Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Lundi, Mardi, Mercredi :
8h30 - 12h30 / 13h15 - 17h
jeudi : matin sur RDV / 13h15 - 17h
vendredi : 8h30 - 12h30 / 13h15 - 15h00
Fermeture le 11 novembre 2024
Bienvenue au Centre de documentation de la HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
Le centre de documentation de la HELHa Cardijn LLN met à disposition de ses lecteurs un fonds documentaire spécialisé dans les domaines pouvant intéresser – de près ou de loin - les (futur·e·s) travailleur·euse·s sociaux·ales : travail social, sociologie, psychologie, droit, santé, économie, pédagogie, immigration, vieillissement, famille, précarité, délinquance, emploi, communication, etc.
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[article]
Titre : La culture s’active pour plus de parité Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Callico Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 10-45 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Art -- Aspect social # Culture # Discrimination:Discrimination sexuelle # Égalité des sexes # Féminisme # Femmes -- Dans l'art # Femmes:Femmes artistes # Sexisme:Sexisme dans le milieu artistiqueRésumé : "Depuis le secteur des arts visuels jusqu’à celui de la scène, les femmes militent pour l’égalité des genres et, dans la foulée, des minorités. Par la mise en place de collectifs ou au travers de pratiques artistiques singulières, la mouvance culturelle s’organise." En ligne : https://www.laicite.be/magazine-article/culture-sactive-plus-de-parite/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39840
in Espace de libertés > 477 (Mars 2019) . - p. 10-45[article] La culture s’active pour plus de parité [texte imprimé] / Catherine Callico . - 2019 . - p. 10-45.
Langues : Français (fre)
in Espace de libertés > 477 (Mars 2019) . - p. 10-45
Catégories : TS
Art -- Aspect social # Culture # Discrimination:Discrimination sexuelle # Égalité des sexes # Féminisme # Femmes -- Dans l'art # Femmes:Femmes artistes # Sexisme:Sexisme dans le milieu artistiqueRésumé : "Depuis le secteur des arts visuels jusqu’à celui de la scène, les femmes militent pour l’égalité des genres et, dans la foulée, des minorités. Par la mise en place de collectifs ou au travers de pratiques artistiques singulières, la mouvance culturelle s’organise." En ligne : https://www.laicite.be/magazine-article/culture-sactive-plus-de-parite/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39840 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Femmes et graffiti : une histoire en demi-teinte / Camille Wernaers in Axelle, 210 (Juin 2018)
[article]
Titre : Femmes et graffiti : une histoire en demi-teinte Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille Wernaers Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 24-25 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Art dans la rue # Femmes:Femmes artistes # Sexisme:Sexisme dans le milieu artistiqueRésumé : "En février, axelle a passé quelques heures avec un groupe de graffeuses à Charleroi. Réservée aux femmes, l'initiative a permis d'évoquer la culture très masculine du graffiti, ces dessins légaux ou illégaux qui occupent l'espace public. Un territoire que les femmes n'ont pas fini de revendiquer." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25951
in Axelle > 210 (Juin 2018) . - p. 24-25[article] Femmes et graffiti : une histoire en demi-teinte [texte imprimé] / Camille Wernaers . - 2018 . - p. 24-25.
Langues : Français (fre)
in Axelle > 210 (Juin 2018) . - p. 24-25
Catégories : TS
Art dans la rue # Femmes:Femmes artistes # Sexisme:Sexisme dans le milieu artistiqueRésumé : "En février, axelle a passé quelques heures avec un groupe de graffeuses à Charleroi. Réservée aux femmes, l'initiative a permis d'évoquer la culture très masculine du graffiti, ces dessins légaux ou illégaux qui occupent l'espace public. Un territoire que les femmes n'ont pas fini de revendiquer." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25951 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER AXE 210 (2018) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible
[article]
Titre : Médiation culturelle et artistique Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal ; Judith Dehail ; François Makanga ; Jean-Claude Mullens ; Adeline Rosenstein ; Olivier Marboeuf ; Virginia Pisano ; Diana Mammana ; Margareta von Oswald Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 4-85 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Art -- Aspect social # Artistes # Culture # Décolonisation # Diffusion de la culture # Équipements culturels # Exclusion sociale # Sexisme # Sexisme:Sexisme dans le milieu artistique # Sociologie de la cultureRésumé : "La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions. Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Les deux implicites mis ensemble impliquent une vision pédagogique spécifique, plus proche de l’éducation bancaire que d’une vision d’émancipation qui les renforce comme acteurs producteurs de culture et de sens. Ainsi, un curieux exemple qui a le vent en poupe : les formations « parcours d’intégration » données aux personnes immigrées nouvellement arrivées, constituent un cas assez radical et désormais politiquement « assumé » : il y est parfois question de production artistique, mais rarement pour impliquer des personnes des groupes en question, sinon pour leur « apprendre » ce qui est beau, le sens de l’esthétique, « à la Belge ». Souvent, lorsqu’il est question d’intégration, c’est comme s’il s’agissait de faire rentrer un groupe dans le modèle culturel régnant, créations culturelles et artistiques comprises. Ce qui est également le cas avec d’autres groupes dominés [1]. Souvent, des institutions ou des administrations identifient des vraies « fractures », « exclusions » et « tensions » à dimensions sociales et elles tentent de résorber via des actions qui vont dans un sens de « rapprochement » - plus ou moins forcé – de publics dominés des pratiques, produits, grand-messes organisées par des établissements culturels. « Faire coller » est une vision dans le meilleur des cas paternaliste pour « éduquer à » (« éduquer à l’image » souvent entendu dans le sens de « éduquer à comprendre les codes symboliques dominants et des dominants quand ils font des images »). Le souci est que de telles démarches ne pourront jamais interroger les rapports de pouvoir, ni symboliques, ni culturels, ni sociaux, ni économiques. Au mieux, elles permettront à un.e transfuge de classe d’être la preuve vivante et l’alibi que « ça peut fonctionner » et entretenir ainsi les illusions d’une mobilité par le biais du culturel et de l’artistique. Cette force du récit « singulier » comme preuve est surutilisée dans le système néolibéral. Regardez ça a marché pour UtopiaWoman ! ce qui est sous-entendu, c’est surtout que si ça ne marche pas pour toi, c’est que tu devrais t’en prendre à toi-même. Le système de reproduction des inégalités a de l’avenir dans un tel système. C’est d’ailleurs à se demander si cet engouement de mouvements progressistes pour changer le récit n’est pas un énième piège culturel du système néolibéral dans lequel ils tombent ; en effet, il y avait déjà les explications sur la force du storytelling. Comme si changer le storytelling pouvant changer facilement le rapport de force. Ceci évite de questionner les dispositifs, empêche de se décentrer, oriente l’angle de vue vers autre chose. Ainsi, peu ou personne ne se posera la question importante du « pourquoi » : pourquoi doit-on obliger des publics à aller consommer des activités ? pourquoi veut-on uniformiser les goûts et les centres d’intérêt ? Pourquoi travaille-t-on à effacer les diversités possibles ?
Alors, que faire ? doit-on éviter toute médiation si elle risque d’uniformiser ? Non, certainement pas."Note de contenu : Sommaire
Edito (Chafik Allal) / Entre sexisme et précarité. La médiation culturelle comme pratique critique (J. Dehail) / Marronage culturel, ou comment investir les failles de l'institution (F. Makanga) / Impressions sur la nouvelle scénographie du musée de Tervuren (J.-C. Mullens) / Extrait de la BD Décris-Ravage (A. Rosenstein & Baladi) / Posture et engagement en contexte décolonial (O. Marboeuf, V. Pisano) / Le Musée Résonant (D. Mammana et M. von Oswald)En ligne : https://www.iteco.be/revue-antipodes/mediation-culturelle-et-artistique-218/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39444
in Antipodes > 238 (Décembre 2023) . - p. 4-85[article] Médiation culturelle et artistique [texte imprimé] / Chafik Allal ; Judith Dehail ; François Makanga ; Jean-Claude Mullens ; Adeline Rosenstein ; Olivier Marboeuf ; Virginia Pisano ; Diana Mammana ; Margareta von Oswald . - 2023 . - p. 4-85.
Langues : Français (fre)
in Antipodes > 238 (Décembre 2023) . - p. 4-85
Catégories : TS
Art -- Aspect social # Artistes # Culture # Décolonisation # Diffusion de la culture # Équipements culturels # Exclusion sociale # Sexisme # Sexisme:Sexisme dans le milieu artistique # Sociologie de la cultureRésumé : "La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions. Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Les deux implicites mis ensemble impliquent une vision pédagogique spécifique, plus proche de l’éducation bancaire que d’une vision d’émancipation qui les renforce comme acteurs producteurs de culture et de sens. Ainsi, un curieux exemple qui a le vent en poupe : les formations « parcours d’intégration » données aux personnes immigrées nouvellement arrivées, constituent un cas assez radical et désormais politiquement « assumé » : il y est parfois question de production artistique, mais rarement pour impliquer des personnes des groupes en question, sinon pour leur « apprendre » ce qui est beau, le sens de l’esthétique, « à la Belge ». Souvent, lorsqu’il est question d’intégration, c’est comme s’il s’agissait de faire rentrer un groupe dans le modèle culturel régnant, créations culturelles et artistiques comprises. Ce qui est également le cas avec d’autres groupes dominés [1]. Souvent, des institutions ou des administrations identifient des vraies « fractures », « exclusions » et « tensions » à dimensions sociales et elles tentent de résorber via des actions qui vont dans un sens de « rapprochement » - plus ou moins forcé – de publics dominés des pratiques, produits, grand-messes organisées par des établissements culturels. « Faire coller » est une vision dans le meilleur des cas paternaliste pour « éduquer à » (« éduquer à l’image » souvent entendu dans le sens de « éduquer à comprendre les codes symboliques dominants et des dominants quand ils font des images »). Le souci est que de telles démarches ne pourront jamais interroger les rapports de pouvoir, ni symboliques, ni culturels, ni sociaux, ni économiques. Au mieux, elles permettront à un.e transfuge de classe d’être la preuve vivante et l’alibi que « ça peut fonctionner » et entretenir ainsi les illusions d’une mobilité par le biais du culturel et de l’artistique. Cette force du récit « singulier » comme preuve est surutilisée dans le système néolibéral. Regardez ça a marché pour UtopiaWoman ! ce qui est sous-entendu, c’est surtout que si ça ne marche pas pour toi, c’est que tu devrais t’en prendre à toi-même. Le système de reproduction des inégalités a de l’avenir dans un tel système. C’est d’ailleurs à se demander si cet engouement de mouvements progressistes pour changer le récit n’est pas un énième piège culturel du système néolibéral dans lequel ils tombent ; en effet, il y avait déjà les explications sur la force du storytelling. Comme si changer le storytelling pouvant changer facilement le rapport de force. Ceci évite de questionner les dispositifs, empêche de se décentrer, oriente l’angle de vue vers autre chose. Ainsi, peu ou personne ne se posera la question importante du « pourquoi » : pourquoi doit-on obliger des publics à aller consommer des activités ? pourquoi veut-on uniformiser les goûts et les centres d’intérêt ? Pourquoi travaille-t-on à effacer les diversités possibles ?
Alors, que faire ? doit-on éviter toute médiation si elle risque d’uniformiser ? Non, certainement pas."Note de contenu : Sommaire
Edito (Chafik Allal) / Entre sexisme et précarité. La médiation culturelle comme pratique critique (J. Dehail) / Marronage culturel, ou comment investir les failles de l'institution (F. Makanga) / Impressions sur la nouvelle scénographie du musée de Tervuren (J.-C. Mullens) / Extrait de la BD Décris-Ravage (A. Rosenstein & Baladi) / Posture et engagement en contexte décolonial (O. Marboeuf, V. Pisano) / Le Musée Résonant (D. Mammana et M. von Oswald)En ligne : https://www.iteco.be/revue-antipodes/mediation-culturelle-et-artistique-218/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39444 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER ANT 238 (2023) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Secteurs culturels en Fédération Wallonie-Bruxelles : entre affront fait aux femmes et impact des mobilisations / Sophie Pereira in Chronique féministe, 125 (Janvier - Juin 2020)
[article]
Titre : Secteurs culturels en Fédération Wallonie-Bruxelles : entre affront fait aux femmes et impact des mobilisations Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Pereira Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 64-65 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Sexisme:Sexisme dans le milieu artistiqueRésumé : "L'affaire Weinstein, aux Etats-Unis, et divers scandales dans les milieux des Arts de la scène français et belges notamment, puis le hashtag #MeToo, ont contribué à mettre en lumière un déséquilibre profond quant à la place des femmes dans le secteur artistique, et à la misogynie qui y règne - à l'instar du reste de la société. Depuis, plusieurs nouvelles initiatives ont été prises pour tenter de remédier à cette situation défavorable ou du moins, dans un premier temps, d'en réaliser un état des lieux précis - pour la Fédération Wallonie-Bruxelles - comme c'est le cas dans de nombreux pays européens." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31630
in Chronique féministe > 125 (Janvier - Juin 2020) . - p. 64-65[article] Secteurs culturels en Fédération Wallonie-Bruxelles : entre affront fait aux femmes et impact des mobilisations [texte imprimé] / Sophie Pereira . - 2020 . - p. 64-65.
Langues : Français (fre)
in Chronique féministe > 125 (Janvier - Juin 2020) . - p. 64-65
Catégories : TS
Sexisme:Sexisme dans le milieu artistiqueRésumé : "L'affaire Weinstein, aux Etats-Unis, et divers scandales dans les milieux des Arts de la scène français et belges notamment, puis le hashtag #MeToo, ont contribué à mettre en lumière un déséquilibre profond quant à la place des femmes dans le secteur artistique, et à la misogynie qui y règne - à l'instar du reste de la société. Depuis, plusieurs nouvelles initiatives ont été prises pour tenter de remédier à cette situation défavorable ou du moins, dans un premier temps, d'en réaliser un état des lieux précis - pour la Fédération Wallonie-Bruxelles - comme c'est le cas dans de nombreux pays européens." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31630 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER CFE 125 (2020) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible