Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Le centre de documentation de la HELHa Cardijn LLN met à disposition de ses lecteurs un fonds documentaire spécialisé dans les domaines pouvant intéresser – de près ou de loin - les (futur·e·s) travailleur·euse·s sociaux·ales : travail social, sociologie, psychologie, droit, santé, économie, pédagogie, immigration, vieillissement, famille, précarité, délinquance, emploi, communication, etc.
Détail de l'auteur
Auteur Marie Tricot |
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Comment une assistante sociale dans un service ambulatoire peut-elle accompagner des femmes enceintes en grande précarité ? / Marie Tricot
Titre : Comment une assistante sociale dans un service ambulatoire peut-elle accompagner des femmes enceintes en grande précarité ? Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Marie Tricot Editeur : Louvain-la-Neuve [Belgique] : Cardijn Année de publication : 2020 Collection : Travail de fin d'études (TFE) Importance : 63 p. Langues : Français (fre) Catégories : TS
Droit à la santé # Femmes:Femmes enceintesRésumé : "Lors de la réalisation de mon stage de Bac 3 dans l’hôpital St Pierre à Bruxelles, j’ai rencontré une population principalement composée de personnes en séjour illégal. Ce qui m’a principalement touchée, ce sont les femmes enceintes qui arrivent pour recevoir des soins pour leur grossesse et qui n’ont pas les moyens de se les payer.
Cette problématique m’a touché et c’est pourquoi j’ai décidé de réaliser mon travail de fin d’études au travers de la question : « Comment une assistante sociale dans un service ambulatoire peut-elle accompagner des femmes enceintes en grande précarité ? », et d’y apporter certaines pistes de réponses et des idées de projets.
Tout d’abord, j’ai commencé mon travail en expliquant que j’avais réalisé mon stage à l’hôpital Saint-Pierre à Bruxelles, ce qui a mené à rencontrer une population précarisée et principalement sans titre de séjour valable. Aussi, j’ai choisi de réaliser mon stage auprès des femmes enceintes car la situation de celles-ci me touchait d’autant plus, dû à leur situation, mais également leur état de fragilité. De plus, je me suis intéressée à en savoir davantage sur la raison qui a mené ces femmes à venir en Belgique, ainsi qu’à la manière donc elles vivaient.
Par la suite, j’ai expliqué en quoi consistait la grossesse avec le changement d’état émotionnel et corporel, ce qui implique de suivre des soins et de permettre à la femme de s’informer auprès de professionnels et avoir un soutien, d’autant plus important quand celles-ci sont seules. Pour bien comprendre les enjeux de l’accès aux soins pour les femmes enceintes en grande précarité, il m’a fallu comprendre l’importance de ce que pouvaient ressentir ces femmes enceintes qui vivent principalement avec peu de choses. J’ai également expliqué en quoi les soins étaient importants car ils pouvaient mener à des conséquences autant sur l’enfant que sur la femme. Ces conséquences peuvent être évitées si les examens sont réalisés à temps et bien pris en charge. Les examens servent également à préparer l’accouchement afin que celui-ci se passe au mieux.
Ensuite, j’ai continué en expliquant la loi qui autorisait les personnes en séjour illégal à bénéficier d’une aide médicale urgente, en précisant que c’était la seule aide à laquelle elles ont droit suite à leur statut. De plus, j’ai parlé des CPAS car ce sont les principaux interlocuteurs pour accéder à l’AMU, j’ai également expliqué les démarches qu’il fallait entreprendre pour bénéficier de celle-ci. Ces démarches ne sont pas toujours faciles à réaliser à cause de « barrières » telles que la langue ou la difficulté d’accès. D’ailleurs, j’ai exposé la difficulté suite aux divers changements de statut de la personne, quand elle passe du statut de « demandeur d’asile » à celui de « sans séjour légal », la difficulté de savoir qui prend en charge les soins de santé entre Fedasil et le CPAS. Mais également en ce qui concerne le VISA. Puis, j’ai également parlé de l’ONE et K&G qui réalisent un travail similaire au sein de l’hôpital. J’ai également pris davantage connaissance sur le travail qu’Aquarelle réalisait avec certaines patientes ainsi que l’importance de leur travail. J’ai pris connaissance du projet « TANDEM » qui a été lancé cette année pour permettre à des étudiantes de l’Institut Cardijn d’accompagner et rencontrer des femmes enceintes en séjour illégal.
Dans le dernier chapitre, j’ai expliqué le travail social que je réalisais lors de mon stage ainsi que différentes limites que j’ai rencontrées. Par la suite, j’ai expliqué plus précisément la difficulté de contacts entre les institutions et l’hôpital. Pour terminer, j’ai mis quelques pistes de projet qui pourraient être intéressantes à développer."Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30547 Comment une assistante sociale dans un service ambulatoire peut-elle accompagner des femmes enceintes en grande précarité ? [TFE / Mémoire] / Marie Tricot . - Louvain-la-Neuve (1348, Belgique) : Cardijn, 2020 . - 63 p.. - (Travail de fin d'études (TFE)) .
Langues : Français (fre)
Catégories : TS
Droit à la santé # Femmes:Femmes enceintesRésumé : "Lors de la réalisation de mon stage de Bac 3 dans l’hôpital St Pierre à Bruxelles, j’ai rencontré une population principalement composée de personnes en séjour illégal. Ce qui m’a principalement touchée, ce sont les femmes enceintes qui arrivent pour recevoir des soins pour leur grossesse et qui n’ont pas les moyens de se les payer.
Cette problématique m’a touché et c’est pourquoi j’ai décidé de réaliser mon travail de fin d’études au travers de la question : « Comment une assistante sociale dans un service ambulatoire peut-elle accompagner des femmes enceintes en grande précarité ? », et d’y apporter certaines pistes de réponses et des idées de projets.
Tout d’abord, j’ai commencé mon travail en expliquant que j’avais réalisé mon stage à l’hôpital Saint-Pierre à Bruxelles, ce qui a mené à rencontrer une population précarisée et principalement sans titre de séjour valable. Aussi, j’ai choisi de réaliser mon stage auprès des femmes enceintes car la situation de celles-ci me touchait d’autant plus, dû à leur situation, mais également leur état de fragilité. De plus, je me suis intéressée à en savoir davantage sur la raison qui a mené ces femmes à venir en Belgique, ainsi qu’à la manière donc elles vivaient.
Par la suite, j’ai expliqué en quoi consistait la grossesse avec le changement d’état émotionnel et corporel, ce qui implique de suivre des soins et de permettre à la femme de s’informer auprès de professionnels et avoir un soutien, d’autant plus important quand celles-ci sont seules. Pour bien comprendre les enjeux de l’accès aux soins pour les femmes enceintes en grande précarité, il m’a fallu comprendre l’importance de ce que pouvaient ressentir ces femmes enceintes qui vivent principalement avec peu de choses. J’ai également expliqué en quoi les soins étaient importants car ils pouvaient mener à des conséquences autant sur l’enfant que sur la femme. Ces conséquences peuvent être évitées si les examens sont réalisés à temps et bien pris en charge. Les examens servent également à préparer l’accouchement afin que celui-ci se passe au mieux.
Ensuite, j’ai continué en expliquant la loi qui autorisait les personnes en séjour illégal à bénéficier d’une aide médicale urgente, en précisant que c’était la seule aide à laquelle elles ont droit suite à leur statut. De plus, j’ai parlé des CPAS car ce sont les principaux interlocuteurs pour accéder à l’AMU, j’ai également expliqué les démarches qu’il fallait entreprendre pour bénéficier de celle-ci. Ces démarches ne sont pas toujours faciles à réaliser à cause de « barrières » telles que la langue ou la difficulté d’accès. D’ailleurs, j’ai exposé la difficulté suite aux divers changements de statut de la personne, quand elle passe du statut de « demandeur d’asile » à celui de « sans séjour légal », la difficulté de savoir qui prend en charge les soins de santé entre Fedasil et le CPAS. Mais également en ce qui concerne le VISA. Puis, j’ai également parlé de l’ONE et K&G qui réalisent un travail similaire au sein de l’hôpital. J’ai également pris davantage connaissance sur le travail qu’Aquarelle réalisait avec certaines patientes ainsi que l’importance de leur travail. J’ai pris connaissance du projet « TANDEM » qui a été lancé cette année pour permettre à des étudiantes de l’Institut Cardijn d’accompagner et rencontrer des femmes enceintes en séjour illégal.
Dans le dernier chapitre, j’ai expliqué le travail social que je réalisais lors de mon stage ainsi que différentes limites que j’ai rencontrées. Par la suite, j’ai expliqué plus précisément la difficulté de contacts entre les institutions et l’hôpital. Pour terminer, j’ai mis quelques pistes de projet qui pourraient être intéressantes à développer."Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30547 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité 2054 TFE-Mémoire Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (TFE-Mémoires) Exclu du prêt