Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Lundi, Mardi, Mercredi :
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jeudi : matin sur RDV / 13h15 - 17h
vendredi : 8h30 - 12h30 / 13h15 - 15h00
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Bienvenue au Centre de documentation de la HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
Le centre de documentation de la HELHa Cardijn LLN met à disposition de ses lecteurs un fonds documentaire spécialisé dans les domaines pouvant intéresser – de près ou de loin - les (futur·e·s) travailleur·euse·s sociaux·ales : travail social, sociologie, psychologie, droit, santé, économie, pédagogie, immigration, vieillissement, famille, précarité, délinquance, emploi, communication, etc.
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
PER MCI 239 (2010) | Périodique | Centre de documentation HELHa Cardijn LLN | Salle de lecture (Périodiques) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLes coûts à charge des patients hospitalisés en 2008 : la facture baisse, les suppléments d'honoraire augmentent! / Anja Crommelynck in MC-Informations, 239 (Mars 2010)
[article]
Titre : Les coûts à charge des patients hospitalisés en 2008 : la facture baisse, les suppléments d'honoraire augmentent! Type de document : texte imprimé Auteurs : Anja Crommelynck, Auteur ; Aline Franssen, Auteur ; Anne Cornez, Auteur ; Muriel Wantier, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p.3-12 Langues : Français (fre) Catégories : Cardijn
Hôpital - Hospitalisation
TS
Soins médicaux:Soins médicaux -- CoûtRésumé : "Un séjour hospitalier est rarement une expérience agréable. Il l’est d’autant moins quand il se clôture par une lourde facture. Pour éviter au mieux les frais supplémentaires, la Mutualité chrétienne se profile comme l’observatoire des factures hospitalières, analysant les factures de ses membres et fournissant des outils pour maîtriser et prévoir au mieux une facture d’hospitalisation. Nous nous adressons donc à 3 publics : les patients, bien entendu, qui peuvent consulter 2 modules comparatifs des tarifs des hôpitaux sur notre site internet. Les hôpitaux ensuite, de part l’évaluation individuelle que nous leur fournissons. Le monde politique enfin, en dressant les trends de l’année écoulée et en attirant l’attention sur certains groupes de patients, sur
certaines pratiques tarifaires, sur certaines sphères médicales.
Ce travail d’observation nous a permis de voir se profiler ces 2 dernières années (2007 et 2008) une diminution de la facture à charge du patient séjournant en chambre commune ou à 2 lits, qu’il ait recours à une hospitalisation classique ou à une hospitalisation de jour. A contrario, nous déplorons une augmentation constante des coûts en chambre particulière, entièrement imputable à la flambée des suppléments d’honoraires dans ce type de chambre. Si la facture diminue en chambre commune ou à 2 lits, c’est en partie grâce à des modifications dans le chef des frais divers, restructurés fin 2007, et dans celui du matériel implantable: meilleurs remboursements, transfert de la marge de sécurité dans la rubrique « Ticket Modérateur » au lieu de « suppléments » (donc prise en compte dans le MaF). Ces effets jouent aussi en chambre particulière mais sont engloutis dans la hausse des suppléments d’honoraires.
La situation en hôpital de jour est également préoccupante : une facture en chambre particulière y est de 5 à 8.5 fois plus élevée qu’en chambre commune. Heureusement, seuls 5% des séjours se déroulent dans une chambre individuelle, mais la tendance de notre société va vers de plus en plus de chambre de ce type, nous tirons une sonnette d’alarme.
Nous constatons que plusieurs mesures politiques mises en place en 2007 rencontrent les effets escomptés en 2008. Il faut continuer dans cette voie et maintenir notre soutien aux politiques visant la suppression des suppléments de tous types en chambre commune ou à 2 lits, et d’autre part visant la limitation des suppléments en chambre particulière. Dans ce sens, nous accueillons avec joie la suppression du supplément de chambre à 2 lits pour tous les patients dès le 1er janvier 2010."Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=15903
in MC-Informations > 239 (Mars 2010) . - p.3-12[article] Les coûts à charge des patients hospitalisés en 2008 : la facture baisse, les suppléments d'honoraire augmentent! [texte imprimé] / Anja Crommelynck, Auteur ; Aline Franssen, Auteur ; Anne Cornez, Auteur ; Muriel Wantier, Auteur . - 2010 . - p.3-12.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations > 239 (Mars 2010) . - p.3-12
Catégories : Cardijn
Hôpital - Hospitalisation
TS
Soins médicaux:Soins médicaux -- CoûtRésumé : "Un séjour hospitalier est rarement une expérience agréable. Il l’est d’autant moins quand il se clôture par une lourde facture. Pour éviter au mieux les frais supplémentaires, la Mutualité chrétienne se profile comme l’observatoire des factures hospitalières, analysant les factures de ses membres et fournissant des outils pour maîtriser et prévoir au mieux une facture d’hospitalisation. Nous nous adressons donc à 3 publics : les patients, bien entendu, qui peuvent consulter 2 modules comparatifs des tarifs des hôpitaux sur notre site internet. Les hôpitaux ensuite, de part l’évaluation individuelle que nous leur fournissons. Le monde politique enfin, en dressant les trends de l’année écoulée et en attirant l’attention sur certains groupes de patients, sur
certaines pratiques tarifaires, sur certaines sphères médicales.
Ce travail d’observation nous a permis de voir se profiler ces 2 dernières années (2007 et 2008) une diminution de la facture à charge du patient séjournant en chambre commune ou à 2 lits, qu’il ait recours à une hospitalisation classique ou à une hospitalisation de jour. A contrario, nous déplorons une augmentation constante des coûts en chambre particulière, entièrement imputable à la flambée des suppléments d’honoraires dans ce type de chambre. Si la facture diminue en chambre commune ou à 2 lits, c’est en partie grâce à des modifications dans le chef des frais divers, restructurés fin 2007, et dans celui du matériel implantable: meilleurs remboursements, transfert de la marge de sécurité dans la rubrique « Ticket Modérateur » au lieu de « suppléments » (donc prise en compte dans le MaF). Ces effets jouent aussi en chambre particulière mais sont engloutis dans la hausse des suppléments d’honoraires.
La situation en hôpital de jour est également préoccupante : une facture en chambre particulière y est de 5 à 8.5 fois plus élevée qu’en chambre commune. Heureusement, seuls 5% des séjours se déroulent dans une chambre individuelle, mais la tendance de notre société va vers de plus en plus de chambre de ce type, nous tirons une sonnette d’alarme.
Nous constatons que plusieurs mesures politiques mises en place en 2007 rencontrent les effets escomptés en 2008. Il faut continuer dans cette voie et maintenir notre soutien aux politiques visant la suppression des suppléments de tous types en chambre commune ou à 2 lits, et d’autre part visant la limitation des suppléments en chambre particulière. Dans ce sens, nous accueillons avec joie la suppression du supplément de chambre à 2 lits pour tous les patients dès le 1er janvier 2010."Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=15903 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER MCI 239 (2010) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible La notion d'état antérieur (dans le cadre de l'article 100§ 1 de la loi coordonnée du 14 juillet 1994) est-elle à l'origine de l'exclusion de certaines personnes fragilisés au sein de l'Assurance invalidité? / Altéo in MC-Informations, 239 (Mars 2010)
[article]
Titre : La notion d'état antérieur (dans le cadre de l'article 100§ 1 de la loi coordonnée du 14 juillet 1994) est-elle à l'origine de l'exclusion de certaines personnes fragilisés au sein de l'Assurance invalidité? Type de document : texte imprimé Auteurs : Altéo, Auteur ; Serge Jacquinet, Auteur ; Etienne Laurent, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p.13-19 Langues : Français (fre) Catégories : Cardijn
Service social
TS
Incapacité totale de travailRésumé : Il y a bientôt deux ans, le service social était alerté quant à certaines difficultés d’accès aux indemnités d’incapacité de travail rencontrées dans le cadre de l’Assurance soins de santé et indemnités (ASSI) par certains affiliés fragilisés. Une nouvelle occasion nous était ainsi donnée de «réinterroger l’ordinaire» et de mener au sein de la commission signal du service social un premier travail de réflexions et de propositions quant à cette problématique apparemment nouvelle.
Ce travail, mené en collaboration avec les mutualités impliquées dans cette commission signal, allait déboucher le 5 avril 2009 sur une journée d’étude organisée par le mouvement Altéo, soucieux de relayer politiquement les interrogations issues de ce travail. La direction médicale de l’Alliance accompagna avec intérêt cette initiative transversale mêlant, dans une même recherche et un même souci, des professionnels du social, des experts médicaux et des usagers du système de protection sociale.
Au cœur de ce travail, un article central pour la reconnaissance de l’incapacité de travail : l’article 100 § 1 de la loi coordonnée du 14 juillet 1994. Une question aussi : en précisant le libellé de cet article fondateur de l’accès aux indemnités en ASSI, le législateur n’a-t-il pas ouvert la porte à l’exclusion de notre système de protection sociale d’affiliés fragilisés en demande d’insertion socio-professionnelle ne se reconnaissant pas nécessairement, malgré leurs problèmes de santé, en tant que personnes handicapées en incapacité de travailler ?
Lors de cette journée d’étude, différentes pistes et propositions de solutions sont ressorties, parmi lesquelles :
• la possibilité de considérer que l’existence d’une capacité de gain suffisante chez une personne est évaluée à un moment fixe, identique pour tous (18 ans);
• la nécessité de proposer une liste de critères ou d’éléments objectifs permettant de justifier de la capacité de gain et réduisant le risque d’une appréciation trop subjective de cet état ;
• plutôt que de transférer la personne concernée vers le régime des allocations aux personnes handicapées qui ne lui garantit pas toujours la possibilité d’un revenu personnel, il semble intéressant d’envisager la possibilité d’une indemnisation forfaitaire dans le système actuel de l’ASSI ;
• offrir un accompagnement social particulier et un effort spécifique en termes d’insertion à ces personnes. Cette attention pourrait se concrétiser en une obligation pour les mutualités d’envisager avec ces personnes un processus de réadaptation professionnelle approprié maximalisant leurs
possibilités de s’insérer à terme dans l’emploi; ce sans nécessairement y adjoindre, comme c’est le cas pour les assurés ordinaires, une obligation de résultat;
• au même titre qu’une indemnisation est aujourd’hui possible pour les travailleurs prestant en ETA, ne faut-il pas travailler à préciser la notion de marché du travail ? Une insertion réelle dans l’emploi qui hier était envisageable pour un certain nombre de personnes fragilisées - dont une majorité représente aujourd’hui une forme d’invalidité cachée au sein du dispositif-chômage – est quasi impossible."Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=15905
in MC-Informations > 239 (Mars 2010) . - p.13-19[article] La notion d'état antérieur (dans le cadre de l'article 100§ 1 de la loi coordonnée du 14 juillet 1994) est-elle à l'origine de l'exclusion de certaines personnes fragilisés au sein de l'Assurance invalidité? [texte imprimé] / Altéo, Auteur ; Serge Jacquinet, Auteur ; Etienne Laurent, Auteur . - 2010 . - p.13-19.
Langues : Français (fre)
in MC-Informations > 239 (Mars 2010) . - p.13-19
Catégories : Cardijn
Service social
TS
Incapacité totale de travailRésumé : Il y a bientôt deux ans, le service social était alerté quant à certaines difficultés d’accès aux indemnités d’incapacité de travail rencontrées dans le cadre de l’Assurance soins de santé et indemnités (ASSI) par certains affiliés fragilisés. Une nouvelle occasion nous était ainsi donnée de «réinterroger l’ordinaire» et de mener au sein de la commission signal du service social un premier travail de réflexions et de propositions quant à cette problématique apparemment nouvelle.
Ce travail, mené en collaboration avec les mutualités impliquées dans cette commission signal, allait déboucher le 5 avril 2009 sur une journée d’étude organisée par le mouvement Altéo, soucieux de relayer politiquement les interrogations issues de ce travail. La direction médicale de l’Alliance accompagna avec intérêt cette initiative transversale mêlant, dans une même recherche et un même souci, des professionnels du social, des experts médicaux et des usagers du système de protection sociale.
Au cœur de ce travail, un article central pour la reconnaissance de l’incapacité de travail : l’article 100 § 1 de la loi coordonnée du 14 juillet 1994. Une question aussi : en précisant le libellé de cet article fondateur de l’accès aux indemnités en ASSI, le législateur n’a-t-il pas ouvert la porte à l’exclusion de notre système de protection sociale d’affiliés fragilisés en demande d’insertion socio-professionnelle ne se reconnaissant pas nécessairement, malgré leurs problèmes de santé, en tant que personnes handicapées en incapacité de travailler ?
Lors de cette journée d’étude, différentes pistes et propositions de solutions sont ressorties, parmi lesquelles :
• la possibilité de considérer que l’existence d’une capacité de gain suffisante chez une personne est évaluée à un moment fixe, identique pour tous (18 ans);
• la nécessité de proposer une liste de critères ou d’éléments objectifs permettant de justifier de la capacité de gain et réduisant le risque d’une appréciation trop subjective de cet état ;
• plutôt que de transférer la personne concernée vers le régime des allocations aux personnes handicapées qui ne lui garantit pas toujours la possibilité d’un revenu personnel, il semble intéressant d’envisager la possibilité d’une indemnisation forfaitaire dans le système actuel de l’ASSI ;
• offrir un accompagnement social particulier et un effort spécifique en termes d’insertion à ces personnes. Cette attention pourrait se concrétiser en une obligation pour les mutualités d’envisager avec ces personnes un processus de réadaptation professionnelle approprié maximalisant leurs
possibilités de s’insérer à terme dans l’emploi; ce sans nécessairement y adjoindre, comme c’est le cas pour les assurés ordinaires, une obligation de résultat;
• au même titre qu’une indemnisation est aujourd’hui possible pour les travailleurs prestant en ETA, ne faut-il pas travailler à préciser la notion de marché du travail ? Une insertion réelle dans l’emploi qui hier était envisageable pour un certain nombre de personnes fragilisées - dont une majorité représente aujourd’hui une forme d’invalidité cachée au sein du dispositif-chômage – est quasi impossible."Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=15905 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER MCI 239 (2010) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible