Centre de Documentation HELHa - Loverval
Horaire d'ouverture :
Lundi, de 7h45 à 15h45
Mardi, de 7h45 à 15h45
Mercredi, de 8h à 16h
Jeudi, de 7h45 à 15h45
Vendredi, de 7h45 à 13h45
Fermeture les jours fériés et durant les congés scolaires
Durant les vacances d'été, la bibliothèque sera fermée du 12 juillet au 17 août.
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Détail de l'auteur
Auteur Gabriel Camps |
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Titre : La préhistoire : A la recherche du paradis perdu Type de document : texte imprimé Auteurs : Gabriel Camps Editeur : Paris : Librairie Académique Perrin Année de publication : 1982 Collection : Histoire et décadence Importance : 463 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-262-00267-1 Langues : Français (fre) Index. décimale : 903 Préhistoire Résumé : "Préhistorien et paléontologues s'interrogent sur le moment crucial de l'hominisation, celui non pas de l'achèvement - mais du franchissement du seuil au-delà duquel le jeu humain est lancé définitivement. Est-ce l'acquisition de la station verticale, l'accession à une capacité cérébrale de 700 cm3, la fabrication du premier outil ? Faut-il attendre les manifestations d'une vie spirituelle : sépulture donnée aux morts, monuments élevés aux puissances invisibles, épanouissement artistique profondément imprégné de religiosité ? Historiens et sociologues pourraient chercher ce moment d'accomplissement plus tard encore, à l'apparition d'une économie de production, mutation socio-économique vieille de moins de dix millénaires. La progression de l'humanité, depuis les pas hésitants d'un primate doué, ne saurait être conçue comme un déplacement linéaire de long d'un front continu. Cette irrégularité angoissante du progrès, s'associe à la connaissance de la mort pour développer en tout temps un pessimisme fondamental. L'homme ne cesse de regretter un âge d'or qui n'a jamais existé. Chaque individu garde au fond du cœur la nostalgie de sa jeunesse, chaque génération conserve l'image merveilleuse d'une belle époque sinon du bon vieux temps. Si le passé est paré du charme ineffable du péril dépassé et vaincu, le futur n'est que menace et source d'inquiétude, car la mort est pour demain. L'homme n'est pas naturellement bon ni le progrès nécessairement mauvais. Le jardin d'Eden est l'image d'un passé enjolivé par une mémoire trop sélective ; c'est surtout une aspiration. Le bonheur, un bonheur qui ne peut être le fruit du hasard ou de la nécessité, n'est pas derrière nous." La préhistoire : A la recherche du paradis perdu [texte imprimé] / Gabriel Camps . - Paris : Librairie Académique Perrin, 1982 . - 463 p. ; 24 cm. - (Histoire et décadence) .
ISBN : 978-2-262-00267-1
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 903 Préhistoire Résumé : "Préhistorien et paléontologues s'interrogent sur le moment crucial de l'hominisation, celui non pas de l'achèvement - mais du franchissement du seuil au-delà duquel le jeu humain est lancé définitivement. Est-ce l'acquisition de la station verticale, l'accession à une capacité cérébrale de 700 cm3, la fabrication du premier outil ? Faut-il attendre les manifestations d'une vie spirituelle : sépulture donnée aux morts, monuments élevés aux puissances invisibles, épanouissement artistique profondément imprégné de religiosité ? Historiens et sociologues pourraient chercher ce moment d'accomplissement plus tard encore, à l'apparition d'une économie de production, mutation socio-économique vieille de moins de dix millénaires. La progression de l'humanité, depuis les pas hésitants d'un primate doué, ne saurait être conçue comme un déplacement linéaire de long d'un front continu. Cette irrégularité angoissante du progrès, s'associe à la connaissance de la mort pour développer en tout temps un pessimisme fondamental. L'homme ne cesse de regretter un âge d'or qui n'a jamais existé. Chaque individu garde au fond du cœur la nostalgie de sa jeunesse, chaque génération conserve l'image merveilleuse d'une belle époque sinon du bon vieux temps. Si le passé est paré du charme ineffable du péril dépassé et vaincu, le futur n'est que menace et source d'inquiétude, car la mort est pour demain. L'homme n'est pas naturellement bon ni le progrès nécessairement mauvais. Le jardin d'Eden est l'image d'un passé enjolivé par une mémoire trop sélective ; c'est surtout une aspiration. Le bonheur, un bonheur qui ne peut être le fruit du hasard ou de la nécessité, n'est pas derrière nous." Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L007422 903 CAM 8220 Livre Bibliothèque principale Histoire Disponible