[article] 
inScience & santé > 37 (Septembre 2017) . - p. 24-35

Titre :	Antibio-résistance : la guerre est déclarée !
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Françoise Dupuy Maury, Auteur
Année de publication :	2017
Article en page(s) :	p. 24-35
Langues :	Français (fre)
Résumé :	Depuis la découverte de la pénicilline, le premier antibiotique, en 1928 par Alexander Fleming, les bactéries n’ont eu de cesse de résister. Or, antibiotiques et bactéries résistantes sont partout : à l’hôpital, mais aussi dans le monde animal, et même dans l’eau des nappes phréatiques. Autant de milieux où les bactéries renforcent leur arsenal. D’où la nécessité de lutter contre cette antibiorésistance galopante selon le concept One world, One health, littéralement « un monde, une santé ». En France, c’est dans cet esprit qu’en novembre 2016 une feuille de route interministérielle a été publiée afin de diminuer la consommation d’antibiotiques de 25 % d’ici 2018 et de réduire les conséquences sanitaires et économiques de l’antibiorésistance. Une feuille de route à laquelle est associé le deuxième plan Ecoantibio centré sur la santé animale. Des défis ambitieux pour un enjeu colossal : éviter qu’une simple plaie devienne une maladie grave.
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[article] Antibio-résistance : la guerre est déclarée ! [texte imprimé] / Françoise Dupuy Maury, Auteur . - 2017 . - p. 24-35.
Langues : Français (fre)
in Science & santé > 37 (Septembre 2017) . - p. 24-35

Résumé :

Depuis la découverte de la pénicilline, le premier antibiotique, en 1928 par Alexander Fleming, les bactéries n’ont eu de cesse de résister. Or, antibiotiques et bactéries résistantes sont partout : à l’hôpital, mais aussi dans le monde animal, et même dans l’eau des nappes phréatiques. Autant de milieux où les bactéries renforcent leur arsenal. D’où la nécessité de lutter contre cette antibiorésistance galopante selon le concept One world, One health, littéralement « un monde, une santé ». En France, c’est dans cet esprit qu’en novembre 2016 une feuille de route interministérielle a été publiée afin de diminuer la consommation d’antibiotiques de 25 % d’ici 2018 et de réduire les conséquences sanitaires et économiques de l’antibiorésistance. Une feuille de route à laquelle est associé le deuxième plan Ecoantibio centré sur la santé animale. Des défis ambitieux pour un enjeu colossal : éviter qu’une simple plaie devienne une maladie grave.

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