Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Le centre de documentation de la HELHa Cardijn LLN met à disposition de ses lecteurs un fonds documentaire spécialisé dans les domaines pouvant intéresser – de près ou de loin - les (futur·e·s) travailleur·euse·s sociaux·ales : travail social, sociologie, psychologie, droit, santé, économie, pédagogie, immigration, vieillissement, famille, précarité, délinquance, emploi, communication, etc.
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Auteur Maud Lamouille |
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Chute du sujet âgé : en parler à son médecin ou pas ? / Maud Lamouille in Gérontologie et société, 150 (2016)
[article]
Titre : Chute du sujet âgé : en parler à son médecin ou pas ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Maud Lamouille ; Aline Corvol ; Dominique Somme Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 113-126 Note générale : Issu du dossier "Des Souris et des Hommes" Langues : Français (fre) Catégories : Cardijn
Personnes âgées # Risque
TS
PréventionRésumé : "Les chutes entraînent une forte morbi-mortalité. La littérature recommande le dépistage et l’identification des facteurs de risque pour appliquer des mesures de prévention. Pourtant, la majorité des chutes n’est pas signalée. Quels sont les déterminants de la déclaration des chutes, par les patients de plus de 65 ans, à leur médecin ? Quelles sont leurs représentations des chutes ? Pendant 9 mois, exerçant comme médecin généraliste remplaçant, nous avons demandé à tous les patients âgés s’ils avaient chuté au cours des 12 derniers mois ; et si oui, s’ils en avaient parlé au confrère remplacé. Nous avons obtenu deux groupes : « chuteurs déclarés » et « non déclarés ». Nous avons réalisé 12 entretiens. Plusieurs critères semblent influer la déclaration des chutes : type de chute (non accidentelle), symptôme suite à la chute (malaise, traumatisme, douleur), localisation du traumatisme (crâne), incitation d’un proche à consulter. La présence d’une culpabilité, à l’inverse, favorise la non-déclaration. Le questionnement direct par le médecin semble inciter à la déclaration. Les attentes du patient lors d’une consultation pour chute sont : un examen clinique complet, l’analyse de l’ordonnance, la prescription de kinésithérapie, des conseils, une réassurance. Parfois la consultation génère de la peur, ce qui ne favorise pas la déclaration d’une nouvelle chute. La chute représente une sorte de « déchéance » pour l’individu, en parler relève de la confidence. Développer une politique de prévention des chutes passe par leur déclaration, favorisée par une communication appropriée prenant en compte les représentations mises en évidence dans les entretiens." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-gerontologie-et-societe-2016-2-page-113.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22039
in Gérontologie et société > 150 (2016) . - p. 113-126[article] Chute du sujet âgé : en parler à son médecin ou pas ? [texte imprimé] / Maud Lamouille ; Aline Corvol ; Dominique Somme . - 2016 . - p. 113-126.
Issu du dossier "Des Souris et des Hommes"
Langues : Français (fre)
in Gérontologie et société > 150 (2016) . - p. 113-126
Catégories : Cardijn
Personnes âgées # Risque
TS
PréventionRésumé : "Les chutes entraînent une forte morbi-mortalité. La littérature recommande le dépistage et l’identification des facteurs de risque pour appliquer des mesures de prévention. Pourtant, la majorité des chutes n’est pas signalée. Quels sont les déterminants de la déclaration des chutes, par les patients de plus de 65 ans, à leur médecin ? Quelles sont leurs représentations des chutes ? Pendant 9 mois, exerçant comme médecin généraliste remplaçant, nous avons demandé à tous les patients âgés s’ils avaient chuté au cours des 12 derniers mois ; et si oui, s’ils en avaient parlé au confrère remplacé. Nous avons obtenu deux groupes : « chuteurs déclarés » et « non déclarés ». Nous avons réalisé 12 entretiens. Plusieurs critères semblent influer la déclaration des chutes : type de chute (non accidentelle), symptôme suite à la chute (malaise, traumatisme, douleur), localisation du traumatisme (crâne), incitation d’un proche à consulter. La présence d’une culpabilité, à l’inverse, favorise la non-déclaration. Le questionnement direct par le médecin semble inciter à la déclaration. Les attentes du patient lors d’une consultation pour chute sont : un examen clinique complet, l’analyse de l’ordonnance, la prescription de kinésithérapie, des conseils, une réassurance. Parfois la consultation génère de la peur, ce qui ne favorise pas la déclaration d’une nouvelle chute. La chute représente une sorte de « déchéance » pour l’individu, en parler relève de la confidence. Développer une politique de prévention des chutes passe par leur déclaration, favorisée par une communication appropriée prenant en compte les représentations mises en évidence dans les entretiens." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-gerontologie-et-societe-2016-2-page-113.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22039 Exemplaires (1)
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