Existe-t-il une bonne métrique pénale? / Chloé Leclerc in Déviance et société, 4, vol. 32 (Décembre 2008)  

Public ISBD [article]  inDéviance et société > 4, vol. 32 (Décembre 2008) . - pp. 411-434 Titre : Existe-t-il une bonne métrique pénale? Type de document : texte imprimé Auteurs : Chloé Leclerc, Auteur ; Pierre Tremblay, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 411-434 Langues : Français (fre) Catégories : TS Politique pénale Résumé : "Les jugements portés sur la sévérité relative des peines (probation, amende, prison, travaux d’intérêt général) font usage d’une arithmétique dont les propriétés et les règles de « calcul » sont mal connues. Ces jugements incorporent un paramètre de sensibilité à la surpunition qui les distingue des jugements de gravité des crimes. Dans cet article, nous posons l’hypothèse qu’il est possible de se prononcer sur la qualité des jugements de valeurs et que l’on peut distinguer les bonnes métriques des mauvaises métriques. L’hypothèse est deux fois confirmée. Les acteurs judiciaires et le public ne s’entendent pas sur la métrique à adopter pour apprécier la sévérité relative des peines non-carcérales. En revanche, certaines métriques produisent des équivalences entre peines beaucoup plus probantes que d’autres. Il se trouve que le « simple citoyen » est tout aussi compétent en la matière que les acteurs judiciaires (magistrats, procureurs de la poursuite, avocats de la défense et agents de probation)." En ligne : https://www.cairn.info/load_pdf.php?ID_ARTICLE=DS_324_0411 Format de la ressource électronique : PDF Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=13778 [article] Existe-t-il une bonne métrique pénale? [texte imprimé] / Chloé Leclerc, Auteur ; Pierre Tremblay, Auteur . - 2008 . - pp. 411-434. Langues : Français (fre) in Déviance et société > 4, vol. 32 (Décembre 2008) . - pp. 411-434 Catégories : TS Politique pénale Résumé : "Les jugements portés sur la sévérité relative des peines (probation, amende, prison, travaux d’intérêt général) font usage d’une arithmétique dont les propriétés et les règles de « calcul » sont mal connues. Ces jugements incorporent un paramètre de sensibilité à la surpunition qui les distingue des jugements de gravité des crimes. Dans cet article, nous posons l’hypothèse qu’il est possible de se prononcer sur la qualité des jugements de valeurs et que l’on peut distinguer les bonnes métriques des mauvaises métriques. L’hypothèse est deux fois confirmée. Les acteurs judiciaires et le public ne s’entendent pas sur la métrique à adopter pour apprécier la sévérité relative des peines non-carcérales. En revanche, certaines métriques produisent des équivalences entre peines beaucoup plus probantes que d’autres. Il se trouve que le « simple citoyen » est tout aussi compétent en la matière que les acteurs judiciaires (magistrats, procureurs de la poursuite, avocats de la défense et agents de probation)." En ligne : https://www.cairn.info/load_pdf.php?ID_ARTICLE=DS_324_0411 Format de la ressource électronique : PDF Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=13778

Exemplaires (1)

Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
PER DSO 32/4 (2008)	Périodique	Centre de documentation HELHa Cardijn LLN	Réserve Périodiques	Disponible

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