Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Les médecins légistes dans la lutte contre les violences conjugales en France / Marine Delaunay in La revue nouvelle, 5 (2023)
[article]
Titre : Les médecins légistes dans la lutte contre les violences conjugales en France Type de document : texte imprimé Auteurs : Marine Delaunay Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 53-58 Note générale : Issu du dossier "Violences de genre et médecine légale" Langues : Français (fre) Catégories : TS
Crimes sexuels # Crimes sexuels:Viol # Discrimination:Discrimination sexuelle # Femmes -- Violence envers # Femmes victimes de violence # Femmes victimes de violence:Femmes victimes de violence -- Protection, assistance, etc # Femmes:Femmes -- Santé et hygiène # Médecine # Victimes d'abus sexuels -- Protection, assistance, etc. # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc. # Violence conjugale # Violence conjugale:Violence conjugale -- Politique publiqueRésumé : "En France, face aux réticences des victimes de violences conjugales à porter plainte, des consultations médico-légales sans réquisition judiciaire préalable émergent. Cet article précise les raisons, les contours et la portée de la mise en place de ces nouveaux dispositifs. Il souligne également que leur création permet de repenser et de réarticuler la distribution des impératifs judiciaires, médicaux et sociaux dans la lutte contre les violences conjugales." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2023-5-page-53.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37580
in La revue nouvelle > 5 (2023) . - p. 53-58[article] Les médecins légistes dans la lutte contre les violences conjugales en France [texte imprimé] / Marine Delaunay . - 2023 . - p. 53-58.
Issu du dossier "Violences de genre et médecine légale"
Langues : Français (fre)
in La revue nouvelle > 5 (2023) . - p. 53-58Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER RNO 5 (2023) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Des médecins mieux soutenus dans la lutte contre les violences sexuelles / Institut pour l'égalité des femmes et des hommes in Journal du droit des jeunes, 386 (Juin 2019)
[article]
Titre : Des médecins mieux soutenus dans la lutte contre les violences sexuelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Institut pour l'égalité des femmes et des hommes Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 22-23 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Crimes sexuels # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "Bruxelles, 20 mai 2019 - L'Ordre des médecins et l'Institut pour l'égalité des femmes et des hommes ont élaboré, en collaboration avec le professeur Tom Goffin, de l'Université de Gand, un code de signalement des violences sexuelles. Les médecins disposent, par cet outil à la décision, des informations sur la façon d'assister au mieux les victimes de violences sexuelles, sans perdre de vue la déontologie." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29975
in Journal du droit des jeunes > 386 (Juin 2019) . - p. 22-23[article] Des médecins mieux soutenus dans la lutte contre les violences sexuelles [texte imprimé] / Institut pour l'égalité des femmes et des hommes . - 2019 . - p. 22-23.
Langues : Français (fre)
in Journal du droit des jeunes > 386 (Juin 2019) . - p. 22-23
Catégories : TS
Crimes sexuels # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "Bruxelles, 20 mai 2019 - L'Ordre des médecins et l'Institut pour l'égalité des femmes et des hommes ont élaboré, en collaboration avec le professeur Tom Goffin, de l'Université de Gand, un code de signalement des violences sexuelles. Les médecins disposent, par cet outil à la décision, des informations sur la façon d'assister au mieux les victimes de violences sexuelles, sans perdre de vue la déontologie." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29975 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité PER JDJ 386 (2019) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Sorti jusqu'au 19/04/2022
Titre : Peut-on demander à la justice qu'elle nous venge ? Type de document : enregistrement sonore non musical Editeur : Bruxelles [Belgique] : Parresia media Année de publication : 2023 Importance : 40 min Langues : Français (fre) Catégories : TS
Attentats # Justice réparatrice # Terrorisme # Victimes # Victimes du terrorisme # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "32 personnes sont mortes. 32 vies ont été pulvérisées par les visses, boulons et écrous des bombes artisanales construites par les terroristes. Ces personnes étaient de multiples nationalités : belge bien sûr, mais aussi néerlandaise, congolaise, suédoise, libérienne, britannique, marocaine, italienne, indienne, polonaise, chinoise et américaine. Parmi elles, aucune n’était directement concernée par Daesh ou impliquée dans le conflit en Syrie. Aucune n’était personnellement visée par les actes meurtriers. Elles avaient en commun d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Toutes également malchanceuses, 296 personnes ont été blessées, et un nombre encore bien plus grand ont été profondément traumatisées. Au final, c’est l’ensemble de notre société qui a été ébranlé, au point que, 7 années plus tard, le procès des attentats de Bruxelles arrive comme un événement, une partie de cette tragédie historique, une étape du deuil que nous avons à traverser. Dans pareille situation, un des rôles de la justice est d’éviter que les victimes encore vivantes ne soient prises d’un désir de vengeance. Elles en auraient pourtant toutes les raisons. La barbarie des actes justifie amplement le déploiement d’une colère sans limites. Cette colère n’est d’ailleurs pas circonscrite aux personnes directement lésées. Même si elles sont de multiples nationalités, ces victimes sont aussi les nôtres. Chacun d’entre nous aurait pu être à Zaventem ou à Maelbeek, ou y perdre des proches. A travers les personnes fauchées, c’est nous tous qui avons été attaqués, et sommes potentiellement habités du désir de nous venger. Y consentir reviendrait cependant à sortir de l’État de droits et c’est pour cela qu’il faut agir avec tous les moyens nécessaires pour que les victimes et la population saisissent que justice va être rendue. Dans le cas contraire, en plus de l’injustice des faits, se développera un autre malaise : le sentiment de l’injustice d’un système. Est-ce que, pour autant, on peut demander à l’État de « venger » les victimes dans le sens d’une punition qui dépendrait de l’ampleur des émotions en présence ? Est-ce que l’on peut demander vengeance dans le sens de traitements qui feraient ressentir aux coupables ce qu’ils ont causé aux victimes ? quelque chose qui leur permette de comprendre la violence, la déshumanisation et l’absurdité de ce qu’ils ont pu faire endurer ? La tentation est grande et on voit bien que ses effets ont déjà commencé. En construisant des cages démesurées, en faisant subir aux accusés des fouilles quotidiennes et humiliantes, en présumant coupable toute personne qui, de près ou de loin, était en contact avec les terroristes… l’histoire récente du procès illustre une dynamique de compensation émotionnelle bien plus qu’une recherche de principes et de droits humains. Les droits humains d’ailleurs, les coupables ont bien montré qu’ils s’en « lavaient les mains ». Serait-il juste que ces droits les protègent alors qu’eux-mêmes s’en sont détournés pour rejoindre Daesh ? Serait-il juste qu’ils en bénéficient alors qu’ils les ont volontairement bafoués en planifiant et perpétrant ces massacres ? En outre, certes la gestion des accusés est teintée de revanche, mais cela reste très mesuré au regard de ce que les victimes ont subi. Avalanche de questions et de sentiments, tous à mes yeux légitimes. En sens inverse pourtant et en guise d’édito, permettez-moi de souligner plusieurs pistes que je trouve intéressantes à ce niveau. La première est de prendre le temps de reconnaître le plus justement possible les faits, les dégâts et les injustices endurées. Il s’agit d’écouter, et de faire comprendre que rien ne sera oublié. Par l’ampleur de son dispositif, l’action de la justice doit répondre à la gravité de ce qui s’est passé. En plus de l’écoute des victimes, les moyens doivent ici permettre d’établir toutes les culpabilités : celle des auteurs directs, celle de leur complices plus ou moins actifs, celle de Daesh et de ses stratégies manipulatrices. Dans l’identification des culpabilités, le ressentiment évoqué plus haut peut cependant jouer un mauvais rôle. Nos émotions ont en effet tendance à réfléchir en miroir : comme les victimes individuelles sont connues, nous sommes souvent conduits à penser que les individus incriminables sont tout aussi faciles à identifier. Nos sentiments nous amènent à croire que leur culpabilité est à la mesure de l’innocence des victimes. Dans sa dynamique émotionnelle, le procès comporte une logique transformationnelle : convertissant l’innocence d’individus victimes en une culpabilité, de même intensité, des accusés. Mais, penser de la sorte, n’est-ce pas risquer de minimiser les culpabilités ? N’est-ce pas une manière de défendre les accusés pour qu’ils soient moins sanctionnés ? Non, car il n’est pas question de minimiser. Il est tout à fait possible de reconnaître la responsabilités des auteurs des attentats, tout en reconnaissant en même temps que d’autres aussi ont « leur part », tout en reconnaissant que certains mécanismes collectifs ont contribué à ce qui s’est passé. Peut-être d’ailleurs que c’est de cette manière que l’on rend le plus hommage à la mémoire des victimes. Établir les responsabilités individuelles du passé prémunit peu des dangers à venir. A l’inverse, en identifiant les forces collectives qui ont influencé la personnalité et le chemin des individus, on comprend mieux ce qu’il y a à changer. Pour éviter que l’Histoire ne « bégaie », il est indispensable de se demander, de tous ces événements, quelles sont les leçons à tirer. En menant cette réflexion, on se rend par exemple compte que le projet et la communication de Daesh ont joué un rôle. On se rend compte que notre police et la collaboration avec son homologue français auraient aussi pu mieux fonctionner. On se rend compte que les jeunes qui se sont fait exploser étaient des jeunes d’ici, qui ont grandi dans nos quartiers. Réfléchir à ce drame, c’est réaliser que, si les victimes sont les nôtres, les coupables le sont aussi. C’est pour cette raison qu’il est important de se demander tout ce qui, dans notre société, peut expliquer les trajectoires terroristes d’une partie de notre jeunesse. C’est pour cela aussi que, 7 années plus tard, il est fondamental de reprendre ces fragilités et de vérifier si, à leur niveau, nous avons réussi à avancer." En ligne : https://www.parresia.media/editions/peut-on-demander-a-la-justice-quelle-nous-ve [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38376 Peut-on demander à la justice qu'elle nous venge ? [enregistrement sonore non musical] . - Bruxelles (Belgique) : Parresia media, 2023 . - 40 min.
Langues : Français (fre)
Catégories : TS
Attentats # Justice réparatrice # Terrorisme # Victimes # Victimes du terrorisme # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "32 personnes sont mortes. 32 vies ont été pulvérisées par les visses, boulons et écrous des bombes artisanales construites par les terroristes. Ces personnes étaient de multiples nationalités : belge bien sûr, mais aussi néerlandaise, congolaise, suédoise, libérienne, britannique, marocaine, italienne, indienne, polonaise, chinoise et américaine. Parmi elles, aucune n’était directement concernée par Daesh ou impliquée dans le conflit en Syrie. Aucune n’était personnellement visée par les actes meurtriers. Elles avaient en commun d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Toutes également malchanceuses, 296 personnes ont été blessées, et un nombre encore bien plus grand ont été profondément traumatisées. Au final, c’est l’ensemble de notre société qui a été ébranlé, au point que, 7 années plus tard, le procès des attentats de Bruxelles arrive comme un événement, une partie de cette tragédie historique, une étape du deuil que nous avons à traverser. Dans pareille situation, un des rôles de la justice est d’éviter que les victimes encore vivantes ne soient prises d’un désir de vengeance. Elles en auraient pourtant toutes les raisons. La barbarie des actes justifie amplement le déploiement d’une colère sans limites. Cette colère n’est d’ailleurs pas circonscrite aux personnes directement lésées. Même si elles sont de multiples nationalités, ces victimes sont aussi les nôtres. Chacun d’entre nous aurait pu être à Zaventem ou à Maelbeek, ou y perdre des proches. A travers les personnes fauchées, c’est nous tous qui avons été attaqués, et sommes potentiellement habités du désir de nous venger. Y consentir reviendrait cependant à sortir de l’État de droits et c’est pour cela qu’il faut agir avec tous les moyens nécessaires pour que les victimes et la population saisissent que justice va être rendue. Dans le cas contraire, en plus de l’injustice des faits, se développera un autre malaise : le sentiment de l’injustice d’un système. Est-ce que, pour autant, on peut demander à l’État de « venger » les victimes dans le sens d’une punition qui dépendrait de l’ampleur des émotions en présence ? Est-ce que l’on peut demander vengeance dans le sens de traitements qui feraient ressentir aux coupables ce qu’ils ont causé aux victimes ? quelque chose qui leur permette de comprendre la violence, la déshumanisation et l’absurdité de ce qu’ils ont pu faire endurer ? La tentation est grande et on voit bien que ses effets ont déjà commencé. En construisant des cages démesurées, en faisant subir aux accusés des fouilles quotidiennes et humiliantes, en présumant coupable toute personne qui, de près ou de loin, était en contact avec les terroristes… l’histoire récente du procès illustre une dynamique de compensation émotionnelle bien plus qu’une recherche de principes et de droits humains. Les droits humains d’ailleurs, les coupables ont bien montré qu’ils s’en « lavaient les mains ». Serait-il juste que ces droits les protègent alors qu’eux-mêmes s’en sont détournés pour rejoindre Daesh ? Serait-il juste qu’ils en bénéficient alors qu’ils les ont volontairement bafoués en planifiant et perpétrant ces massacres ? En outre, certes la gestion des accusés est teintée de revanche, mais cela reste très mesuré au regard de ce que les victimes ont subi. Avalanche de questions et de sentiments, tous à mes yeux légitimes. En sens inverse pourtant et en guise d’édito, permettez-moi de souligner plusieurs pistes que je trouve intéressantes à ce niveau. La première est de prendre le temps de reconnaître le plus justement possible les faits, les dégâts et les injustices endurées. Il s’agit d’écouter, et de faire comprendre que rien ne sera oublié. Par l’ampleur de son dispositif, l’action de la justice doit répondre à la gravité de ce qui s’est passé. En plus de l’écoute des victimes, les moyens doivent ici permettre d’établir toutes les culpabilités : celle des auteurs directs, celle de leur complices plus ou moins actifs, celle de Daesh et de ses stratégies manipulatrices. Dans l’identification des culpabilités, le ressentiment évoqué plus haut peut cependant jouer un mauvais rôle. Nos émotions ont en effet tendance à réfléchir en miroir : comme les victimes individuelles sont connues, nous sommes souvent conduits à penser que les individus incriminables sont tout aussi faciles à identifier. Nos sentiments nous amènent à croire que leur culpabilité est à la mesure de l’innocence des victimes. Dans sa dynamique émotionnelle, le procès comporte une logique transformationnelle : convertissant l’innocence d’individus victimes en une culpabilité, de même intensité, des accusés. Mais, penser de la sorte, n’est-ce pas risquer de minimiser les culpabilités ? N’est-ce pas une manière de défendre les accusés pour qu’ils soient moins sanctionnés ? Non, car il n’est pas question de minimiser. Il est tout à fait possible de reconnaître la responsabilités des auteurs des attentats, tout en reconnaissant en même temps que d’autres aussi ont « leur part », tout en reconnaissant que certains mécanismes collectifs ont contribué à ce qui s’est passé. Peut-être d’ailleurs que c’est de cette manière que l’on rend le plus hommage à la mémoire des victimes. Établir les responsabilités individuelles du passé prémunit peu des dangers à venir. A l’inverse, en identifiant les forces collectives qui ont influencé la personnalité et le chemin des individus, on comprend mieux ce qu’il y a à changer. Pour éviter que l’Histoire ne « bégaie », il est indispensable de se demander, de tous ces événements, quelles sont les leçons à tirer. En menant cette réflexion, on se rend par exemple compte que le projet et la communication de Daesh ont joué un rôle. On se rend compte que notre police et la collaboration avec son homologue français auraient aussi pu mieux fonctionner. On se rend compte que les jeunes qui se sont fait exploser étaient des jeunes d’ici, qui ont grandi dans nos quartiers. Réfléchir à ce drame, c’est réaliser que, si les victimes sont les nôtres, les coupables le sont aussi. C’est pour cette raison qu’il est important de se demander tout ce qui, dans notre société, peut expliquer les trajectoires terroristes d’une partie de notre jeunesse. C’est pour cela aussi que, 7 années plus tard, il est fondamental de reprendre ces fragilités et de vérifier si, à leur niveau, nous avons réussi à avancer." En ligne : https://www.parresia.media/editions/peut-on-demander-a-la-justice-quelle-nous-ve [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38376 Est accompagné deExemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire portrait : Nathalie Cavaillès : Des interrogations qui hantent les victimes / Thomas Sévignon in Lien social, 1345 (19 septembre au 2 octobre 2023)
[article]
Titre : portrait : Nathalie Cavaillès : Des interrogations qui hantent les victimes Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Sévignon Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 23 Note générale : Issu du dossier "Justice restaurative : Des débuts encourageants" Langues : Français (fre) Catégories : TS
Accès à la justice # Justice réparatrice # Relations humaines # Victimes # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "Nathalie Cavaillès est chargée de mission Aide aux victimes au sein de l’association Viffil Sos Femmes. Elle a activement pris part à la mise en place d’un dispositif de justice restaurative dans le Rhône." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38019
in Lien social > 1345 (19 septembre au 2 octobre 2023) . - p. 23[article] portrait : Nathalie Cavaillès : Des interrogations qui hantent les victimes [texte imprimé] / Thomas Sévignon . - 2023 . - p. 23.
Issu du dossier "Justice restaurative : Des débuts encourageants"
Langues : Français (fre)
in Lien social > 1345 (19 septembre au 2 octobre 2023) . - p. 23
Catégories : TS
Accès à la justice # Justice réparatrice # Relations humaines # Victimes # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "Nathalie Cavaillès est chargée de mission Aide aux victimes au sein de l’association Viffil Sos Femmes. Elle a activement pris part à la mise en place d’un dispositif de justice restaurative dans le Rhône." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38019 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER LSO 1345 (2023) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Un programme psychosocial de lutte contre les effets dévastateurs du terrorisme : origines de l'Avt-L / Roula Helou in Le journal des psychologues, 381 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Un programme psychosocial de lutte contre les effets dévastateurs du terrorisme : origines de l'Avt-L Type de document : texte imprimé Auteurs : Roula Helou Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 18-22 Note générale : Issu du dossier : "Violences et terrorisme : approche psychosociale" Langues : Français (fre) Catégories : TS
Entraide # Victimes du terrorisme # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "Aider les victimes d'actes de terrorisme à surmonter leur trauma à travers le partage de leur vécu à d'autres victimes et leur fournir la possibilité de tenir un rôle dans la société lors d'une campagne de sensibilisation sur la radicalisation, constituent les deux projets phares de l'Avt-L. C'est en partenariat avec l'Onu et en coordination avec des acteurs locaux et internationaux que se déploient ces programmes. Présentation." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-le-journal-des-psychologues-2020-9-page-18.ht [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31071
in Le journal des psychologues > 381 (Octobre 2020) . - p. 18-22[article] Un programme psychosocial de lutte contre les effets dévastateurs du terrorisme : origines de l'Avt-L [texte imprimé] / Roula Helou . - 2020 . - p. 18-22.
Issu du dossier : "Violences et terrorisme : approche psychosociale"
Langues : Français (fre)
in Le journal des psychologues > 381 (Octobre 2020) . - p. 18-22
Catégories : TS
Entraide # Victimes du terrorisme # Victimes:Victimes -- Protection, assistance, etc.Résumé : "Aider les victimes d'actes de terrorisme à surmonter leur trauma à travers le partage de leur vécu à d'autres victimes et leur fournir la possibilité de tenir un rôle dans la société lors d'une campagne de sensibilisation sur la radicalisation, constituent les deux projets phares de l'Avt-L. C'est en partenariat avec l'Onu et en coordination avec des acteurs locaux et internationaux que se déploient ces programmes. Présentation." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-le-journal-des-psychologues-2020-9-page-18.ht [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31071 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER JPS 381 (2020) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Que peut-on faire pour aider les victimes d'agression ? / Jacques Trémintin in Lien social, 561 (Janvier 2001)
PermalinkQuelle est la place du travail social au sein de la zone de Police Nivelles-Genappe ? / Lisa Arnould
PermalinkQuelles actions une AMO peut-elle mettre en place pour lutter contre le harcèlement scolaire en secondaire ? / Laurie Deprez
PermalinkRestaurer la dignité grâce à un processus de groupe / Monica Meehan McNamara in Le journal des psychologues, 381 (Octobre 2020)
PermalinkSerious Case Reviews in Adult Safeguarding in England : An Analysis of a Sample of Reports / Jill Manthorpe in The british journal of social work, 2, vol. 41 (March 2011)
PermalinkPermalinkThéâtre de l'opprimé et groupe multifamille : un dispositif de prise en charge original / Marjorie Roques in Le journal des psychologues, 382 (Novembre 2020)
PermalinkTraumatismes et terrorisme : Quelle prise en charge pour les enfants? / Dominique Szepielak in Le journal des psychologues, 349 (Juillet - Août 2017)
PermalinkTravail en commissariat : délicate alliance / Armandine Penna in Lien social, 1249 (29 avril 2019)
PermalinkPermalinkLe vertige du traumatique : attraction et terreur abyssales du sujet victime / Anne-Marie Georges in Le journal des psychologues, 281 (Octobre 2010)
PermalinkVictime de violences policières illégitimes et rôle de l'attestation médicale en matière de preuve / Ordre des médecins - Conseil national in Journal du droit des jeunes, 411 (Janvier 2022)
PermalinkLes victimes peuvent-elles parler et agir ? Deux paradoxes à l’ère des citoyens-victimes / Gabriel Gatti in Pensée plurielle, 43 (Novembre 2016)
PermalinkVictimologie : évaluation, traitement, résilience / Roland Coutanceau
PermalinkViolences de genre et pratiques médico-légales : Vers une intégration des logiques de prise en charge / Anne Lemonne in La revue nouvelle, 5 (2023)
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