Quand l’essentiel de vie ne fait pas partie des essentiels d’une société : les parturientes sont là / Bénédicte De Thysebaert in Le Chaînon, 54 (Mars 2021)  

Public ISBD [article]  inLe Chaînon > 54 (Mars 2021) . - p. 14-16 Titre : Quand l’essentiel de vie ne fait pas partie des essentiels d’une société : les parturientes sont là Type de document : texte imprimé Auteurs : Bénédicte De Thysebaert Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 14-16 Note générale : Issu du dossier "2021 : liberté(s) et responsabilité(s)" Langues : Français (fre) Catégories : TS Accouchement # Naissance # Relations personnel médical-patient Résumé : "J’ai le recul de 2 générations pour parler de ce qui se passe sous mes yeux quand j’accompagne une parturiente, un couple lors d’un accouchement. Je suis sage-femme et j’ai toujours été admirative de comment les femmes arrivaient à juguler leurs aspirations, leurs souhaits avec les attentes du monde médical. Début des années ’80, la péridurale pointait le bout de son nez. Les femmes commençaient à la demander, pas à l’exiger comme plus tard, mais cet accouchement plus moderne sans cette fameuse douleur était vraiment pour elles la libération. Et on le comprend si bien." En ligne : https://www.luss.be/wp-content/uploads/2021/03/luss-chainon-54.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36952 [article] Quand l’essentiel de vie ne fait pas partie des essentiels d’une société : les parturientes sont là [texte imprimé] / Bénédicte De Thysebaert . - 2021 . - p. 14-16. Issu du dossier "2021 : liberté(s) et responsabilité(s)" Langues : Français (fre) in Le Chaînon > 54 (Mars 2021) . - p. 14-16 Catégories : TS Accouchement # Naissance # Relations personnel médical-patient Résumé : "J’ai le recul de 2 générations pour parler de ce qui se passe sous mes yeux quand j’accompagne une parturiente, un couple lors d’un accouchement. Je suis sage-femme et j’ai toujours été admirative de comment les femmes arrivaient à juguler leurs aspirations, leurs souhaits avec les attentes du monde médical. Début des années ’80, la péridurale pointait le bout de son nez. Les femmes commençaient à la demander, pas à l’exiger comme plus tard, mais cet accouchement plus moderne sans cette fameuse douleur était vraiment pour elles la libération. Et on le comprend si bien." En ligne : https://www.luss.be/wp-content/uploads/2021/03/luss-chainon-54.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36952

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