la technique au DIDT (quatre brins) ont été inclus si le genou opéré était indolore à quatre mois postopératoires. Après consentement, les patients ont été tirés au sort afin de réaliser ou non un réentraînement à l'effort contrôlé et fondé, soit sur la pratique de la bicyclette, soit sur la pratique du footing, à raison de trois fois par semaine. L'effet du réentraînement a été évalué à partir de l'évolution de la force isocinétique (60 et 180°/s) des genoux à six mois postopératoires. Résultats. - Quinze patients ont pratiqué la bicyclette (groupe I [GI]), 17 patients le footing (groupe II [GII]) et 15 patients n'ont pas réalisé de réentraînement (groupe III [GIII]). Avant réentraînement, les trois groupes étaient comparables pour le déficit de force, mesuré aux vitesses angulaires de 60 et 180°/s, des extenseurs (GI : 33 % + 11 et 27 % + 8, GII : 30 % + 13 et 24 % + 10, GIII : 31 % + 15 et 24 % + 13) et des fléchisseurs (GI : 26 % + 11 et 20 % + 13, GII : 20 % + 14 et 17 % + 13, GIII : 19 % + 15 et 14 % + 15). Après réentrainement, les progrès mesurés à 60°/s des extenseurs et des fléchisseurs du genou opéré sont respectivement de 18 % + 9 et 16 % + 10 pour GI, 16 % + 9 et 11 % + 11 pour GII et 12 % + 15 et 8 % + 12 pour GIII. Les progrès mesurés à 180°/s suivent une évolution semblable. Après comparaison des trois groupes, aucune différence significative n'a été mise en évidence en fonction du type de réentraînement à l'effort. Conclusion. - Le réentraînement à l'effort d'un genou opéré d'une ligamentoplastie est nécessaire afin que le patient retrouve la possibilité de pratiquer son sport antérieur. Selon notre étude, la pratique aérobie de la bicyclette ou du footing du quatrième au sixième mois postopératoire n'améliore pas significativement la force des extenseurs et des fléchisseurs du genou opéré. Ces types de réntrainements sont bien tolérés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13420 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt