Centre de documentation Jolimont
Vendredi 22/11 : 10h – 17h
HORAIRE du 25 au 29 novembre 2024
Lundi 25 10h - 16h20
Mardi 26 10h - 16h20
Mercredi 27 10h – 14h
Jeudi 28 10h - 15h30
Vendredi 29 10h – 17h
FERMETURE QUOTIDIENNE : 12h-12h30
Cdoc fermé ? Glissez les documents à rendre
dans la BOÎTE DE RETOUR, dans le local informatique.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation HELHa - Santé Jolimont !
.||| TRUCS ET ASTUCES POUR LA RECHERCHE |||
* Utilisez 1 ou 2 mots-clés (PAS de longues phrases!)
* Utilisez de préférence le SINGULIER.
* Utilisez des GUILLEMETS pour chercher des termes exacts ou une expression (par ex. "Personne âgée").
* Si vous avez peu de résultats, utilisez des SYNONYMES.
Détail de l'auteur
Auteur Guillaume Normand |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Une histoire de l’accueil des personnes âgées sans-abri par la municipalité parisienne / Guillaume Normand in La revue de gériatrie, 45/5 (Mai 2020)
[article]
Titre : Une histoire de l’accueil des personnes âgées sans-abri par la municipalité parisienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Normand Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 300-303 Langues : Français (fre) Mots-clés : Personne âgée Sans-abri Placement en maison de repos Pauvreté Prise en charge Histoire France Résumé : Cette approche historique de l’accueil des personnes âgées sans-abri par la municipalité parisienne dévoile les ambigüités qui l’ont longtemps structuré. Apparus dans le courant du XIXe siècle, les établissements pour personnes âgées accueillent principalement des anciens travailleurs pauvres, s’accréditant des valeurs économiques et morales de l’époque. Les autres, associées à la mauvaise vie, trouvent refuge dans des dépôts de mendicité, gérés par la préfecture de police, ces environnements relèvent plutôt de la sphère carcérale. Toutefois, la faiblesse physique des personnes accueillies fait perdre au cours des années à ces structures leur vocation de correction et de réintégration. Fin XIXe , les établissements de VillersCotterêts et Nanterre deviennent des maisons de retraite pour « vieillards indigents ». Si petit à petit les standards des hospices de l’assistance publique s’appliquent, un encadrement rigoureux hérité du dépôt demeure, et un mélange de populations de tous âges est opéré. À partir des années 1970-80, des politiques d’humanisation des hospices se mettent en place, bien que l’hébergement semicollectif perdure jusqu’au début du XXIe siècle, et le public accueilli se limite à d’anciens sans-abri de plus de 60 ans. Depuis les années 1990 ces institutions ont vu leurs activités de soin gérontologique davantage affirmées et contrôlées par les modes de financement des EHPAD. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Précarité des personnes âgées" Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10038
in La revue de gériatrie > 45/5 (Mai 2020) . - p. 300-303[article] Une histoire de l’accueil des personnes âgées sans-abri par la municipalité parisienne [texte imprimé] / Guillaume Normand . - 2020 . - p. 300-303.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 45/5 (Mai 2020) . - p. 300-303
Mots-clés : Personne âgée Sans-abri Placement en maison de repos Pauvreté Prise en charge Histoire France Résumé : Cette approche historique de l’accueil des personnes âgées sans-abri par la municipalité parisienne dévoile les ambigüités qui l’ont longtemps structuré. Apparus dans le courant du XIXe siècle, les établissements pour personnes âgées accueillent principalement des anciens travailleurs pauvres, s’accréditant des valeurs économiques et morales de l’époque. Les autres, associées à la mauvaise vie, trouvent refuge dans des dépôts de mendicité, gérés par la préfecture de police, ces environnements relèvent plutôt de la sphère carcérale. Toutefois, la faiblesse physique des personnes accueillies fait perdre au cours des années à ces structures leur vocation de correction et de réintégration. Fin XIXe , les établissements de VillersCotterêts et Nanterre deviennent des maisons de retraite pour « vieillards indigents ». Si petit à petit les standards des hospices de l’assistance publique s’appliquent, un encadrement rigoureux hérité du dépôt demeure, et un mélange de populations de tous âges est opéré. À partir des années 1970-80, des politiques d’humanisation des hospices se mettent en place, bien que l’hébergement semicollectif perdure jusqu’au début du XXIe siècle, et le public accueilli se limite à d’anciens sans-abri de plus de 60 ans. Depuis les années 1990 ces institutions ont vu leurs activités de soin gérontologique davantage affirmées et contrôlées par les modes de financement des EHPAD. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Précarité des personnes âgées" Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10038 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 09608 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible